Mot(s) clef: darcos
Encore deux ans
Encore deux ans, c'est bien ce que j'ai entendu ce 11 décembre. Pour nous, la quille, ce n'est qu'en septembre 2011, Justine aura 18 ans. C'en sera enfin fini avec « l'assistance éducative » et son « placement durable », elle aura été « sauvée ». Mais Justine pourrait encore bénéficier de « faveurs » de l'Etat jusqu'à ses 21 ans, voire plus. On verra.
Guantanamo, "l'enfer sur terre"
AFP, 21/12/2009 | Mise à jour : 21:44, extrait
Un ancien détenu somalien de la prison de Guantanamo Bay, détenu pendant huit ans et libéré la semaine dernière, a déclaré aujourd'hui que sa captivité avait été "comme l'enfer sur terre", dans sa première interview depuis sa libération.
J'ai déjà énormément appris, je me demande ce que je vais encore apprendre d'ici à cette période, 2011. C'est hard, la justice, lorsqu'elle a décidé de ne pas lâcher l'affaire, une seule uniquement, à huis clos, en étouffant tout le reste. J'espère un jour comprendre un peu mieux ce qui se passe en France, surtout lorsque le juge pour enfant est saisi par des tiers. « Arbeit macht frei »... Puis suivra aussi 2012, l'échéance d'un quinquennat et peut-être un autre chantre encore.
De source France Info
Polanski: les poursuites maintenues
AFP, 21/12/2009 | Mise à jour : 19:52
La justice américaine a refusé aujourd'hui d'abandonner des poursuites lancées contre le cinéaste franco-polonais Roman Polanski pour une affaire de détournement de mineure remontant à 1977.
Encore quelques notes...
Du forum du Monde, où je sais qu'il pourrait parfois passer des corbeaux et des fouineurs... Puis suivront peut-être bientôt certains dialogues dans d'autres [cyber-]cafés du coin : « Si le juge allègue, ce doit être vrai. De quoi me parles-tu ? Hume ? David Hume ? »
Re: "Corruption des juges" ?
[re: m'interroge]
Par impaire, le 20/09/2009 12:30
Je pense qu'entre vous et beaumarchais, vous devriez éviter d'utiliser des termes qui sont susceptibles de vous blesser alors que vous mener des combats similaires.
Oui, tout à fait. Mais lorsqu'il se met à parler de "Corruption des juges", il écrit des choses qui me gênent, qu'on ne peut le plus souvent pas écrire, des choses auxquelles il ne faudrait parfois même pas penser.
Il pourrait parfois faire penser que dans mon secteurs, des juges auraient mis quelque chose dans la poche. Mais bien avant de rechercher des enveloppes, je parlerais plutôt de pouvoirs corrompus et de jugements viciés. A ces sujets précis, la Défenseure des Enfants, je l'ai toujours citée ainsi, en ajoutant des crochets ou des parenthèses dans ce paragraphe:
Rapport 2000 du SCPC
La Documentation française
b) Intervention d'intermédiaires peu scrupuleux.
[Un article (cf. note 42) de Claire BRISSET, montre l'étendue du fléau de la corruption dans le domaine de l'adoption internationale.] Il n'est pas rare de voir de faux jugements, des accords dans lesquels le consentement est vicié ou des enfants purement et simplement donnés contre l'avis de la famille [en échange de fortes sommes d'argent].
Qu'il y ait ensuite ou non des enveloppes, de fortes sommes en jeu ou non, quelle importance? A mon avis, dans ce genre d'histoires (et plus particulièrement dans ce qui est maintenant celle de mes enfants et de ma famille), on perçoit plutôt l'exercice de pouvoirs purements discrétionnaires, l'arbitraire de puissants qui font et défont à leur guise, se soutenant aveuglément entre eux, quoi qu'il arrive.
Un conflit aurait-il recouvert les exigences de la loi? 'Cliquez Ici'
Du Nouveau Détective de la semaine : « Mais qu'est-ce qu'il a, au juste ? »
Re: dans l’état actuel de
[re: m'interroge]
Par impaire, le 20/09/2009 11:54
Personnellement, dans l’état actuel de la lecture de votre blog, je pense que vous mériter grandement notre estime.
Pour en arriver là, je pense qu'au départ, j'avais de bons éléments et accès à de très bonnes lectures. En 2006, je m'étais fixé un objectif. Si vous lisez cela, je pense que vous comprendrez mieux pourquoi certains discours et clichés trop sexistes me posent un problème:
Pour les quelques retours que j'en ai, je pense qu'assez globalement, mon objectif a été atteint, depuis un bon moment déjà.
