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Disparition d'Antoine : l'inquiétude grandit à Issoire
Disparition d'Antoine : l'inquiétude grandit à Issoire
un titre de l'actu en vidéo, sur leparisien.fr
L'enquête sur la disparition du petit Antoine "ne fait que commencer" et "n'exclut aucune hypothèse", y compris le "cercle familial" de l'enfant, a déclaré le procureur de la République de Clermont-Ferrand, Jean-Yves Coquillat.
"On continue à travailler sur toutes les hypothèses et nous allons élargir le cercle des investigations autour des proches d'Antoine", porté disparu le 11 septembre, a déclaré le magistrat lors d'un point presse, avouant être "déçu" par la tournure des événements.
La mère d'Antoine, Alexandrine, 23 ans, placée en garde à vue mercredi après-midi à Clermont-Ferrand, a été remise en liberté hier soir. Il "n'y avait pas de charges suffisantes contre elle", a souligné le procureur, ajoutant: "si garde à vue ne veut pas dire culpabilité, levée de garde à vue ne veut pas dire innocence".
La jeune femme, qui a passé la journée chez son avocate, vient de se constituer partie civile dans ce dossier, a annoncé à la presse dans l'après-midi son conseil, Me Anne-Laure Lebert.
"Jeudi, on n'a pas eu de chance", a estimé M. Coquillat. "J'espérais que malgré la difficulté, on pourrait sortir de cette affaire rapidement, je pense que ce n'est pas le cas. Ce sera long et difficile", a-t-il dit, soulignant la "volonté farouche" de la justice et des enquêteurs "de retrouver les auteurs".
"S'ils se croient plus malins et plus forts que la justice, on verra à la fin de la partie qui gagnera", a averti le procureur, ajoutant: "Ce n'est pas parce que l'enquête avance lentement qu'elle ne progresse pas".
Antoine : "aucune hypothèse exclue"
Source : AFP
26/09/2008 | Mise à jour : 16:59 | .
Intéractif & Multimédia
Sexe des foetus: Google et Microsoft retirent des publicités en Inde
leparisien.fr | 18.09.2008, extrait
L'avocat, à l'origine de la plainte, Sabu George, estimait que ces produits nuisaient aux efforts entrepris pour lutter contre les avortements pratiqués par des femmes qui ne souhaitent pas donner naissance à une fille.
«Les liens sponsorisés sur Google ont considérablement diminué. Ils ont disparu du moteur de recherche de Microsoft Inde», a indiqué à l'AFP Sabu George.
«En Inde, nous n'autorisons pas de publicités pour des produits permettant de déterminer le sexe avant la naissance. Nous prenons les lois du pays très au sérieux», a indiqué Google dans un communiqué.
Depuis 1994, l'Inde interdit à ses médecins de révéler le sexe des foetus lors des échographies.
Comme en Chine, au Pakistan ou au Népal, des préjugés à l'égard des femmes en Inde et la préférence pour les garçons entraînent depuis des décennies des avortements sélectifs, des infanticides, des abandons de bébés de sexe féminin ou des mauvais traitements.