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Sarkozy aurait-il changé d'avis sur Gandrange ?
Faits divers
Bébés morts à Montluçon : la mère passe aux aveux
Le Parisien | 03.02.2009, 12h34 | Mise à jour : 22h26
Faits divers
Procès Trémeau : le violeur «pensait être soigné»
Le Parisien | 03.02.2009, 22h38 | Mise à jour : 23h05, extraits
Quand il est sorti de prison au printemps 2005, le violeur récidiviste Patrick Trémeau « pensait être soigné ». Il affirme ne pas comprendre pourquoi il a de nouveau violé. Mardi, au premier jour de son procès devant les assises de Paris, celui qu'on a, parfois, surnommé le Violeur des parkings, a déclaré face aux jurés : « Comment ça a pu se reproduire, je ne sais pas. » Il s'est ensuite lancé dans le récit de sa jeunesse extrêmement difficile.
[...] Les avocats mettent en garde contre « un procès emblématique »
C'est à l'occasion de son interpellation que la question de la récidive était revenue au coeur du débat politique. Elle fait l'objet d'un projet de loi défendu par le garde des Sceaux d'alors, Pascal Clément. Le même discours sur la récidive est amplifié à l'occasion de la présidentielle par Nicolas Sarkozy. Et l'actuelle ministre de la Justice, Rachida Dati, ne manque jamais de relancer la question de la récidive en défendant sa politique.
Un an après, élus et syndicats accusent Sarkozy d'avoir menti sur Gandrange
LEMONDE.FR avec AFP | 03.02.09 | 22h18 • Mis à jour le 03.02.09 | 22h42, extraits
Le 4 février 2008, à l'issue d'une visite très médiatisée de l'aciérie mosellane de Gandrange, Nicolas Sarkozy promettait, devant quelque 400 sidérurgistes, de maintenir l'activité de l'aciérie. Quitte à faire prendre en charge par l'Etat "tout ou partie des investissements nécessaires
[...] Depuis, "rien n'a été fait", accuse la députée socialiste de Moselle, Aurélie Filippetti, demandant que le chef de l'Etat "revienne à Gandrange pour s'expliquer". Et de prévenir : "Aujourd'hui, les salariés l'attendent non pas avec des grains de riz, comme l'année dernière pour son voyage de noces, mais (...) avec des boulons."
Un directeur d'école sanctionné
AP, 03/02/2009 | Mise à jour : 21:46
Un directeur d'une école primaire de l'Isère qui refusait d'enregistrer des informations dans la banque de données "Base-élèves", a été démis aujourd'hui par l'Inspection académique de l'Isère, a-t-on appris de source syndicale.
Cette décision -la première du genre en France- a été prise lors d'une commission administrative paritaire. Elle prendra effet au 1er septembre, à moins que le directeur n'accepte de rentrer les données informatiques avant le 27 mars, a indiqué le syndicat SNUIPP.
Jean-Yves Le Gall, démis de son titre de directeur de l'école primaire de Notre-Dame-de-Vaulx (Isère), conservera toutefois sa fonction d'instituteur.
Selon l'inspectrice d'académie, Monique Lesko, "il ne s'agit pas d'une sanction mais d'une mesure administrative de retrait d'emploi".
Le fichier "Base-élèves", destiné à la gestion et au suivi du parcours scolaire des enfants, est expérimenté depuis 2005 et doit être généralisé à partir de 2009. Selon la Ligue des droits de l'homme, près de 200 directeurs d'école se sont déjà déclarés opposés à ce logiciel.