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Quand les hypocrites daigneront enfin ouvrir le bal...
Ces histoires de peoples, de politiciens, de calls-girls et de coucheries vont-elles virer à l'hypocrisie absolue et à un grand bal franco-québecois ? Je viens de constater que Tristane Banon s'est confiée à Paul Arcand, pour 95.8 fm Montréal :
Oui, tout à fait, notre nouvelle icône a raison, en France, « on en veut pas à la personne qui a le vice, mais à celui qui le montre », quelques personnalités de ce pays devraient pouvoir confirmer ou nous creuserons à l'Assemblée nationale, et en France, comme le dit si bien Tristane Banon, « des gens sont en effet très puissants »... mais tous ne sont pas tout à fait intouchables, je connais maintenant plusieurs magistrats français qui devraient pouvoir confirmer, ou souhaiteront-ils tous se taire, se terrer, par exemple, en raison du devoir de réserve, d'une obligation de loyauté, de servilité ou d'obéissance, comme des employés de bureaux ? J'en connais plein qui se taisent, ou qui murmureront que ces histoires là, c'est pas possible, j'en connais même qui défendront plutôt la pédophilie à cheval et éducative !
En trouvant cette interview de Banon, sur Facebook, j'ai immédiatement reconnu la voix d'Arcand... ou peut-être, son accent, son style et ses réactions aux propos de notre toute nouvelle icône française, de cet « objet d’actualité » du moment que nous partageons maintenant avec le Québec, Tristane Banon. Par le passé, Voleurs d'enfances, l'un des reportages d'Arcand sur la DPJ (protection de la jeunesse ou de l'enfance québecquoise), avait suscité un très vif émois parmi les professionnels québecquois... puis « Jamais sans ma mère », un reportage d'Envoyé spécial, avait fait brailler les professionnels de l'ASE, les français confirmeront-ils ou ont-ils déjà oublié, comme DSK ou comme un Mirmand ?
Voleurs d'enfance by bkant
Sur France 2, dans leur forum, Envoyé Spécial avait suscité une vague de contestations et des critiques supplémentaires, ces échanges sont toujours lisibles. L'UNASEA avait également réagit à ce reportage, Jamais sans ma mère : « Il est inacceptable que les travailleurs sociaux soient présentés comme des « voleurs d’enfants », agissant de manière arbitraire. » Aujourd'hui, je ne peux que persister, signer, comme depuis 2003, comme depuis 2005, les faits ainsi que de très nombreux écrits le confirmeront : par le passé, des travailleurs sociaux sont venus « prélever » l'une de mes deux filles, en région parisienne, pour la « donner » à ses tantes maternelles, pour « placer » mon ainée en Alsace. Que répondra aujourd'hui l'UNASEA ? Avant de me répondre, les professionnels de l'UNASEA pourraient envisager de se renseigner auprès de ceux de l'Oeuvre de Secours aux Enfants France, ainsi qu'auprès de ceux de l'ARSEA Alsace...
Depuis, l'UNASEA est devenue officiellement la CNAPE (Convention nationale des associations de protection de l’enfant), voir ce communiqué sur le site de la Fondation Enfance. La CNAPE restera-t-elle parfaitement aphone, comme d'autres, ou me répondra-t-elle dans les prochains jour ? La CNAPE renverra peut-être vers des magistrats ou vers le parquet de Nanterre, eux même parfaitement aphones, depuis plusieurs années déjà ! Fin mai 2008, des caméras m'avaient accompagné jusqu'au tribunal de Nanterre, pour France 2, Faits Divers le mag ; le parquet avait alors refusé de répondre aux journalistes, ce qui est encore gravé dans l'inathèque. Au cours des années passées, ma présence avait été très fréquemment remarquée par des caméras ; mais le parquet, comme absent, n'a jamais répondu.
