« Verdun : « une personne butée et compliquée », selon le procureur | Julien Dray a accès à son dossier » |
Forcené/Verdun : le GIPN intervient
NDLR : Peut-on applaudir ? On approuve et on ne parle pas de « forcenés » ni de « coup de folie » lorsque des employés menacent de faire sauter leur usine avec des bonbonnes de gaz... « Ca ne se fait pas », nous dira-t-on. Mais voler des enfants, des enfances, voler ou escroquer, diffamer, pourrir l'existence des gens, ça ne se fait pas non plus. Attendons d'entendre les sermons du Procureur : « saisissez plutôt les tribunaux, exposez votre cas tout à fait personnel et particulier au social professionnel, épuisez les voies de recours »...
New Fabris - Il n'y aura plus de chantage aux bouteilles de gaz
TF1-LCI, le 23/07/2009 - 08h08
Mis à jour le 23/07/2009 - 14h44, extrait
Déçus par les propositions d'Estrosi, les salariés de l'usine en liquidation judiciaire New Fabris poursuivent leur mobilisation, mais ne menacent plus de détruire le site. Outre une prime de 11.000 euros par salarié, Christian Estrosi a annoncé que l'Etat investirait 1,5 million d'euro pour la revitalisation du territoire.
Forcené/Verdun: le GIPN intervient
AFP, 23/07/2009 | Mise à jour : 19:33
Le Groupe d'intervention de la police nationale a libéré deux employés du conseil général de la Meuse séquestrés aujourd'hui pendant près de cinq heures par un homme à Verdun, a annoncé la sous-préfecture, en précisant que ces deux personnes étaient saines et sauves.
L'assaut a été donné peu après 19 heures et le preneur d'otages a été rapidement maîtrisé par GIPN et emmené au commissariat de Verdun, a-t-on précisé de même source. Une très forte détonation a retenti au moment de l'assaut, lancé depuis les toits de l'immeuble où s'était retranché le forcené. Les policiers du GIPN ont ensuite arraché un volet roulant, qui avait été baissé, et brisé une vitre pour pénétrer dans les lieux.
Les deux femmes étaient séquestrées depuis 14h30 dans un bureau d'aide sociale de l'assemblée départementale, à la suite, semble-t-il, d'un problème "d'ordre familial", a précisé le directeur de cabinet du conseil général, Pascal Babinet. Selon la préfecture de la Meuse, il s'agirait d'un problème de garde d'enfants. "Nous ne connaissons pas exactement la nature de la menace", a-t-on indiqué au cabinet du préfet.
D'après le site internet de L'Est Républicain, deux affichettes ont été collées par le ravisseur sur les fenêtres du bureau où il est retranché avec ses deux otages. Sur la première, il a écrit "La justice et le système prennent les citoyens pour des cons", tandis que sur l'autre, on peut lire: "Ils m'ont volé mes enfants".
Une troisième employée, une jeune stagiaire d'été qui avait également été séquestrée, avait été rapidement libérée par le ravisseur à la suite de l'intervention de la police, qui a engagé des négociations avec le ravisseur.
France
DIRECT /Le GIPN a neutralisé le forcené de Verdun vers 19 h 20
Mis en ligne à 16 h 10. Actualisé à 17 h.18 h. 19 h 15. 19 h 30. SUIVRE sur le site...
A lire sur l'Est Républicain, extrait
Vers 19 h 20, le GIPN de STrasbourg a mis un terme à la prise d'otages qui se déroulait à Verdun, dans les locaux des services sociaux du Conseil Général depuis 14 h 30. Une forte explosion, des policiers qui entrent dans les locaux en brisant les vitres. Le forcené a été maîtrisé à l'issue d'un assaut multiforme et instantané mené au terme d'une période de négociations. L'action a complété la diversion, et le GIPN, fidèle à ses techniques de neutralisation a parfaitement mené la manoeuvre. Les deux otages sont sains et saufs. Le forcené a été emmené et il est placé en garde à vue. Le procureur de la République va donner une conférence de presse.
VERDUN
Un forcené retient 2 fonctionnaires en otage pendant 5 heures
NOUVELOBS.COM | 23.07.2009 | 21:18, extraits
"C'est terminé depuis 19h15. Les deux otages sont sains et saufs. Compte tenu des précautions prises par la police, le potentiel de violence de cet homme n'était pas à négliger. Nous ne savons pas s'il était armé", a indiqué Pascal Babinet.
L'homme, dont l'identité et l'âge n'ont pas été communiqués, a immédiatement été emmené par les forces de police puis placé en garde à vue pour s'expliquer sur son "coup de folie", selon un policier présent sur les lieux. Le directeur de cette agence chargé des politiques sociales et familiales ainsi qu'une de ses collaboratrices étaient retenus depuis 14h30. Une troisième personne, une jeune femme employée pour l'été, avait été libérée vers 15h45.