Foin de sensiblerie, mais une question de respect
Communiqué de presse du 21 novembre 2007
De source www.protectiondesoiseaux.be
200 poussins à la poubelle!!!
Foin de sensiblerie, mais une question de respect : liquide-t-on comme ça des animaux vivants?
UCCLE - En tout cas, Nathalie, David et leur fille Amélie, âgée de 12 ans, ont clairement la leur. Et c'est non ! Même des poussins d'un jour ont le droit à un minimum de considération et c'est un scandale qui choque de les abandonner vivants comme on jette des poubelles aux ordures. Même si ces petits animaux sont attendrissants, c'est moins une question de sensiblerie que de respect de la vie. Comment qualifier une société où des gens qui ne savent que faire d'animaux dont ils n'ont plus l'utilité, les jettent vivants entassés par dizaines dans des cartons hermétiquement fermés, sans autre forme de procès ? Au parquet de Bruxelles, l'opinion est partagée par la 1re substitute, Sylvie Verstraete, qui a ouvert un dossier pour cruauté animale. Pour autant, l'espoir d'identifier le propriétaire est quasi nul. Car celui-ci qui savait très bien ce qu'il faisait, a pris soin de ne laisser aucun indice exploitable.
La charte France télévision
Préambule, de source http://charte.francetv.fr/
La liberté est le droit de faire
tout ce que les lois permettent.
Montesquieu
La liberté consiste à pouvoir faire
tout ce qui ne nuit pas à autrui.
Déclaration des Droits de l'homme et du citoyen
Liberté et télévision publique
La loi relative à la liberté de communication dispose que « la communication audiovisuelle est libre ».
La loi sur la liberté de communication précise que « l’exercice de cette liberté ne peut être limité que dans la mesure requise, d’une part par le respect de la dignité de la personne humaine, de la liberté et de la propriété d’autrui, du caractère pluraliste de l’expression des courants de pensée et d’opinion et d’autre part par la sauvegarde de l’ordre public, par les besoins de la défense nationale, par les exigences du service public ». Principe fondamental de la réglementation de la communication audiovisuelle, la liberté trouve ses limites là où le législateur a jugé nécessaire de protéger des droits légitimes : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ». La loi sur la liberté de la presse de 1881 a organisé la liberté d'expression en même temps qu'elle organisait les pouvoirs publics, l'enseignement, la citoyenneté. Elle reconnaît cette liberté comme nécessaire à la fondation et au fonctionnement d'une république démocratique.
Etats-Unis : 2 juges se faisaient payer pour condamner des enfants
NDLR : Rubrique gens animaux insolite sur Le Temps ?
Gens animaux insolite, vendredi 13 février 2009
Etats-Unis: 2 juges se faisaient payer pour condamner des enfants
ats, Le Temps, extrait
Philadelphie. Deux juges américains ont décidé de plaider coupables dans leur procès. Ils sont accusés d'avoir touché plus de 2,6 millions de dollars d'un centre privé de détention pour jeunes délinquants en Pennsylvanie.
Deux juges américains étaient payés pour condamner des enfants
Par Reuters, publié le 13/02/2009 à 08:14
PHILADELPHIE - Deux juges américains ont décidé de plaider coupables dans le procès où ils sont accusés d'avoir touché plus de 2,6 millions de dollars d'un centre privé de détention pour jeunes délinquants en Pennsylvanie.
En échange de ces pots-de-vin, les deux magistrats, Mark Ciavarella et Michael Cohahan, qui officiaient dans le comté de Luzerne en Pennsylvanie, ont condamné entre 2003 et 2006 des centaines d'enfants et d'adolescents à des peines excessives.
"Il est vrai que j'ai déshonoré ma fonction de magistrat", a reconnu Ciavarella dans une lettre adressée au tribunal. "Par mes actes, j'ai détruit tout ce que j'avais accompli par mon travail, et je ne peux que me blâmer moi-même."
