« L'enfant pendu « a échappé » à la surveillance des éducateurs | Dimitri « a échappé » à la vigilance des éducateurs » |
Cilaos pleure la mort de Dimitri
Faits-Divers
Cilaos pleure la mort de Dimitri
CLICANOO.COM | Publié le 31 mars 2009, extraits
Depuis dimanche à Cilaos, Marie-Line Idemont, 54 ans, pleure son petit-fils Dimitri, décédé accidentellement à l’âge de 7 ans. Placé dans un foyer d’accueil de la région de Melun, le garçon s’est retrouvé pendu à une corde à sauter coincée dans un toboggan. [...] “Au début, je n’ai pas compris ce qui s’est passé. Comment est-ce possible qu’un garçon de son âge puisse perdre la vie ? C’est inconcevable”, s’étrangle-t-elle. Toute la nuit de dimanche à lundi, les proches du petit Dimitri, en proie à une angoisse indicible, se posent mille et une questions. Ce n’est que le lendemain matin qu’un membre de la famille lève le mystère qui entoure la mort du petit. “Il jouait avec une corde à sauter au foyer, est monté sur un toboggan avec et s’est retrouvé pendu la corde autour du cou”, confie la grand-mère éplorée. Le fils de Marie-Line, David Hoarau, vit en Seine-et-Marne depuis 1996. Magasinier de métier, il partage la vie de Katia Carré, qui a deux enfants d’une précédente union. “Il les a accueillis comme ses propres enfants”, explique Marie-Line. De l’union de Katia et David naissent deux autres enfants, Mélissa, âgée de 11 ans, et le petit Dimitri. Il y a quelques années, la Ddass ordonne un placement des deux petits derniers dans un foyer d’accueil. David et Mélissa sont donc placés à la maison d’enfants Alizé, à Pamfou, près de Melun.
Ne dites plus "cantine" mais "restaurant scolaire"
LE MONDE | 30.03.09 | 16h41 • Mis à jour le 30.03.09 | 16h41, extraits
"Les enfants disent de moins en moins souvent : "J'en veux pas, c'est pas bon"", assure Mira Ivanovic, chef de cuisine à l'école Pommard, dans le 12e arrondissement de Paris. Dès 6 h 45, chaque matin, Mme Ivanovic et son équipe préparent sur place le repas des 280 élèves de l'école primaire et livrent 400 repas pour quatre autres établissements et un jardin d'enfants. [...] "Nous voulons changer l'image de la cantine. D'ailleurs, on ne dit plus cantine, mais restaurant scolaire", insiste-t-on à l'Association nationale des directeurs de restauration municipale (ANDRM). Pour améliorer les repas des quelque 6 millions d'enfants des écoles maternelles et primaires qui mangent chaque jour à la cantine, une nouvelle norme vient d'être mise en place par l'Association française de normalisation (Afnor) et l'ANDRM. Respect de l'équilibre alimentaire, temps suffisant pour manger (plus de vingt minutes), locaux plus agréables, mobilier et vaisselles plus adaptés, niveau sonore plus bas, meilleure formation du personnel... autant de mesures qui concernent 2 500 collectivités.