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Une nouvelle basket Lacoste chez Colette
Une nouvelle basket Lacoste en magasin
Source : Relaxnews, 16/11/2008 | Mise à jour : 15:30
Lacoste et le magazine Shoes-Up lancent une nouvelle basket en série limitée en hommage à la France, la Lacoste X Shoes-Up. Elle est entièrement recouverte de lainage noir et a un talon sur la cheville, tout comme un Béret basque, symbole de la France et aussi du Pays Basque, le pays d'origine de René Lacoste. La série est limitée à 160 paires dans le monde et sera notamment disponible en France à partir du 18 novembre chez Colette à Paris à 130 euros.
Les baskets sont vendues dans une boîte à chapeau, accompagné d'un livre de 148 pages de portraits "Béret" réalisés par le photographe Charles Levy. La boîte contient un code qui permet aussi de télécharger le film Shoes-Up Lacoste réalisé par le Studio Mathematic à travers son label UFO.
PARIS (AFP) — Le "sac Township", offert à la première dame de France Carla Bruni-Sarkozy dans un bidonville d'Afrique du Sud, se vend désormais 100 euros pièce dans la boutique la plus branchée de Paris, la somme récoltée devant permettre d'ouvrir une coopérative sur place.
Fabriqué en quantité limitée, soit 421 pièces, l'accessoire également baptisé "sac Carla", est vendu par la boutique Colette, dans un quartier chic de la capitale, sur initiative de l'ONG Afrique du Sud, Bidonvilles.
L'ancien mannequin-vedette s'était vu offrir le sac, composé de toile de jute doublée de coton aux couleurs de l'Afrique du Sud, lors d'une visite en février dans une coopérative de couture qui emploie des femmes du township de Khayelitsha, au Cap.
Elle accompagnait son époux, le président Nicolas Sarkozy, lors d'une tournée en Afrique.
Cette coopérative, et quatre autres, ont été ouvertes dans deux townships du Cap avec l'aide de l'ONG.
En raison de "l'intérêt suscité dans les médias" par la visite de Carla Bruni-Sarkozy, l'ONG a "eu l'idée de reproduire ce sac" pour aider à financer une nouvelle coopérative, a indiqué vendredi à l'AFP une responsable de la société de commerce équitable Townhship Pattern, qui vend les produits de ces coopératives.
"Carla Bruni-Sarkozy a été tenue informée de notre initiative, étape par étape, et a joué un rôle en termes d'image et de notoriété", a dit Audrey Touchard.
La boutique Colette a annoncé vendredi à l'AFP avoir écoulé les 20 sacs mis en vente à partir du 1er novembre. Elle prévoit d'en disposer d'autres sur ses étalages.
Peut-on tout confier à Google ?
LE MONDE 2 | 14.11.08 | 18h03 • Mis à jour le 14.11.08 | 18h07, extrait
Depuis plusieurs semaines, il soupçonnait si fortement sa femme d'infidélité qu'il ne parvenait plus à obtenir la moindre érection. Il s'était mis en quête d'un conseiller matrimonial, tout en cherchant le meilleur moyen de confondre son épouse. Sonoriser la voiture ? Installer des caméras de surveillance pour bébés dans l'appartement ? Pister l'activité de son téléphone portable ? Le jour où il avait découvert qu'elle le trompait bel et bien, et que l'amant était une amante, il avait sombré dans l'alcool. Au fond de sa déprime, il imaginait mettre un contrat sur les deux femmes. Ce résident de Floride avait cherché un contact auprès d'une mafia au Portugal, son pays d'origine. Désespéré, il avait fini par s'enquérir d'une aide au suicide, avant de se raviser, et de décider de quitter le continent américain.
Comment connaissons-nous autant de détails privés de cette triste histoire vraie ? Quelle autre trahison, en plus de celle de son épouse infidèle, a valu à cet homme de voir ainsi publiquement exposée son intimité ? Celle de son analyste ? D'un membre de sa famille ? D'un proche confident ? Non : de son moteur de recherche. Car ce qui fait le canevas de ce drame domestique n'est rien d'autre, ni rien de plus, que la suite de mots-clés qu'il a recherchés, jour après jour et pendant trois mois, sur le Web.
En août 2006, AOL a divulgué accidentellement un fichier contenant les logs de 658 000 utilisateurs, collectés entre les mois de mars et de mai de la même année. Les logs, c'est-à-dire l'historique des mots-clés recherchés sur Google depuis le portail d'AOL, accolés à la date et à l'heure de leur recherche. Chaque internaute n'est certes identifié que par un numéro – celui de l'époux trahi est 14162375 – mais bien vite, des journalistes et des blogueurs se sont amusés à rechercher, parfois avec succès, des identités réelles derrière les suites de chiffres… Aux Etats-Unis, l'affaire a frappé les esprits. Car ce n'est pas seulement "une base de données d'intentions humaines", selon l'expression du journaliste américain John Battelle (La Révolution Google, éd. Eyrolles, 282 p., 19,90 €), que révèlent ces logs : c'est aussi et surtout un immense catalogue d'angoisses, de pulsions, de terribles secrets, de noirs fantasmes ou de perversions cachées…
Carla Bruni, son album se vend moyen mais... son sac cartonne !
News publiée le lundi 10 novembre à 12h41, www.purepeople.com, extrait
Après avoir charmé le Sénat, Carla Bruni a envoûté les clients de chez Colette, rue Saint-Honoré à Paris.
La Première dame a en effet lancé un sac, le Township, réalisé par des couturières d'une coopérative d'Afrique du Sud située dans un bidonville, à Khayelitsha. Une collaboration qui est née suite à sa visite officielle dans le pays en février 2008 avec son époux Nicolas Sarkozy.
Un sac en toile de jute doublé coton, vendu 100 euros, dont les couleurs reprennent exactement les couleurs du drapeau sud-africain et réalisé en seulement 421 exemplaires numérotés. Pas de bol mesdames, ce modèle est déjà en rupture de stock dans la célèbre boutique, une semaine à peine après sa mise en rayon.