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Violences : « ne pas signaler un enfant maltraité, c'est être complice »
Violences - "Ne pas signaler un enfant maltraité, c'est être complice"
TF1-LCI - le 09/03/2009 - 14h42, extrait d'une interview de Gisèle Doutreligne, responsable du 119
LCI.fr : Si une personne a des doutes sur un enfant, qu'il soit de sa famille ou de son immeuble par exemple, que doit-elle faire ?
G.D : Il faut qu'elle appelle ! Signaler ce n'est pas dénoncer, c'est protéger. La personne qui appelle va dire ce qu'elle a vu ou entendu. Avec les éléments qu'on nous donnera on sera capable de savoir rapidement s'il s'agit d'un voisin qui veut se venger (mais c'est très rare), ou s'il y a peut-être un vrai problème et que la personne qui appelle a peur d'en parler directement avec les parents concernés. Je rappelle au passage que ne pas dénoncer, quand on a un sérieux doute, c'est devenir complice et c'est passible de sanction par la loi.
Politique
Dati : «Nicolas Sarkozy ne m'a jamais rien imposé»
Le Parisien | 09.03.2009, 08h50 | Mise à jour : 20h53, extrait
Alors qu'elle se lance dans la campagne pour les élections européennes aux côtés de Michel Barnier, la ministre de la justice Rachida Dati a une nouvelle fois assuré lundi matin sur Europe 1 qu'elle était maître de son destin... sans pour autant pouvoir donner précisément la date de son départ du gouvernement. «Nicolas Sarkozy ne m'a jamais rien imposé», affime Rachida Dati tout en précisant un peu après : «C'est lui qui décide.»