Conahan, qui comme Ciavarella risque sept ans de prison, n'a pas fait de commentaire.
Sites miniers : Areva se défend
Suivre ou voir aussi le fil actu, Le nucléaire
URANIUM
Déchets nucléaires : Areva dénonce un reportage "calomnieux"
NOUVELOBS.COM | 13.02.2009 | 13:00, extraits
Areva se défend, dans un communiqué, après la diffusion sur France 3 d'un reportage mettant en cause la gestion des anciens sites miniers français d'uranium.
Areva ne décolère pas contre l'émission de France 3 "Pièces à conviction", qui a diffusé mercredi un reportage mettant en cause la gestion des anciens sites miniers français d'uranium. Le groupe a dénoncé une nouvelle fois, vendredi 13 février, un documentaire "calomnieux".
Au procès Colonna : « pourquoi dire ça dix ans après ? »
Yvan Colonna fait de la politique au tribunal
Stéphane Durand-Souffland
Le Figaro, 10/02/2009 | Mise à jour : 21:26, extrait
Le berger de Cargèse affirme être condamné avant d'être jugé et s'en prend à Nicolas Sarkozy.
Le patron de la défense, c'est Yvan Colonna. Cinq avocats sont assis devant lui, mais le client commande. Il a retroussé ses manches, dévoilant des avant-bras endurcis par la vie au grand air et entretenus dans la salle de musculation de Fresnes. Puis, il a parlé.
«Je voudrais vous dire que personne de ma famille ne viendra témoigner: je le leur ai interdit. C'est un jeu hypocrite, on les fait venir alors qu'on ne les écoute même pas. Que je sois un bon ou un méchant garçon, un bon ou un mauvais époux, ça n'a aucune importance. La seule question, c'est celle-ci: suis-je innocent ou pas?»
L'accusé, pugnace au point de frôler l'outrecuidance, entend placer les débats d'appel sur un terrain politique: «Depuis mai 1999, il y a une vérité absolue: je suis l'assassin du préfet Érignac, argumente-t-il. Avec un pic en 2003, quand M. Sarkozy a dit: “On a arrêté l'assassin”. La présomption d'innocence, c'est bon pour ses amis, mais pas pour moi. M. Sarkozy a reçu les parties civiles à de nombreuses reprises, il s'est engagé à ce que je sois condamné. Comment voulez-vous que j'aie confiance dans la justice?»
Le président Wacogne, très ferme: «Ce n'est pas lui qui vous juge.»
Yvan Colonna refuse de s'adresser à la famille Érignac
Le Figaro, 12/02/2009 | Mise à jour : 19:31
La veuve du préfet en a appelé à «l'honneur corse» pour connaître la vérité.
Pour la quatrième fois depuis 2003, Dominique Érignac s'adresse à une cour d'assises. Elle n'a pas changé. Ses cheveux blancs, son pull gris, son écharpe mauve, sa voix… Au fil des années, l'évocation de son «mari Claude», le préfet assassiné le 6 février 1998, s'est recentrée sur l'essentiel. Aujourd'hui, après ses enfants Charles-Antoine et Christophine, elle livre une bouleversante épure face à Yvan Colonna, pâle et attentif.
Ce n'est pas le chagrin qui rend si belle Mme Érignac. Cette femme est douée d'une force d'âme et de cœur si impressionnante que rien ne peut l'enlaidir, tout simplement. «J'en ai assez de subir les attitudes des uns et des autres qui inventent des choses nouvelles pour semer le trouble, dit-elle. Que tout ceci est bas, sans envergure ni grandeur… Pourquoi cet acte de violence irrémédiable envers mon mari Claude, pourquoi ?»
