Affiches de Stéphane Guillon refusées : la régie de la RATP s'explique
NDLR : Klemperer nous le disait déjà, « la langue ne ment pas ».
Affiches de Stéphane Guillon refusées : la régie de la RATP s'explique
Le Parisien |Publié le 26.01.2012, 21h58 | Mise à jour : 30.01.2012, 12h49, extrait
Vendredi matin, interrogé sur Europe 1, Gérard Unger, président de la régie, a expliqué qu' « en période électorale, la RATP ne pouvait pas imposer au public un avis selon lequel Sarkozy serait battu ». « Et cela concerne tous les candidats », a-t-il insisté. L'affiche vise-t-elle clairement un candidat de la présidentielle en particulier ? « La langue française est assez précise et M. Guillon sait très bien ce qu'il fait », a répondu Gérard Unger. Il a précisé que la régie n'avait pas eu le temps d'étudier la recevabilité de l'affiche, l'ayant « reçue tardivement ».
Pôle emploi propose à une éducatrice du strip-tease seins nus
Hérault
Pôle emploi propose à une éducatrice du strip-tease seins nus
Midilibre.fr
30/01/2012, 19 h 32 | Mis à jour le 30/01/2012, 19 h 48
“Je ne me mettrai pas à poil pour gagner de l’argent !” Il y a quelques semaines, Danièle, 53 ans, éducatrice domiciliée à Gignac (Hérault), a reçu une surprenante proposition de la part de Pôle emploi : un job de strip-teaseuse dans une boîte de nuit à Poussan. Condition sine qua non : maîtriser les “techniques classiques du topless”... Salaire : 12,99 € de l'heure plus les primes. Le directeur régional de Pôle emploi assure que tout est normal.
A lire demain dans Midi Libre.
Génocide : Sarkozy craint le recours
Génocide : Sarkozy craint le recours
AFP Mis à jour le 31/01/2012 à 15:14 | publié le 31/01/2012 à 15:12
Le président Nicolas Sarkozy a déclaré mardi aux parlementaires de la majorité que le recours au Conseil constitutionnel contre le texte pénalisant la négation du génocide arménien "ne (lui) rend pas service", ont indiqué plusieurs sénateurs UMP.
Le chef de l'Etat a exprimé notamment le risque que si la proposition de loi était annulée, il y ait ensuite un recours contre la pénalisation de la négation de la Shoah, selon les mêmes sources.
Christophe Alévêque maintient ses injures sur Zinedine Zidane
Christophe Alévêque maintient ses injures sur Zinedine Zidane devant le tribunal
News publiée Le Jeudi 2 Février 2012 à 18:32, Pure People
Ce jeudi 2 février s'est ouvert le procès de Christophe Alévêque devant le tribunal correctionnel de Paris où il est accusé d'avoir injurié Zinedine Zidane au cours d'un entretien donné à SportMag le 3 janvier 2011.
Il décrivait l'ancien meneur de jeu des Bleus et du Real de Madrid en des termes fleuris, lui reprochant notamment d'être devenu un homme sandwich, "d'être une pute", "lisse" et "con comme une bite".
Alors aujourd'hui, en arrivant au tribunal, Christophe Alévêque, qui avait fait le déplacement contrairement à Zinedine Zidane, n'avait pas envie de rire, même s'il est arrivé plutôt serein, maintenant ses propos. "Je ne dis jamais que je suis allé trop loin, l'humour ne va jamais trop loin, a-t-il déclaré avant son audience. Je suis un bouffon, j'ai critiqué avec mes mots quelque chose que j'ai trouvé vulgaire."
Mallaury Nataf : « Je suis SDF depuis mars »
NDLR : Nataf, une « op' de comm », peut on lire parmi les commentaires, 20 Minutes, à la suite de leur décryptage. Comment faudrait-il au juste interpréter la comm de l'ex-magistrat Patrick Kiel ? Je me demande maintenant surtout ce qu'est devenue Christianne F. ou Felscherinow, sa trace s'est perdue en janvier 2011.
Média
Mallaury Nataf devenue SDF: Pourquoi ça choque?
Créé le 03/02/2012 à 17h39 -- Mis à jour le 03/02/2012 à 17h46, 20 Minutes
DECRYPTAGE - L'ancienne actrice de la série d'AB Productions «Le Miel et les abeilles» a expliqué au Parisien qu’elle était devenue SDF. Une annonce qui fait beaucoup jaser. «20 Minutes» fait le point...