Un conflit aurait-il recouvert les exigences de la loi? 'Cliquez Ici'
Re: J'assume
[re: m'interroge]
Par impaire, le 20/09/2009 11:48
Je pense qu'entre vous et beaumarchais, vous devriez éviter d'utiliser des termes qui sont susceptibles de vous blesser alors que vous mener des combats similaires.
Par moments, je trouve qu'il se réfère trop à des clichés, des clichés parfois sexistes. Si je les relève, d'autres pourraient les relever aussi. Mais ce qui fini surtout par m'irriter, ce sont ces ("ces", il n'est pas le seul à en tenir) discours parfois défaitistes qui nous martelent qu'on ne peut rien faire.
De toute façon, je sais que ce qui s'est déjà passé, ces 6 dernières années, ce ne sera jamais différent, quelle que soit la manière dont ce sera un jour décrit. Ca a eu lieu. Mes filles, ma famille et moi, nous avons perdu, quoi qu'il se passera encore.
Dans Voici : « au secours, la promo ! »
Je me demandais où était passé Lefebre, j'ai trouvé MAM. J'apprends que le porte parole de l'UMP sait ce qu'est le web 2.0. J'apprends aussi que Dati veut un autre enfant. Dans Maxi n° 3322, « Après un mari violent, une famille sans pitié » ainsi que quelques pages consacrées à l'adoption d'enfants... Je vais passer pour un martien, j'ai aussi pris le Monde diplo pour sa une, un dossier « Eloge des révolutions » et « L' "ère Liebermann" a commencée ».
Selon France Info, le duo Merkel-Sarkozy ne devrait plus tarder à entrer en campagne pour les élections européennes. Nous en saurons plus après leur meeting, à Berlin. Darcos a peut être raison, « tout se vaut » ?
Voici n° 4712 et Gala n° 830
Faut-il avoir peur des antennes relais ?
Dans l'information immédiate et « éphémère », « tout se perd et tout se vaut », nous a dit le collégien Darcos. S'est-il tramé et passé quelque chose au cours de ces derniers jours ? D'après les rumeurs que France-Info propage sur fond d'un « pardon » en deux ou trois temps avec les excuses, hier, un discours a détonné sur la scène internationale.
Quelques unes du moment
La République et les blogs : « je t'aime... moi non plus »
Les magistrats de mon secteur pourraient avoir raison, je devrais arrêter d'écrire, de lire, de publier et de taquiner, de brasser et de ressasser, je risque d'en mourir avant l'heure, de rire !
Aujourd'hui, en lisant le Canard, j'ai appris qu'une « action policière » aurait fait fermer un blog « subversif » qui totalisait 15 visites... en deux mois. S'agirait-il d'un poisson d'avril ? Depuis 2005, j'ai des milliers de visites par mois.
En 6 ans, j'ai tout remué et j'en ai fourré partout. A chaque fois, on me renvoyait vers Nanterre ou à des voies de recours illusoires. Hier soir, en ouvrant un placard, j'ai remis la main sur des correspondances du Médiateur de la République, de l'Elysée ainsi que du cabinet du Premier ministre, de la Miviludes, ces services récemment partis pourchasser leurs démons en Haute-Garonne. J'avais tenté de sensibiliser la Miviludes à la situation de Justine et de ma famille, voir leur réponse à la suite. Voir également un billet de janvier dernier, Que fera le pasteur ? Voir aussi le DSM-IV-TR, cas cliniques, American Psychiatric Association, page 357, chez Masson, 2008, la page figure à la suite de Faudrait-il un simple outrage pour débloquer ce dossier ?
Le Canard du 1er avril 2009, « non mais sans blog ! »
Près de chez moi
Val-de-Marne (94)
Bry-sur-Marne (94360)
Bry-Le Perreux
Son blog déclenche une enquête de police
Le Parisien | 13.03.2009, 07h00
Un lycéen a mis en ligne un site sur les réformes Darcos. La police s’est déplacée dans son établissement pour obtenir son dossier scolaire.
Voir aussi à quoi sert le SDIG ?
Section de Toulon de la LDH, article de la rubrique Libertés
Date de publication : mercredi 18 mars 2009
Etampes bis ?