Faits divers
Rebondissement au procès Colonna
Le Parisien | 14.02.2009, 07h00, extrait
Dès 2002, Didier Vinolas avait fourni les noms des deux « suspects » à la justice, mais ne les a pas révélés hier à l’audience. Ses propos sur des complices supposés ont « stupéfait » Me Philippe Lemaire, qui assiste la veuve et les enfants du préfet. L’un des avocats généraux, Christophe Tessier, s’est demandé « pourquoi dire ça dix ans après ? » Pour Me Gilles Siméoni, l’un des défenseurs du berger de Cargèse, les informations de l’ancien haut fonctionnaire aux autorités ont été « escamotées ». Et de réclamer un « supplément d’information », qui entraînerait le renvoi du procès en appel, en cours depuis lundi.
La République des camarades
La République des camarades
Robert de Jouvenel, chez Grasset, 1914
Lu à l'AFMJF : « le contradictoire en assistance existe ! »
Le contradictoire en assistance éducative existe !
Extrait de la Lettre de Mélampous de juin 2001
Michel RISMANN, juge des Enfants à Lyon, délégué régional de l’AFMJF
Pour l'intégralité du texte, visiter www.afmjf.fr
[...] Les débats actuels sur le problème de l’accès des familles au dossier d’assistance éducative ont incontestablement le mérite de rappeler l’ambiguïté des dispositions actuelles de l’article 1187 du nouveau code de procédure civile, qui, tout en n’interdisant pas formellement la délivrance de copies aux avocats, ne le prévoit pas expressément pour autant.
On peut interroger aussi à juste titre les motifs juridiques invoqués par la Cour de cassation pour rejeter l’accès direct des parties à leur dossier : comment peut-on se prévaloir du fait que l’assistance d’un avocat qui peut consulter la procédure est une garantie suffisante du respect du contradictoire, alors que la présence du conseil n’est pas légalement obligatoire en cette matière.
[...] Pour certains, la procédure devant le juge des enfants opposerait les familles aux professionnels du travail social, engagés dans un véritable combat.
Dans ce type de scénario, l’égalité des armes est posée comme une exigence fondamentale, afin, nous dit-on, de mettre fin à des siècles d’absolutisme social : sont là évoquées des pratiques inadmissibles de professionnels qui, non seulement refuseraient pour les familles une place identique à la leur, mais aussi les mépriseraient dans leurs écrits par des commentaires rapportés de façon approximative, hâtive, peu argumentée, avec un vocabulaire inapproprié ou inutilement blessant.
Cette présentation du travail social, délibérément provocatrice et dévalorisante pour les travailleurs sociaux ne reflète pourtant pas la pratique de terrain telle que nous la vivons dans nos cabinets.
Elle est surtout contraire aux principes organisant l’intervention des équipes éducatives dans le cadre judiciaire.
Tout d’abord, les professionnels du travail social ne sont pas, sauf le cas particulier du service gardien, désignés par la loi comme parties au procès.
Ils n’ont donc pas, effectivement, une place identique à celle des familles dans la procédure ; ils reçoivent de la loi en général et des magistrats en particulier, une mission spécifique (signaler une situation de danger, mener une investigation ou une action éducative en milieu ouvert ou dans le cadre d’un placement) qui leur donne une place particulière dans le dispositif : Acteurs certes, mais non parties. Ils n’ont donc pas le rôle “d’accusateurs publics”, qui revient de par la loi au ministère public, paradoxalement singulièrement absent des cabinets des juges des enfants. C’est en effet au procureur de la République qu’il appartient de demander, au nom de la société, des comptes aux parents sur la façon dont ils assument leurs responsabilités éducatives.
Une présence plus significative du parquet aurait pour conséquence une présence plus discrète, moins exposée des travailleurs sociaux, parfois perçus, à tort, comme les bras armés de l’ordre public familial.
[...] Autre idée en vogue, la procédure devant le juge des enfants serait archaïque et moyen-âgeuse.
Internet, koi kès ?
A visiter : http://www.internetsanscrainte.fr
Le Canard : « votre évêque révisionniste demande des preuves »
NDLR : Comme si Internet n'était pas tenu au respect d'une certaine déontologie...
