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Européennes : seuls 44% des franciliens se disent intéressés
Actualités Challenges < Toute l'actu 17.05.2009 | 15:58, extrait
AFFAIRE MADDIE
Maddie McCann : les parents et un policier s'accusent mutuellement
Les époux McCann ont porté plainte pour diffamation contre un ancien policier portugais en charge de l'affaire. Ils lui reprochent de les accuser d'être impliqués dans la disparition de leur fille. Le policier envisage à son tour d'attaquer en justice le couple.
Vendredi 15 Mai 2009
Etrange fait divers à Tarascon
Par M.P. (avec Reuters)
leJDD.fr, extrait
Vendredi soir, le parquet de Tarascon a toutefois annoncé qu'un médecin avait conclu que ses blessures étaient "compatibles" avec sa version des faits, qui est donc jugée plausible. "Il semble qu'on se dirige de plus en plus vers [le scénario, ndlr] d'une agression par un tiers", a dit le procureur Antoine Paganelli sur France Info.
France Soir du 16, « son entreprise a déposé le bilan au début d'année »
Européennes : Barnier et Dati en tête en Ile-de -France
Créé le 17/05/09 - Dernière mise à jour à 18h01 - Europe 1, extrait
SONDAGE EXCLUSIF - La liste UMP - Nouveau Centre conduite par Michel Barnier et Rachida Dati pour les Européennes recueille 33% des intentions de vote, selon le tout premier sondage sur l'Ile-de-France réalisé par TNS Sofres / Logica pour Europe 1. Elle devance de 11,5 points la liste socialiste menée par Harlem Désir. Mais la campagne a du mal à passionner les Franciliens. Seuls 44% des électeurs se disent intéressés par le scrutin.
Le premier enseignement du sondage TNS Sofres / Logica pour Europe 1*, réalisé à trois semaines du scrutin auprès des électeurs d'Ile-de-France, c'est que la campagne pour les élections européennes a du mal à passionner les foules. Une majorité (56%) se disent peu ou pas du tout intéressés par le vote du 7 juin.
*) Voir sur Europe 1
France Soir du 16, « le mari n'a pas pu se porter lui-même les coups »
high-tech
Trois balles dans la tête?
Créé le 17.10.07 à 13h40 | Mis à jour le 17.10.07 à 13h40,20 minutes, extrait
DECRYPTAGE - Comment un homme armé, dans le Wisconsin, a pu se tirer lui-même plusieurs balles dans la tête...
Dimanche 7 octobre, dans une maison du Wisconsin, un adjoint du shérif a tué son ex-petite amie et cinq autres personnes lors d’une fête, puis a pris la fuite. Quand il a été retrouvé quelques heures après, il s’est servi de son pistolet, un Glock calibre 40, pour se suicider, en se tirant deux balles sous le menton, et ensuite une sur le côté droit de la tête. Mais comment a-t-il bien pu se tirer trois balles de suite dans la tête?
En fait, il a manqué le cerveau. Une balle dans la tête n’est pas toujours mortelle. Quand le coup est tiré vers le haut depuis le menton, le recul peut dévier la bouche de l’arme vers le visage. Dans ce cas, la personne n’est pas touchée en pleine tête, où se trouve le cerveau: la balle passe par la bouche et le nez. La victime d’un tel coup souffre de blessures graves au visage. Elle peut aussi suffoquer si la balle touche une partie de son nez, ou si des morceaux de chair bloquent les voies respiratoires. Mais la douleur n’est pas forcément insoutenable, les survivants racontent que c’est comme se prendre un coup de poing ou un coup de pied sur le visage. La victime peut même rester suffisamment alerte pour se servir de ses mains, ou, comme ce fut le cas pour l’adjoint du shérif, pour repositionner son arme et essayer encore.
Lorsque l’on se tire une balle dans la tête, la gravité de la blessure dépend de plusieurs facteurs. Plus la balle est grande, plus les dégâts sont importants, puisque le projectile détruit tous les tissus sur son passage. Les balles à pointe vide, qui se déforment une fois arrivées à leur point d’impact, sont particulièrement dangereuses: leurs fragments peuvent toucher davantage de tissus du cerveau.
Mais c’est surtout l’endroit où la balle arrive qui compte...
