« Le mensuel Entreprendre aurait-il aussi la mémoire qui flanche ? | « Hausser les épaules » » |
Violence à l'école : les propositions de Darcos
NDLR : Sanctionner financièrement les parents d'élèves ayant « démissionné », pourquoi pas. On nous l'avait déjà proposé par le passé, on nous parlait alors d'un contrat de responsabilité parentale. J'aimerai plutôt découvrir un jour à qui il est possible de s'adresser lorsque la République a démissionnée.
Les écoles et le grand bazar du pont de l’Ascension
LEMONDE.FR | 20.05.09 | 18h40 • Mis à jour le 20.05.09 | 18h40
Darcos propose la fouille des cartables
RTL et AP, 21/05/2009 | Mise à jour : 10:03
Après la récente agression à l'arme blanche d'un professeur de mathématiques par l'un de ses élèves dans un collège de Toulouse, le ministre de l'éducation a proposé ce matin, selon RTL, que les professeurs et l'ensemble du personnel puissent fouiller les cartables des élèves suspects - ce qu'ils n'ont pas le droit de faire pour l'instant.
"Docteur, j'ai peur d'avoir Alzheimer"
LE MONDE | 19.05.09 | 14h45 • Mis à jour le 20.05.09 | 08h24, extrait
"Où sont mes clés ? Qu'étais-je en train de dire ? Où est garée ma voiture ? Qu'est-ce que je suis venue chercher dans cette pièce ?..." De plus en plus de personnes se plaignent de trous de mémoire, affirme la journaliste américaine Martha Lear dans son ouvrage Où sont passées mes lunettes ?
Violence/école : propositions de Darcos
AFP, 21/05/2009 | Mise à jour : 13:28
Xavier Darcos a proposé de réfléchir à la création d'"une force mobile d'agents" intervenant en milieu scolaire "sur des missions de prévention et de contrôle" de la violence, et jugé nécessaire de pouvoir fouiller les élèves suspectés de transporter des armes. Le ministre de l'Education a aussi évoqué l'idée de sanctionner financièrement les parents d'élèves ayant "démissionné", dans son discours d'ouverture du 90e Congrès de la Fédération des parents d'élèves de l'enseignement public (PEEP), qui se tient à La Rochelle de jeudi à samedi.
Sur la violence, "puisqu’il faut des moyens, mais des moyens bien utilisés, je veux mettre en débat la possibilité de créer, auprès des recteurs, une force mobile d’agents qui pourront intervenir dans les établissements sur des missions de prévention et de contrôle", a-t-il déclaré. Selon l'entourage du ministre, il ne s'agirait pas d'agents de police mais "de personnes formées et assermentées, placées auprès des recteurs, susceptibles de se rendre dans les établissements rapidement, pouvant constater des délits, confisquer des armes, opérer des fouilles si nécessaire".
Le ministre, qui a évoqué le drame de Fenouillet (Haute-Garonne), où une enseignante a été poignardée en plein collège le 15 mai, veut pouvoir donner à ces personnels assermentés "les moyens juridiques et matériels d’agir", en leur octroyant "le droit de faire ouvrir le cartable ou de fouiller l’élève qu’ils suspectent de vouloir introduire des armes".
Affaire Mills/Berlusconi:les juges furieux
AFP, 21/05/2009 | Mise à jour : 11:49
Le syndicat des magistrats italiens a vivement dénoncé les attaques contre les juges de Milan (nord) qui ont condamné l'ex-avocat britannique pour faux témoignage en faveur du chef du gouvernement Silvio Berlusconi. L'Association Nationale des Magistrats (ANM) juge "inacceptables les invectives et les accusations de caractère personnel contre les juges du tribunal de Milan et en particulier sa présidente, de la part d'hommes politiques et de représentants du gouvernement", dans un communiqué.
"Il est grave que soit mis en cause (...) l'indépendance et l'impartialité des juges", estime l'ANM. "C'est de cette façon que l'on mine les principes fondamentaux de la Constitution qui garantissent l'équilibre des pouvoirs", ajoute-t-elle. Dans une interview réalisée il y a un an pour un livre et dont les extraits ont été diffusés mercredi par le gouvernement, Silvio Berlusconi affirme que la présidente du tribunal de Milan (nord), Nicoletta Gandus, est son "ennemi politique" et une "militante d'extrême gauche".
Israël-Iran Les risques et périls d'une attaque
LE MONDE | 20.05.09 | 14h41 • Mis à jour le 20.05.09 | 16h27, extrait
Plus besoin, pour les membres du gouvernement israélien et de la Knesset qui auront à se prononcer sur une éventuelle attaque contre les installations nucléaires iraniennes, d'attendre un rapport préalable émanant de l'armée de l'air israélienne. Dès à présent, ils ont à leur disposition tous les scénarios possibles d'une attaque contre l'Iran, avec tous les risques que cela comporte et toutes les chances de réussite, grâce à l'étude menée par Abdullah Toukan et Anthony Cordesman, du Centre d'études stratégiques et internationales de Washington.
La publication d'un texte aussi lucide, détaillé et exhaustif sur les options offensives d'Israël est une première. Ce rapport de 114 pages expose l'ensemble des informations disponibles sur les capacités militaires d'Israël et son programme nucléaire, ainsi que sur les développements nucléaires et les défenses aériennes de l'Iran, et sur l'inventaire des missiles dans chacun des deux pays.