En une du n° 4607 : « la Constitution, tout ça, c'est un ennui... »
Les OGM, une affaire très « politique »
NDLR : Bien lire « les affectifs d’assistants familiaux ont diminué », le texte a été copié tel quel sur le site Internet du Parisien. Resterait à vérifier si cette même « coquille » apparait dans l'édition papier du journal.
Hauts-de-Seine (92)
Le conseil général recrute des familles d’accueil
Le Parisien | 26.01.2009, 07h00
Départs en retraite et besoins croissants : le département doit trouver plusieurs centaines de familles d’accueil d’ici à 2016.
Aujourd'hui, cinq cents personnes accueillent des enfants en difficulté confiés à l’aide sociale à l’enfance (ASE). Les départs en retraite quatre-vingt-dix en 2009 et trois cent soixante-cinq en 2016 et l’apparition de nouveaux besoins incitent le département à trouver de nouvelles places.
« Nous souhaitons recruter une centaine d’assistants familiaux par an jusqu’en 2012 et diversifier le profil des candidats pour nous adapter aux nouvelles demandes de prise en charge, explique Olivier Ogier, responsable du service d’accueil familial.
On recherche un accueil pour des mères de moins de 18 ans et leur enfant ; et pour des mineurs au croisement de la protection judiciaire de la jeunesse et de la pédopsychiatrie. »
Augmenter les effectifs
« C’est souvent la meilleure réponse que nous pouvons apporter à des enfants en souffrance », estime Philippe Juvin, vice-président du conseil général chargé de la cohésion sociale.
Le recrutement a changé. « Aujourd’hui, ce sont souvent des cadres ou fonctionnaires de l’Education nationale qui souhaitent prendre un nouveau tournant », poursuit le responsable du service d’accueil familial. Ce changement de cap n’est pas forcément simple. « C’est un travail difficile car il implique sa famille », précise Catherine Ribet-Debré, du service d’aide à l’enfance à Antony. Mais les conditions sont aujourd’hui plus intéressantes.
L’assistant familial, agrémenté à l’issue de sa formation, est rémunéré dès la signature du contrat de travail. Il touchera 500 € net par mois, même s’il n’accueille pas encore d’enfant, et 1 000 € net mensuels par enfant accueilli. Une indemnité de 12 € minimum par jour couvre les frais liés à la prise en charge. Entre 2005 et 2006, les affectifs d’assistants familiaux ont diminué de 3,44 %. Une première campagne avait permis de les stabiliser. La deuxième campagne qui s’ouvre aujourd’hui vise à les augmenter. Elle se déroulera jusqu’en avril et reprendra à l’automne.
Pour en savoir plus, consulter le site assistantfamilial/cg92.fr ou contacter le service d’aide sociale à l’enfance le plus proche de chez vous.
Les OGM, une affaire très politique
Le Figaro, 11/02/2009 | Mise à jour : 19:24
L'éditorial d'Yves Thréard du 12 février.
S'il est un sujet exemplaire de la difficulté de gouverner aujourd'hui, c'est bien celui des OGM. Depuis de nombreuses années, les scientifiques les plus avertis de notre pays affirment que les organismes génétiquement modifiés sont «bénéfiques pour la santé humaine». En vain, car la démocratie d'opinion, la vox populi, a décidé du contraire. À tel point que même Nicolas Sarkozy, toujours sabre au clair pour briser les tabous, a reculé face à la soldatesque anti-OGM en arrivant à l'Élysée. Pour combien de temps encore ?
L'enfant et son juge
L'enfant et son juge
la justice des mineurs au quotidien
Baranger, Thierry - Nicolau, Gilda
Hachette Littératures, Paris, collection Les docs, préface de Denis Salas
Parution : Avril 2008
Résumé sur www.laprocure.com. Le quotidien d'un juge pour enfants, composé de nombreuses histoires traversées par des rivalités de couples séparés, des secrets de famille étouffés, des croyances magiques dans le pouvoir des esprits... L'ouvrage évoque les audiences et les drames qui s'y révèlent et les blocages qui s'y dénouent, en insistant sur la nécessité d'une justice qui prend son temps, capable d'écoute comme d'autorité.