France Soir du 16, « l'audience a achoppée faute de citations »
Etrange agression de touristes allemands près de Tarascon
Il y a 2 jours
MARSEILLE (AFP) - Un touriste allemand a été sérieusement blessé et son épouse est portée disparue après une étrange agression, sans mobile apparent dont ils auraient été victimes sur une route bordant le Rhône près de Tarascon (Bouches-du-Rhône) pour laquelle les enquêteurs n'écartent aucune hypothèse.
Jeudi, le couple Anschutz, des retraités qui effectuent un périple dans le Sud de la France, arrive à Tarascon. A la mi-journée, ils arrêtent leur véhicule près d'un canal bordant le Rhône, un lieu très prisé des promeneurs et des joggers.
L'épouse, âgée de 59 ans, s'isole pour un besoin naturel. Le mari, 65 ans, reste en voiture puis sort dans le même objectif, selon le témoignage recueilli par les enquêteurs.
Il descend sur les berges du Rhône, n'y voit pas son épouse mais discerne tout à coup deux yeux dans un buisson. Il reçoit alors des coups et tombe à l'eau.
Bien que sérieusement blessé par arme blanche à la plèvre, et plus légèrement à la main et au cou, il parvient à regagner les berges avant de remonter sur la route et de donner l'alerte à un automobiliste.
L'agresseur a disparu, sans laisser de trace de même que l'épouse du touriste allemand qui reste introuvable.
Le récit de M. Anschutz, très précis jusqu'à l'agression, devient ensuite plus confus, "sous le choc vraisemblablement", note le procureur de la République de Tarascon Antoine Paganelli qui coordonne les recherches.
"Si les faits se sont déroulés comme il le décrit, il n'y a aucun mobile, ni vol, rien de particulier qui nous permettent de trouver un mobile", selon lui.
Sur le terrain, d'importantes recherches se déroulent depuis jeudi pour retrouver l'épouse et l'agresseur présumé, ainsi que des indices corroborant ou non la version du mari, point de départ de l'enquête.
M. Paganelli affirme n'avoir "aucun élément qui permette de mettre en doute la version de M. Anschutz." "L'hypothèse d'une mise en scène n'est pas écartée, mais n'est pas celle qui paraît la plus plausible", assure-t-il. "On est ouvert à toutes les hypothèses."
L'examen d'un médecin légiste a permis de lever les soupçons qui pesaient sur la provenance de ses blessures: le mari n'a pas pu se porter lui-même les coups.
Hospitalisé jeudi à Arles dans un état jugé sérieux, bien que ses jours ne soient pas en danger, selon le procureur, il devrait être à nouveau auditionné vendredi après-midi à l'hôpital si son état le permet.
Son récit devrait alors permettre d'établir un portrait-robot de l'agresseur qui serait largement diffusé sur le plan régional, sur accord du parquet de Tarascon.
En attendant, le canal a été sondé vendredi matin par la brigade nautique de Martigues, puis vidé, sans résultat. Des recherches devaient également être menées dans le Rhône, mais sans grande chance de succès en raison du fort courant à cet endroit, selon le procureur.
En marge des opérations locales menées par la gendarmerie, la police judiciaire examinait à Marseille la voiture des sexagénaires afin de vérifier s'il n'y a pas eu lutte à l'intérieur de la WW Polo sérigraphiée et de détecter d'éventuelles empreintes. Du sang relevé sur l'escalier menant au canal est également en cours d'analyse.
Selon les autorités allemandes, le couple habite la Rhénanie-du-Nord. Selon le parquet de Tarascon, il vient d'une localité proche de Stuttgart.
L'Alsace, le 16/05/2009 à 04h49
Agression
Enquête à Tarascon
L’enquête continue près de Tarascon (Bouches-du-Rhône), après la disparition d’une touriste allemande de 59 ans et l’agression rapportée par son mari, âgé de 65 ans, sérieusement blessé par des coups de couteau. Le procureur de la République de Tarascon, Antoine Paganelli, a affirmé hier n’avoir « aucun élément qui permette de mettre en doute la version de M. Anschutz ». Après avoir examiné l’homme, un médecin légiste a affirmé que le mari n’a pas pu se porter lui-même les coups. Mais « on est ouvert à toutes les hypothèses », a ajouté le procureur.