Evidemment, on se souvient de sa fossette au menton, de ses yeux bleus, voire de son absence de culotte lors d’un passage télévisé, en 1999… Le fait d’apprendre dans Le Parisien que Mallaury Nataf du «Miel et des abeilles» est devenue SDF est donc en soi un étonnement. Mais tout de suite, on parle de sa «manucure», du manque de crédibilité du témoignage. Comme s’il était impossible de passer du statut de «star» d’AB productions à SDF.
Vulnérabilité des acteurs
«C’est pourtant une histoire qui renvoie à des cas classiques», explique à 20 Minutes le sociologue Serge Paugam, directeur de recherches au CNRS, spécialiste de la pauvreté. «Cette jeune femme semble avoir vécu des ruptures cumulatives: une série d’échecs à partir d’un échec professionnel».
La révolte des parents privés de leurs enfants
Actualité > Archives
RÉFORME
La révolte des parents privés de leurs enfants
Le Parisien | Valérie Urman | 13.05.2001
Réunis pour la première fois hier, les parents d'enfants « placés » ont fait entendre leur voix. Selon eux, les juges et les procureurs ont trop de pouvoir. Le gouvernement, qui les a entendus, présente une réforme mercredi.
POUR LA PREMIÈRE fois, ils sont venus parler sur la place publique. Les parents d'enfants placés ont tenu hier leurs « premières assises nationales », réunis par l'unique association à les représenter en France, le Fil d'Ariane. Environ 100 000 enfants sont, actuellement, retirés à leur famille. La justice, saisie d'environ 120 000 « mineurs en danger » sur une année, ordonne une fois sur trois le placement de l'enfant, soit 38 500 mesures nouvelles. Des chiffres énormes, dont l'importance même, alarme désormais autant les associations familiales que les juges et les pouvoirs publics. « Il arrive que l'on aille chercher un bébé tout juste sorti de la maternité... Il faut mettre en oeuvre d'autres moyens de prévenir les situations à risque », observe Ségolène Royal, qui souhaite « réduire le nombre de placements de moitié ». Secrétaire d'Etat à la Famille, intervenue hier, elle présentera mercredi la réforme de l'aide sociale à l'enfance en Conseil des ministres. Plusieurs rapports officiels remis au gouvernement ces derniers mois démontrent l'emballement abusif des procédures. Faute de prévention adaptée, des placements « économiques » achèvent de couler des familles pauvres qui ont cumulé les difficultés de l'exclusion, voire de l'errance. « Avec les 800 F à 1 000 F ( 122 € à 152,45 €) par jour que coûte l'enfant dans une institution, on pourrait aider la famille à se relever », relève Catherine Gadot, présidente fondatrice du Fil d'Ariane. « 'ai mis six ans à prouver que je m'étais reconstruite » Dans tous les cas, les droits fondamentaux des parents ne sont pas respectés. Les familles n'ont pas accès au dossier avant d'être convoquées chez un juge. Les parents « débarquent » dans le bureau, 8 fois sur 10 sans avocat, sans être informés des griefs invoqués par les services sociaux. En cas d'urgence, près d'une fois sur deux le placement intervient sans audience préalable des familles. Celles-ci attendent même la convocation du juge de longues semaines après le placement, parfois sans nouvelles de l'enfant. Or, les ordonnances provisoires de placement, difficiles à contester en appel, sont souvent renouvelées quasi automatiquement. La réforme attendue permettra aux parents d'accéder à l'ensemble du dossier. Elle imposera aussi au juge de recevoir la famille au plus tard 15 jours après le placement de l'enfant. Les procureurs aussi devraient voir leurs pouvoirs mieux encadrés. Actuellement, ils peuvent placer un enfant en urgence sans passer par un juge, « sans recevoir la famille, sans motiver sa décision et sans possibilité d'appel », déplore Jean-Pierre Rosenczweig, président du tribunal pour enfants de Bobigny. « Informer les parents, c'est un petit minimum, concède Catherine Gadot, qui s'est vu retirer sa fille de l'âge de 10 mois à six ans. On vous colle l'étiquette de mauvais parent, après on n'arrive plus à remonter la pente. » Elle-même n'a pas contesté le placement, justifié par le climat familial difficile. Mais, elle regrette que « l'affaire a été entendue en une demi-heure. J'avais ma fille le week-end, le reste du temps personne ne me tenait au courant du quotidien, de ses petites maladies, de l'école. La mesure a été reconduite tous les deux ans, ça durait un quart d'heure devant le juge qui se fondait sur le dossier des services sociaux. En plus, cela se passait mal avec l'éducateur, j'ai mis six ans à prouver que je m'étais reconstruite. »
Le Parisien
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Le discours de civilisation de Guéant ne passe pas
Politique | 5 février 2012, le JDD (paru dans)
Le discours de civilisation de Guéant ne passe pas
Le ministre de l’Intérieur a déclenché la polémique en planchant samedi sur le relativisme devant les étudiants de l’Uni.
