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Suicide d’une enseignante : son mari écrit à Xavier Darcos
Faut-il faire la fête ?
France Info - Hier, 00:00
A propos du Nouvel An, Michel, un jeune homme de 23 ans, se pose une question que beaucoup d’entre vous se posent certainement : pourquoi est-on "obligé" de faire la fête, sous peine d’être mal vu ou mal considéré ? A quoi cela correspond-il ? Finalement, ajoute Michel, à quoi sert la fête et pourquoi certains n’en ont-ils pas envie ? Les réponses de la psychanalyste Claude Halmos...
Faire la fête (2'12")
Suicide d’une enseignante : son mari écrit à Xavier Darcos
France Info - Hier, 11:20
Presque trois mois après la mort par suicide d’une enseignante de Massy dans l’Essonne, son mari a écrit au ministre de l’Education Nationale.
Dans cette lettre - que vous pouvez lire ci-joint - il met en cause l’Inspecteur d’Académie et le Recteur d’Académie. Le premier pour son attitude alors que le “corps de (sa) femme n’était pas encore au funérarium” qui a organisé une réunion des enseignants, “auxquels il enjoignait de n’évoquer que des problèmes personnels...”
Le second pour avoir rendu public “une information du dossier médical de (sa) femme censé être confidentiel, trahissant ainsi le secret professionnel...”
Et il dénonce plusieurs contrevérités avant de rendre hommage à son épouse qui souffrait selon lui d’un “manque de reconnaissance”, même s’il ne se prononce pas directement sur ce qui a pu motiver son “acte de désespoir.” :
“ Muriel était une femme passionnée par son travail, animée du souci permanent de bien faire et d’une grande exigence professionnelle...son engagement auprès des enfants dans le cadre des Réseaux d’Aide Spécialisé aux Eléves en Difficulté était un choix personnel qui correspondait à une motivation profonde.
Je peux témoigner, comme tout son entourage, qu’elle souffrait du manque de reconnaissance dont pâtit particulièrement cette catégorie d’enseignants, et qu’elle évoquait souvent, la semaine précédente, l’intention annoncée de supprimer des postes et de modifier profondément le fonctionnement du RASED comme une source d’angoisse pour elle. Que cette intention, enfin, allait totalement à l’encontre du développement de son travail en direction des enfants en difficultés”.