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Les propos d'un haut magistrat scandalisent le Nord
Faits divers
Les propos d'un haut magistrat scandalisent le Nord
Le Parisien avec AFP | 08.02.2009, 19h00 | Mise à jour : 19h07, extrait
La polémique ne cesse d'enfler après les propos d'un haut magistrat à l'égard des habitants du Nord. Deux députés du Nord ont annoncé ce week-end avoir écrit au président de la République pour demander «réparation» de propos prêtés à Didier Beauvais, à l'occasion de l'audience disciplinaire du juge Burgaud, les jugeant «inacceptables» à l'égard des nordistes.
Dépêches - France
Manifestation de solidarité aux familles du campement de la rue de la Banque
Le Parisien | 08.02.2009, 18h47, extrait
Plusieurs personnalités sont venues apporter dimanche leur soutien aux familles mal-logées qui campent rue de la Banque depuis le 14 décembre pour exiger que "les promesses de relogement du gouvernement soient tenues".
Josiane Balasko, Bénabar, Mgr Jacques Gaillot, Dan Franck et Guy Bedos ont tour à tour pris la parole rue de la Banque (IIème) pour dénoncer l'indignité de voir ainsi des familles à la rue.
Quelque 300 personnes campent depuis le 14 décembre pour exiger de "vrais" logements, la plupart des familles étant hébergées dans des hôtels ou des foyers.
"Les 300 personnes qui sont là ne sont que la partie émergée de l'iceberg", a dit l'actrice Josiane Balasko qui a interpellé une nouvelle fois la gauche. "Ce n'est pas nous qui pouvons arranger les problèmes du logement. Nous, nous ne passons que des messages, c'est à l'opposition de faire son boulot!", a-t-elle lancé.
Mobilité : le club des limogés de M. Sarkozy, par Arnaud Leparmentier et Isabelle Mandraud
LE MONDE | 07.02.09 | 14h25 • Mis à jour le 07.02.09 | 14h25, extrait
L'un monte son entreprise, le second devrait devenir gouverneur des Invalides, un troisième digère encore sa mésaventure, tandis que les autres sont occupés à déménager. Tous hauts fonctionnaires, ils forment un nouveau club appelé à s'élargir : les limogés de Nicolas Sarkozy.
Le scénario est toujours le même : un incident, une polémique médiatique, une tête qui roule. Parce qu'il faut en livrer aux Français, montrer que le président agit et que la haute fonction publique n'échappe pas au principe de responsabilité.
"L'histoire "responsable mais pas coupable", ce n'est pas mon genre", a expliqué le chef de l'Etat après le limogeage du préfet de la Manche et du patron départemental de la police, accusés d'avoir mal géré le déplacement présidentiel du 12 janvier à Saint-Lô. Comment vit-on après la disgrâce présidentielle ?