Une nouvelle polémique pour Claude Guéant. C’est une petite phrase prononcée par le ministre de l’Intérieur et des cultes samedi lors d’une réunion du syndicat étudiant l’Uni (proche de l’UMP), à Paris à l’Assemblée nationale qui a mis le feu aux poudres. "Pour nous, toutes les civilisations ne se valent pas." Twittée par des jeunes présents lors de cette réunion à huis clos, elle a été repérée par Tristan Maupoil, un étudiant en journalisme. Qui a écrit un article sur le site frequenceesj.com. Article qui a aussitôt enflammé les réseaux sociaux.
"Discours philosophique"
Au cabinet du ministère de l’Intérieur, on ne dément pas que Claude Guéant ait prononcé une telle phrase, mais on la replace dans le contexte d’un "discours philosophique consacré au relativisme de gauche". Contacté par le JDD, l’entourage du ministre nous a fait parvenir l’extrait mis en cause : "Or il y a des comportements, qui n’ont pas leur place dans notre pays, non pas parce qu’ils sont étrangers, mais parce que nous ne les jugeons pas conformes à notre vision du monde, à celle, en particulier, de la dignité de la femme et de l’homme. Contrairement à ce que dit l’idéologie relativiste de gauche, pour nous, toutes les civilisations ne se valent pas. Celles qui défendent l’humanité nous paraissent plus avancées que celles qui la nient. Celles qui défendent la liberté, l’égalité et la fraternité nous paraissent supérieures à celles qui acceptent la tyrannie, la minorité des femmes, la haine sociale ou ethnique. En tout état de cause, nous devons protéger notre civilisation."
"Rabatteur de voix FN"
Numéro 2 du Parti socialiste, Harlem Désir a réagi sur son compte Twitter en fin de soirée en évoquant "la provocation pitoyable d’un ministre réduit à un rabatteur de voix FN" et pointé une "majorité en perdition électorale et morale". De son côté, la patronne d’Europe-écologie/Les Verts, Cécile Duflot a fustigé un "retour en arrière de trois siècles" et conclu son message toujours sur Twitter : "Abject!"
Dans l’entourage du ministre, on tentait samedi soir d’apaiser la polémique. "L’idée du ministre était de dire que chez les socialistes tout se vaut. Dénoncer le relativisme c’est ne pas admettre par exemple que certaines sociétés posent pour principe la lapidation des femmes adultères." Pas sûr que cela suffise à calmer les esprits.
Bruno Jeudy et Soazig Quemener - Le Journal du Dimanche
dimanche 05 février 2012
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Guéant : « polémique ridicule », dit Sarkozy
Guéant: "polémique ridicule", dit Sarkozy
Le Figaro Mis à jour le 06/02/2012 à 17:46 | publié le 06/02/2012 à 17:37
Les propos de Claude Guéant affirmant qu'une civilisation ou une société qui n'accordent pas les mêmes droits n'ont pas les mêmes valeurs sont empreints « de bon sens », a dit lundi Nicolas Sarkozy. « C’est une polémique ridicule. Une civilisation ou un régime politique où les hommes et les femmes n’ont pas les mêmes droits n’a pas la même valeur », a expliqué le chef de l’Etat dans un entretien à France 2 et à la chaîne de télévision allemande ZDF. "Si on veut bien ne pas polémiquer, ça nous éviterait de perdre beaucoup de temps", a-t-il ajouté.
Guéant : Letchimy « instrumentalise la Shoah »
Infos > Politique
Guéant: Letchimy "instrumentalise la Shoah"
Par Europe1.fr avec AFP
Publié le 7 février 2012 à 20h28
Mis à jour le 7 février 2012 à 20h28
Claude Guéant a accusé d'avoir instrumentalisé "la mémoire de la Shoah" le député apparenté PS Serge Letchimy qui l'a durement attaqué mardi à l'Assemblée nationale au sujet de ses récents propos sur les civilisations, évoquant le "régime nazi" et les "camps de concentration".
