« Un enfant de 6 ans tué par balle chez lui | Il refuse de faire soigner sa femme » |
Tollé à l'UMP après les excuses de Royal à Zapatero
Ameriques, 10:32
Obama, la star du sommet
AFP/LT, extrait
Le président américain Barack Obama a séduit ses homologues d’Amérique latine au sommet de Trinité-et-Tobago, mais la question cubaine menaçait dimanche l’accord sur une déclaration finale, à quelques heures de la clôture.
Plusieurs chefs d’Etat se sont dit impressionnés à l’issue d’une rencontre entre M. Obama et douze dirigeants membres de l’Union des nations sud-américaines (Unasur).
«Nous avons tous pu lui parler et il a répondu à chacun», a fait valoir le président uruguayen Tabaré Vazquez, issu de la gauche, ajoutant: «Cela n’arrivait pas auparavant».
"Faisons la paix", propose le père d'Elise à sa mère
LEMONDE.FR avec AFP | 19.04.09 | 10h10, extrait
Jean-Michel André, le père de la petite Elise qui a récupéré la semaine dernière sa fille enlevée par sa mère, citoyenne russe, se déclare dans une interview au Journal du Dimanche "prêt à retirer sa plainte". "Je veux qu'elle réalise ce qu'elle a fait, qu'elle s'excuse publiquement. Faisons la paix", déclare Jean-Michel André au JDD du dimanche 19 avril.
Tension et boycott avant la conférence sur le racisme de l'ONU
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 19.04.09 | 13h11 • Mis à jour le 19.04.09 | 16h43, extrait
La Conférence internationale de l'ONU sur le racisme, qui doit s'ouvrir lundi 20 avril à Genève, semble être partie sur de mauvaises bases. Cette réunion doit évaluer les progrès réalisés depuis la première conférence onusienne qui s'était tenue, en 2001, à Durban. Celle-ci avait débouché sur l'adoption d'un plan d'action contre le racisme, mais s'était achevée dans la confusion, des accusations d'antisémitisme et un départ fracassant des Etats-Unis et d'Israël.
Alors qu'un consensus semblait s'être dégagé, vendredi, sur un projet de document final, qui abordait notamment les questions controversées relatives aux discriminations religieuses, à Israël et au Proche-Orient, plusieurs pays ont annoncé ou confirmé qu'ils ne se rendraient pas à Genève. Outre le document final, la présence du président iranien Mahmoud Ahmadinejad, qui a qualifié à plusieurs reprises l'Holocauste de "mythe" et multiplié les déclarations hostiles à Israël, dont il a réclamé la destruction, a jeté un malaise.
Tollé à l'UMP après les excuses de Royal à Zapatero
L.D. et J.B. (lefigaro.fr) Avec AFP et AP, 19/04/2009 | Mise à jour : 15:07, extrait
Xavier Bertrand dénonce un procédé «consternant» après que la présidente de Poitou-Charentes a présenté ses excuses au chef du gouvernement espagnol pour des propos imputés à Nicolas Sarkozy. Le PS reste discret.
Les nouvelles excuses de Ségolène Royal pour des propos imputés à Nicolas Sarkozy suscitent la colère de nombreux cadres de l'UMP. Samedi, l'ancienne candidate à la présidentielle a en effet présenté des «excuses» au président du gouvernement espagnol Jose Luis Zapatero pour des propos attribués à Nicolas Sarkozy, qu'elle qualifie «d'injurieux». Selon le journal Libération qui rapportait ces propos jeudi, Nicolas Sarkozy aurait dit de Zapatero qu'il «n'était peut-être pas intelligent» mais avait «gagné deux fois les élections». Ces propos ont ensuite été démentis par l'Elysée et par des témoins, y compris de gauche.
Interview exclusive, samedi 18 avril 2009, Le Temps, extrait
« La Suisse ne devrait pas partir en guerre contre l’OCDE »
Angel Gurría, secrétaire général de l’OCDE, est sous les feux des projecteurs helvétiques depuis que l’institution a reçu mandat de lister les pays non coopératifs en matière fiscale. Répliquant aux critiques de Berne, il défend sa position, sans concessions.
Le Temps: Saviez-vous, avant le sommet du G20 à Londres, que les travaux de l’OCDE allaient être utilisés pour placer quatre de vos membres – la Suisse, l’Autriche, la Belgique et le Luxembourg – sur ce qu’on appelle la «Liste grise»?
Angel Gurría: Pour nous, il n’y a pas de liste, d’aucune couleur. Il y a seulement des critères pour l’échange d’informations, avec des pays qui les ont adoptés ou se sont engagés à le faire. Depuis le début, c’est-à-dire il y a huit ans, nous travaillons sur 84 juridictions qui font l’objet d’évaluations régulières. L’une de ces juridictions est la Suisse. Depuis le début du processus, rien n’a changé, si ce n’est que notre travail a été mis sur une feuille de papier, sur une page, pour que les chefs d’Etat [du G20] puissent le lire.
– Mais la Suisse se plaint que vous ne l’ayez pas correctement informée…
– En marge de la réunion des ministres à Londres, j’ai donné au président Merz, de la main à la main, une copie de la formulation révisée pour le G20. Elle disait déjà que la Suisse s’était engagée à adopter les critères de l’OCDE. Et depuis le mois d’octobre 2008, j’ai eu des contacts avec tout le monde – premiers ministres, ministres, hauts fonctionnaires, experts… – pour dire que la tolérance envers la non-coopération [dans la lutte contre l’évasion fiscale] était en train de disparaître.