Le catalogue des horreurs
NDLR : C'est bizarre. Dès qu'on commence à taquiner très sérieusement cette institution tout le monde se défile et les juges vous prient de fermer votre gueule, de brûler vos dossiers, vos livres et vos références.
Selon mes sources, le juge qui vient d'autoriser la récente « rencontre » à Strasbourg était un moment président de cette association de magistrats de la jeunesse et de la famille. Quand j'affirme ici et là que j'écris un pamphlet susceptible de nous faire rire, ce sera certainement aux larmes.
Extrait de la Lettre de juin 2001
Publié sur le site de l'Association Française des Magistrats de la Jeunesse et de la Famille
Lors de l’assemblée générale de l’AFMJF du 27 janvier 2001, l’association ATD Quart Monde a voulu (courageusement) aborder la notion de “violence judiciaire” lors des placements en assistance éducative. Nos attentes n’ont pas été déçues, puisque l’association ATD Quart Monde a présenté la manière dont les familles semblent percevoir le juge des enfants, brossant un portrait particulièrement noir des pratiques judiciaires. Ce fut dur à entendre et personne d’entre nous ne pouvait se reconnaître dans cette caricature d’assistance éducative. Et pourtant, il faut bien que cela soit arrivé quelque part... même si, miroir déformant, ATD se fonde uniquement sur le ressenti des familles.
[...] Voilà le tableau tel qu’il a été perçu à travers 114 situations étudiées.
Une consolation : les auteurs du rapport n’ont pas relevé une situation où le placement des enfants n’était pas justifié sur le fond. Reste à travailler la forme..
2008, la loterie et le chapeau
La maman « n’allant pas bien du tout » défonce l’école
11/02/2009, Libé Lyon, extraits
La comptable se servait dans l'assiette des retraités
ESCROQUERIE - La ville de Lyon devait voter au prochain conseil municipal la reconduction d'une convention qui la lie à une association. Depuis une dizaine d'années, l'union gestion des foyers restaurants lyonnais (UGFRL) livre ou sert un millier de repas par jour en moyenne pour les personnes âgées de la ville, et la ville finance en partie. Mais voilà. Depuis quelques semaines, la police enquête car la comptable de cette association est soupçonnée de piquer dans la caisse, peut-être depuis dix ans, pour des montants qui atteindraient 200 à 300.000 euros...
[...] En 2004, l'association a connu de sérieuses difficultés financières. Un plan de redressement et un comité de suivi ont alors été mis en place, avec des représentants de la ville. Personne n'a détecté la moindre anomalie. Ce n'est qu'à l'automne dernier que de curieux virements ont été remarqués dans la comptabilité. Deux audits ont été réalisés, par deux experts-comptables ont découvert qu'entre janvier et novembre 2008, neuf virements suspects avaient été réalisés, pour un montant d'environ 3.000 euros par mois.
[...] L'employée a été licenciée pour faute grave et elle aurait effectué un premier remboursement. La présidente de l'association, Marie Mazion, refuse de confirmer le reste. « Je n'ai rien à vous dire, coupe-t-elle sèchement. Nous sommes victimes d'une malversation et cela n'intéresse pas la presse. » Ben si. Son association a porté plainte le 30 décembre, et son avocat, Jérôme Novel, a remis un rapport détaillé au parquet de Lyon. Une enquête est en cours.
NDLR : Défoncer l'école avec la voiture, ce n'est pas la « bonne » méthode...
Coulommiers
La maman force le portail de l’école avec sa voiture
Georges Blond, le Parisien | 11.02.2009, 07h00
Décrite comme « n’allant pas bien du tout », une maman a traversé avec sa voiture la cour de l’école maternelle du quartier de Vaux-Village, à Coulommiers, hier. Elle a pris la fuite après avoir abandonné le véhicule sur place.