"Ce qui a été dit instrumentalise la mémoire de la Shoah, la pire horreur que l'humanité ait jamais produite", a regretté le ministre de l'Intérieur en marge d'un meeting UMP en Seine-Saint-Denis, jugeant que "la limite de l'inadmissible (avait) été franchie".
"J'ai du mal à comprendre le cheminement intellectuel de M. Letchemy parce que dans les propos que j'ai tenus il n'y avait que des valeurs d'humanisme, le rappel de valeurs de la République", a dit Claude Guéant. "Une civilisation n'est pas figée pour l'éternité, cela évolue. Notre civilisation française d'aujourd'hui est meilleure que la civilisation de la France qui tolérait l'esclavage, et la France qui pratiquait la peine de mort", a argumenté le ministre qui "pense que les civilisations évoluent, s'améliorent"."Certaines s'améliorent moins que d'autres", a-t-il toutefois ajouté.
Interrogé sur le fait que des élus des Antilles avaient d'ores et déjà prévenu qu'ils ne souhaitaient pas le rencontrer lors de sa visite dans quelques jours, Claude Guéant a répondu: "J'irai quand même aux Antilles, je verrai quand même les Antillais."
Il saute d'un pont... mais l'eau a gelé
NDLR : Après avoir entendu un lapsus, sur Public Sénat, puis Raoult répondant à Benbassa (une créature pavlovienne, à civiliser ou à baffer ?), on pourrait se décider, et sauter d'un pont. Mais attention, car le préfêt du Bas-Rhin pourrait se fâcher... Ce soir, et à l'occasion ou en marge du dîner du CRIF, on nous a encore parlé de Shalit, des Zeitouni, de valeurs et de civilisations, de la grandeur des notres, on nous a encore parlé de vies, de valeurs de vies. Arf, j'ai tweeté : « Après un décès suspect et des années de procédure, une vie, on s'apperçoit que ça vaut ça, une ordonnance à s'encadrer ». Puis j'ai à nouveau repensé au patrimoire culturel immatériel et à la Corrida, telle qu'elle se pratique à Rodhilan. Quel pays
Il saute d'un pont... mais l'eau a gelé
AFP Publié le 08/02/2012 à 20:31
Un homme de 34 ans a été sauvé aujourd'hui par le froid intense qui sévit actuellement en Alsace: alors qu'il voulait se suicider en sautant d'un pont dans le centre-ville de Mulhouse (Haut-Rhin) il s'est écrasé contre la glace et n'a été que légèrement blessé, selon les pompiers.
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Naufrage du Concordia : « On veut retrouver nos gosses »
Actualité > Naufrage du Concordia
Naufrage du Concordia : « On veut retrouver nos gosses »
Le Parisien | Anne Collin | Publié le 09.02.2012, 04h46, extraits
Les parents de Mylène, disparue dans le naufrage du « Costa Concordia » avec son ami Mickaël il y a presque un mois, ont rejoint l’Italie hier. Ils s’opposent à l’arrêt des recherches.
Ils ont embarqué hier matin à bord d’un avion qui les a menés à Rome (Italie). Un billet aller sans date de retour. Brigitte et Alain Litzler, les parents de Mylène, 23 ans, portée disparue avec son compagnon, Mickaël, 25 ans, depuis le naufrage du « Costa Concordia » le 13 janvier, étaient attendus pour un briefing. Accompagnés des parents de Mickaël, ils devaient assister dans la journée à une réunion organisée par les autorités italiennes en compagnie des familles des 13 autres disparus.
Ces parents domiciliés à Sarcelles sont partagés entre la détresse et la colère. « On se sent abandonnés. Nous n’avons pas été contactés par le Quai d’Orsay depuis le 27 janvier », s’insurge la mère de Mylène, les traits tirés par la fatigue et l’interminable attente. Pour elle, impossible de se contenter des rapports que l’ambassade de France à Rome leur adresse par mail, surtout quand ces derniers indiquent que les recherches sont suspendues.
[...] Pourtant, quatre semaines après l’accident, l’arrêt des recherches est envisagé et pourrait être évoqué par le préfet Franco Gabrielli, commissaire spécial en charge du naufrage. Pour les familles des disparus, il n’en est pas question, car l’espoir perdure. Elles estiment que certaines parties du bateau n’ont pas été explorées.
