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Le mensuel Entreprendre aurait-il aussi la mémoire qui flanche ?
NDLR : Pas très fiable ni très sérieux, tout ce qu'on peut lire dans la presse spécialisée. L'USM doit être déçue. Le Challenges de la semaine pourrait être un numéro spécial ondes et développement de l'économie numérique... Il doit y avoir d'autres articles amusants dans leur hebdo de la semaine. A voir aussi, le Valeurs Actuelles de la semaine pour un ultime entretien avec Rachida Dati : « ce que j'ai fait ». Si Dati l'a dit...
Le Canard du 20
Arrêtés à la sortie de l’école... pour un vol de vélo
France Info - 07:27, extraits
Deux enfants, de 6 et 10 ans, ont été arrêtés mardi après-midi par la police à la sortie de l’école. L’affaire provoque un tollé parmi les parents d’élève de Floirac (Gironde). Hicham et son camarade s’en souviendront longtemps. Il aura fallu deux voitures et six policiers pour procéder à l’interpellation de deux jeunes élèves de l’école élémentaire Louis Aragon, à Floirac, en Gironde. L’affaire est relatée ce matin dans les colonnes du journal Sud Ouest. Suspectés à tort d’avoir dérobé un vélo, les forces de l’ordre ont choisi d’emmener les deux enfants au commissariat de Cenon afin de les interroger. [...] Mardi matin, une mère de famille avait cru reconnaître le vélo d’un des deux enfants. Mais celui-ci avait été offert par un adjudant-chef de la base aérienne de Mérignac, qui a d’ailleurs fourni une attestation sur l’honneur. Au terme d’un interrogatoire de deux heures, les policiers ont finalement relâché les enfants.
Faits divers
Justice
PPDA condamné pour diffamation
Le Parisien avec AFP | 19.05.2009, 16h10 | Mise à jour : 16h25, extrait
S'estimant diffamé, Nonce Paolini a fait citer le journaliste en justice. Mardi, le tribunal correctionnel lui a donné raison, estimant que Patrick Poivre d'Arvor «ne disposait pas d'éléments suffisants pour mettre en cause la partie civile dans les termes poursuivis». En outre, a remarqué le tribunal, «il ne saurait être considéré comme suffisamment prudent dans l'expression».
En revanche, le directeur de publication du magazine, Didier Le Corre, a été relaxé, les magistrats de la 17e chambre estimant que le mensuel s'était «borné à poser des questions et à recueillir fidèlement et de bonne foi les réponses de l'interviewé».
Le Monde du 21 mai