Le devoir de mémoire, nouvelle religion civile
28 janvier 2006 - Le Président de la République s’est enfin résigné à faire disparaître du droit français l’article 4 de la loi du 23 février 2005 qui enjoignait aux enseignants de faire état du rôle positif de la colonisation française.
Tribune
Le devoir de mémoire, nouvelle religion civile
Rue89 | Enseignant et chercheur | 18/02/2008 | 21H26, extrait
Nous voici donc arrivés au stade infantile du devoir de mémoire : comment peut-on refuser " ce cadeau de la mémoire" de milliers d’enfants morts dans la Shoah, s’offusque aujourd’hui Nicolas Sarkozy. Déjà, l’intention culpabilisante se fait jour. Le refus de satisfaire la demande de notre président ne peut qu’exprimer une belle et honteuse ingratitude.
Religion - Shoah : la proposition de Sarkozy fait débat
Les enseignants se disent choqués et les politiques partagés après l'idée du président de confier à chaque élève de CM2 la mémoire d'un enfant victime de la Shoah. Des syndicats soulignent, par exemple, le danger du "développement d'une certaine morbidité" chez certains enfants.
TF1-LCI - le 14/02/2008 - 19h13
Une démarche critiquée, une démarche saluée... La demande de Nicolas Sarkozy que chaque élève de CM2 perpétue la mémoire d'un des 11.000 enfants déportés de France et victimes de la Shoah a suscité jeudi de multiples réactions.
« L’INDUSTRIE DE L’HOLOCAUSTE », de Norman Finkelstein
Ambiguïtés
Archives — Avril 2001, Le Monde diplo, chapeau et conclusion
L’ART du pamphlet est ingrat. A écrire court, on risque la superficialité. La verve polémique pousse au dérapage verbal. Et, pris dans la logique d’une querelle, il arrive qu’on déraille sur le fond. Autant de caractéristiques auxquelles n’échappe pas, hélas, le petit livre ambigu de Norman Finkelstein.
[...] Nombre de chercheurs, et notamment en Allemagne, s’efforcent, archives en main, d’approfondir et de rénover l’approche du génocide nazi. Leurs travaux sont presque inconnus en France. Que Norman Finkelstein les ignore également a de quoi surprendre. Car à l’imposture des manipulateurs comme des négationnistes, il n’est en définitive qu’une réponse : l’histoire.
Communiqué de presse
Note No. 6061, 29 janvier 2007, www.un.org, extrait
Département de l’information • Service des informations et des accréditations • New York
Note aux correspondants
L’ONU LANCE UN SITE INTERNET DE DOCUMENTATION SUR L’HOLOCAUSTE
À l’occasion de la deuxième commémoration annuelle de la Journée internationale en mémoire des victimes de l’Holocauste, qui se déroulera le 29 janvier, le Département de l’information des Nations Unies lance aujourd’hui un site Internet de documentation à l’intention des enseignants et des États Membres de l’ONU pour les aider dans l’organisation de programmes éducatifs sur la Shoah.
Un fiasco judiciaire plus tard, que sont ils devenus ?
NDLR : Au delà de la couverture du NouvelObs n° 2309, p. 71-72, « Avec les enfants d'Outreau ». S'agissant de la couverture, attendons de savoir ce que nous en aurons conclu d'ici quelques mois ou années.
Qui était René Cassin ?
L’infatigable défenseur des droits de l’Homme que fut René Cassin est né le 5 octobre 1887 à Bayonne. C’est à Nice qu’il passe son enfance avant d’entreprendre très tôt des études de droit et d’histoire à l’Université d’Aix-en-Provence. Promis à une carrière universitaire, c’est à Paris qu’il entreprend sa thèse de doctorat en droit. Nul doute que ses années de formation ont été marquées par le climat intellectuel et politique de la France du tournant de siècle, et notamment par l’affaire Dreyfus qui divise durablement l’opinion publique de l’époque.
De source et la suite sur www.cncdh.fr. Feuilleter également Le monde selon K.