Alors aucune d’entre elles ne veut entendre parler de coûts, de pollution ou de mauvais temps. « Si l’Italie n’a pas les moyens nécessaires, qu’elle demande de l’aide aux autres pays, affirme Brigitte. La France doit faire pression. Il faut que le gouvernement nous donne les moyens de sauver nos enfants et rapidement. » Car, pour cette maman, le pire, c’est l’oubli. « On a l’impression que ça n’intéresse plus personne! » tempête-t-elle.
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Affaire Estelle Mouzin : le militaire n'a rien à voir avec l'affaire
NDLR : Ouf, je l'ai échappée belle. J'ai plein de notes dans mon blog
Info Franche-Comté - Affaire Estelle Mouzin
Le militaire n'a rien à voir avec l'affaire
Par Sarah Rebouh et Catherine EME-ZIRI, France 3, extrait
Au moment de l'enlèvement d'Estelle, il était âgé de 11 ans, donc trop jeune pour être considéré comme suspect. A priori, ces notes manuscrites ne semblaient pas révéler de nouveaux éléments qui seraient, jusqu'à maintenant, inconnus ou non publiés par les médias. Le jeune militaire est revenu à l'hotel. Apparemment, il n'était pas au courant qu'il était recherché par la gendarmerie.
Dernièrement, il s'est présenté pour louer à nouveau une chambre, dans l'Etap Hôtel de Besançon où il semble avoir ses habitudes. Interrogé par les gendarmes, il a déclaré n'avoir aucun lien avec la disparition d'Estelle. Il aurait tout simplement pris des notes à la suite du visionnage d'une émission télé retraçant l'histoire de la jeune fille. Pour ce qui est de la valise, il dit l'avoir laissé à l'hôtel précipitemment pour réussir à avoir son train. D'après une source proche de l'enquête, il n'aurait effectivement rien à voir dans l'affaire Estelle Mouzin.
Affaire Bettencourt : les motifs de la double mise en examen d’Eric Woerth
NDLR : Voir aussi Les régionales, en Moldavie française... Cet ensemble devrait faire plaisir à Frédéric Lefebvre
Accueil > Société
Affaire Bettencourt : les motifs de la double mise en examen d’Eric Woerth
LEMONDE | 10.02.12 | 10h39 • Mis à jour le 10.02.12 | 10h47, extrait
Pour Nicolas Sarkozy, qui s'apprête à entrer officiellement dans la campagne présidentielle, le coup est rude et le symbole fort. Son ancien ministre du travail, celui qui fut le trésorier de sa campagne victorieuse, en 2007, aujourd'hui pilier de la cellule "riposte" mise en place autour du chef de l'Etat, a été mis en examen à deux reprises dans le dossier Bettencourt, à l'issue de deux éprouvantes journées d'audition, mercredi 8 et jeudi 9 février.
M. Woerth, mis en cause publiquement à partir de juin 2010 suite à la publication d'enregistrements clandestins opérés au domicile de la milliardaire Liliane Bettencourt, avait d'abord profité de l'inertie du parquet de Nanterre (Hauts-de-Seine). Le procureur Philippe Courroye, un intime du président de la République, s'était contenté, à l'été 2010, d'ouvrir une enquête préliminaire, se refusant à désigner un juge indépendant et à lancer la moindre poursuite sur les multiples infractions révélées par les enregistrements.
Jean-Michel Gentil, Valérie Noël et Cécile Ramonatxo, juges d'instruction du tribunal de Bordeaux où le dossier a été dépaysé en novembre 2010, n'ont pas eu la même mansuétude. Les magistrats ont estimé que des "indices graves et concordants" de commissions d'infractions pesaient sur le député UMP et maire de Chantilly (Oise), désormais poursuivi à double titre dans ce psychodrame familial aux allures de scandale d'Etat.
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L'Iran a « brisé l'idole » de l'Holocauste
L'Iran a "brisé l'idole" de l'Holocauste
AFP Publié le 11/02/2012 à 09:56 Réactions (20)
L'Iran a "brisé l'idole" de l'Holocauste, a affirmé aujourd'hui le président Mahmoud Ahmadinejad lors d'un discours à l'occasion du 33eme anniversaire de la révolution islamique de 1979.
"L'Occident et les colonialistes, pour dominer le monde, ont créé une idole qu'ils ont appelée le régime sioniste. L'esprit de cette idole est l'Holocauste (...) et la nation iranienne, avec courage et clairvoyance, a brisé l'idole, préparant la libération des peuples occidentaux", a déclaré M. Ahmadinejad, qui a suscité de vives réactions internationales en niant à plusieurs reprises, dans le passé, le génocide des Juifs durant la Seconde guerre mondiale.