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Violente sortie xénophobe du petit-fils d'Indira Gandhi
Allemagne : de nombreux jeunes se déclarent très racistes
France Info - 15:32, extraits
Racistes, voire très racistes, et dépendants des jeux vidéo : le ministre allemand de l’Intérieur se déclare "épouvanté" par les résultats de cette étude sur la jeunesse de son pays, dont les résultats ont été présentés six jours après la tuerie de Winnenden…
[...] Pour lutter contre ces phénomènes de violence, les chercheurs qui ont réalisé cette étude plaident pour la généralisation de l’école l’après-midi, dans un pays où les cours s’arrêtent généralement vers 13h30.
Les résultats de cette enquête étaient attendus avec d’autant plus d’intérêt qu’un virulent débat autour des jeux vidéo et de la violence chez les jeunes agite le pays, une semaine après la tuerie de Winnenden. Un jeune de 17 ans avait abattu 15 personnes avant de retourner l’arme contre lui, mercredi dernier, dans la région de Stuttgart.
Violente sortie xénophobe du petit-fils d'Indira Gandhi
LEMONDE.FR avec AFP et IBN Live.com | 17.03.09 | 11h59, extrait
Le petit-fils de l'ancienne première ministre de l'Inde Indira Gandhi s'en est violemment pris à la minorité musulmane, un mois avant le début des élections législatives en Inde. Dans des extraits d'un discours en hindi, Varun Gandhi a affirmé que son Parti du peuple indien "couperait la tête de musulmans".
Ceux-ci "portent des noms effrayants, comme 'Karimullah' ou 'Mazullah', si bien que quand vous les croisez la nuit, vous avez peur", a ajouté M. Gandhi, candidat à la députation pour les législatives en Inde programmées du 16 avril au 13 mai. Ses propos, traduits en anglais par les médias, ont soulevé un tollé et la Commission électorale devait décider d'une éventuelle action en justice.
EXCLUSIF Colonna : plainte des avocats
Stéphane Durand-Souffland
Le Figaro, 17/03/2009 | Mise à jour : 15:40, extrait
Les avocats d’Yvan Colonna ont déposé plainte, ce mardi, auprès du procureur de Paris, contre les juges antiterroristes Jean-Louis Bruguière, Laurence Le Vert et Gilbert Thiel. Visant l’article 434 du code pénal, ils accusent les magistrats de « destruction, soustraction, recel ou altération d’un document public ou privé de nature à faciliter la découverte d’un crime ou d’un délit, la recherche des preuves ou la condamnation des coupables ». La peine encourue par les intéressés, du fait de leur fonction, est de cinq ans de prison et 75 000 d’amende.
Si les conseils du berger de Cargèse ont décidé mercredi dernier, sur l’instruction de leur client qui leur a montré le chemin, de quitter le procès en appel qui se poursuit sans eux devant la cour d’assises de Paris spécialement composée, ils n’ont pas renoncé à faire feu de tout bois pour établir l’« innocence » de l’accusé. Leur stratégie est à deux étages. Le premier, à destination de l’opinion publique, consiste à marteler l’idée que les débats sont « truqués » et ne peuvent déboucher que sur la confirmation du verdict de première instance – la réclusion criminelle à perpétuité.
Second étage du dispositif : une offensive procédurale tous azimuts, dont le but est d’ouvrir la voie à un inévitable pourvoi en cassation et, le cas échéant, à une saisine de la Cour européenne des droits de l’homme. C’est évidemment dans ce cadre que s’inscrit la plainte.