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Accusations de Mediapart : une « infamie », selon Sarkozy
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Syrie:appel de l'ONU à la fin des violences
AFP Mis à jour le 29/04/2012 à 16:38 | publié le 29/04/2012 à 16:21
Le général norvégien Robert Mood, à la tête de la mission d'observation de l'ONU en Syrie, a appelé toutes les parties à "arrêter la violence", à son arrivée aujourd'hui à Damas. "Pour permettre le succès du plan (de l'émissaire international Kofi) Annan, j'appelle tous à arrêter la violence et à nous aider à maintenir l'arrêt des violences armées de toutes les parties", a-t-il affirmé.
"Nous allons travailler à l'application complète du plan Annan en six points, accepté par le gouvernement syrien. Pour y parvenir, nous avons maintenant 30 observateurs sur le terrain, nous allons doubler ce chiffre durant les prochains jours", a-t-il ajouté. Le plan Annan prévoit le retour de l'armée dans les casernes, l'arrêt des hostilités, la libération des détenus, le respect du droit à manifester, l'ouverture d'un dialogue entre pouvoir et opposition ainsi que la libre circulation pour les humanitaires et la presse.
Le nombre d'observateurs devrait passer à 100 sous un mois, avant d'atteindre 300 membres, comme le prévoit la résolution 2043 votée à l'unanimité il y a une semaine par le Conseil de sécurité de l'ONU. Cette mission d'une durée initiale de trois mois s'annonce périlleuse pour ces observateurs qui sont pour la première fois déployés sans arme dans un pays où les violences persistent plus de deux semaines après l'annonce d'un cessez-le-feu, largement ignoré malgré les engagements du régime et des rebelles.
Selon Amnesty International, les violences ont fait au moins 362 morts, en particulier dans les villes tout juste visitées par les observateurs, depuis le début du travail des premiers d'entre eux le 16 avril.
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AFP Publié le 29/04/2012 à 21:13
Le ministre UMP du Travail, Xavier Bertrand, a dit ce soir sur BFM TV ne "pas croire aux coïncidences" à propos des attaques contre Nicolas Sarkozy après que Mediapart a affirmé qu'un "accord" était intervenu pour que la Libye finance sa campagne présidentielle de 2007. M. Bertrand s'est étonné que le Parti socialiste "relaie Mediapart". "C'est une sacrée coïncidence", a-t-il dit, en affirmant "penser aussi", comme François Fillon, que le site d'information était "une officine".
Il a relevé que "la personne qui devait être destinataire" du document publié par Mediapart avait "démenti". "Est-ce que le démenti est sur le site Mediapart ?", a-t-il demandé. Pour lui, sur ce site, "c'est toujours à charge contre le président de la République", et c'est "d'une violence sans pareille".
"C'est une infamie. Quand je pense qu'il y a des journalistes qui osent donner du crédit au fils Kadhafi et aux services secrets de M. Kadhafi", avait réagi à la mi-journée sur Canal + le président-candidat de l'UMP. "C'est une honte qu'on me pose une question pareille", avait ajouté M. Sarkozy, qui avait qualifié de "grotesque" le 12 mars un éventuel financement de sa campagne de 2007 par Mouammar Kadhafi.
De source http://elections.lefigaro.fr/flash-presidentielle/2012/04/29/97006-20120429FILWWW00240-bertrand-ne-croit-pas-aux-coincidences.php