Dans le Val-d’Oise, à l'école Jean-Jaurès de Persan, un écolier de 10 ans a frappé son enseignante. Selon les premiers détails dévoilés par les médias, l’enseignante a bénéficié d’un arrêt de travail de huit jours et a décidé de porter plainte. Tout aurait commencé après une remarque de l’enseignante que l’enfant n’aurait pas appréciée.
Des parents désireraient que cet enfant soit maintenant scolarisé ailleurs. Or il y a 15 jours, Xavier Darcos demandait aux écoles d'instaurer un « code de la paix scolaire », souhaitant « faire en sorte que l'exclusion soit abandonnée » ; des enseignants avaient répondu que des établissements ont déjà instauré de telles règles. Un syndicat s'est exprimé, rappelant quels étaient les moyens dont disposaient cette école du Val-d’Oise. Ce type d'acte est « rarissime » et « aussi complètement inacceptable », a-t-il déclaré. Il aussi a noté qu'« un psychologue scolaire suivait l'élève depuis vendredi, compte tenu du fait qu'il ne pouvait être exclu de l'école ».
Plus tard, après de premières investigations, il est apparu que l’élève est « connu pour être perturbé » et qu'il bénéficiait d'un « suivi pédagogique particulier ». « Le parquet peut donner des suites pénales ou civiles à l'affaire », selon une source judiciaire au parquet de Pontoise.
L'enfant « a été entendu mardi par la police, en présence de ses parents avec lesquels il est reparti ». Cet enfant sera-t-il exclu, placé ou sera-t-il condamné à des travaux d'intérêt collectif au sein de l'établissement, comme le suggérait Xavier Darcos ? L'enfant de 10 ans et ses parents seront-t-ils les seuls tenus pour responsables ?
Ce cas rappelle celui d'Etampes, il avait été dit qu'« il y a plusieurs manières de regarder les mêmes faits ». En 2008, Kévani Wansale a été jugé et reconnu coupable, condamné à 13 ans de prison. Selon un article de l'Express, « le conseil de l'enseignante, Me Koffi Senah, déplorait [...] l'absence de l'Education nationale au procès, que sa cliente [Mme Karine Montet-Toutain] avait mise en cause, et le fait qu'un rapport de l'Inspection générale, qui concluait à l'absence de faute de la part de la hiérarchie, n'ait pas été versé au dossier. »
En Corse, les deux adolescents suspectés d'avoir tué un bébé en jetant des pierres d'une falaise ont été placés dans un foyer après une période de détention provisoire. Une instruction criminelle est toujours en cours.
Un «code de la paix scolaire» contre la violence
lefigaro.fr, 17/01/2008, extrait
Annoncé par le ministre de l'Éducation nationale, ce texte rappelle les sanctions prévues en cas de violation des règles de conduite.
Face à la montée de violence en milieu scolaire, le ministre de l'Éducation nationale, Xavier Darcos, a annoncé hier le lancement d'un chantier pour la rédaction d'un «code de la paix scolaire». Ce code, qui serait applicable à la rentrée prochaine, sera élaboré avec la participation des lycéens. «C'est précisément parce que les règles de vie à l'école sont unanimes, universelles, qu'elles sont partout les mêmes, que la loi prend son sens, je vais lancer le chantier de la rédaction d'un code de la paix scolaire national», a déclaré le ministre lors de la signature d'une convention pour la généralisation de l'action de l'association Initiadroit.
Actuellement, chaque établissement dispose de son propre règlement intérieur. Le nouveau code a précisément pour ambition d'inspirer ces textes. «Ce code rassemblera, dans une langue claire, concise et accessible à tous, et en particulier aux parents, les règles de conduite en vigueur au sein des établissements scolaires de tout notre pays et il rappellera les sanctions prévues à chaque fois qu'elles seront enfreintes», a-t-il précisé. Afin que ce texte soit connu des élèves, les équipes éducatives devront prendre le temps de le faire lire aux élèves. «Je ne saurai accepter la banalisation des faits de violence», a lancé avec force hier le ministre.
ENSEIGNEMENT - FAITS DIVERS - JUSTICE POLICE
L'agression d'une enseignante par un élève de 10 ans suscite l'émotion
[ 30/09/08 - 18H50 - AFP ] sur Les Echos, extrait
L'agression vendredi d'une enseignante de l'école Jean-Jaurès de Persan (Val-d'Oise) frappée plusieurs fois par un élève de dix ans, un fait rarissime en primaire, a suscité l'émotion des enseignants, des syndicats et du ministre de l'Education qui a exprimé sa "solidarité".