« Voleurs d’enfants » ou « Voleurs d’enfances », à qui pensait alors l'UNASEA, au reportage d'Arcand ou à celui d'Envoyé spécial ? Voleurs d'enfants, un ouvrage de Henri Darbes, ne paraissait qu'en septembre 2007, aux éditions du Geai Bleu : « Le choc des mots ! Voleurs d'enfants, vie volée... Nous voici en dehors du cadre défini. Qui contrôle et pourquoi ? La machine administrative s'ébranle, lourde, prétentieuse, trop souvent aveugle. » Nous voici donc une fois de plus en dehors du cadre défini, ce que je pense avoir à nouveau assez bien décrit dans mon billet du 8 octobre dernier, Ce monde est petit ; mais la CNAPE va répondre, « communiquer », nous rassurer ou nous enfumer à nouveau en retour, bientôt
Hé oui, contrairement à DSK et à notre nouvelle icône, Tristane Banon, contrairement à ce qu'exigeait le juge pour enfant Xavier Serrier, fin juin 2008, contrairement à ce qu'exigeait encore, ensuite, la cour d'appel de Versailles, je ne change pas de discours, je maintiens quasi les mêmes discours, depuis des années déjà, en me fondant essentiellement sur des écrits, des livres et des documents d'archives. Tristane Banon et ses conseils semblaient un moment envisager de saisir un juge d'instruction, de poursuivre au civil... après avoir déjà bien fait fouiner et fouiller le parquet de Paris ?
Comme depuis plusieurs années déjà, je n'ai pas besoin de juge d'instruction pour m'exprimer, librement, et maintenir mes discours, approfondir, développer ou préciser mes opinions et critiques. Je pense avoir suffisamment d'éléments entre mes mains ou répartis dans divers fichiers, où je peux puiser, assez facilement.
Des psychologues, des psychiatres, de prétendus scientifiques, des madame Irma des temps modernes, pourraient brûler d'envie de me répondre, souhaiter me répondre avant des juges, le parquet et la CNAPE. Je les inviterais d'abord à faire un gros ménage par chez eux, leurs travaux ou fonds documentaires manqueraient cruellement de pertinence. Une fois leurs sources assainies et leurs travaux corrigés et revus, je les inviterais une fois de plus à commenter cet ancien billet, toujours sans la moindre réponse : Un cas clinique, histoire d'en rire. Mais avant cela et tout en le développant, je soulignerais aussi que, malgré ses discours et son passé, Tristane Banon a récemment été suivie par le parquet, personne ne s'est vraiment ou officiellement aventuré à la faire passer pour une débile.
Oui, j'en ai bien conscience, arrivé à ce paragraphe, tout peut devenir très « compliqué » pour des QI de pétoncles. Ceux qui sont déjà perdus peuvent toujours téléphoner au Conseil général des Hauts de Seine, ils recrutent peut-être toujours. A présent, beaucoup pourraient être en train de bouillir, c'est normal. Contrairement à ce que supposait le Docteur Magalie Bodon-Bruzel, un « précieux atout », dans un rapport très contestable versé au dossier de mon ainée, en 2006, pour le juge pour enfant de Nanterre, j’ai conscience des troubles que je crée autour de moi. Quand je publie, très souvent, ça irrite. Je pense que Claire Davidson, psycho quelque chose ou charlatant, confirmera ou restera aphone, elle aussi
Quand Tristane Banon s'exprime, je pense qu'elle agace ou irrite aussi, beaucoup. Mais cela ne fait pas d'elle quelqu'un de « dangereuse », ou ses livres seraient supprimés, comme des blogs, et nos médias ne lui tendraient plus de micro... Je me trompe ? DSK et ses avocats pourraient maintenant grincer, geindre ou avoir envie de répondre à ce paragraphe précis, nous exposer qu'il serait souhaitable que Banon passe bientôt, tout de même, et au minimum, pour affabulatrice
De source Rue89 | Ces histoires « d'ordre privé », « à tiroirs » ou « à dormir debout » sont souvent assez « complexes » ou « compliquées », à elles seules, les affaires ou les plans sauteries de DSK nous le démontrent. Il faut que je me repose un peu, que je me remettre de toutes ces lectures, écoutes et émotions parfois très vives. |
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