« Belgique : toutes les décisions ont été « passées au crible » | Amara : l'islam radical, un « cancer » » |
Il envoie ses excréments sur les passants
Il envoie ses excréments sur les passants
AFP, 17/08/2009 | Mise à jour : 13:09
Un ouvrier japonais, stressé dans son travail, a été arrêté pour avoir jeté ses excréments sur deux passantes en circulant à moto, a annoncé aujourd'hui la police. Tatsuya Moriguchi, 39 ans, s'est présenté de lui-même au poste de police, après avoir commis dimanche son deuxième forfait à Settsu, une ville dortoir de la région d'Osaka (centre-ouest), a expliqué un porte-parole de la police municipale.
Cet ouvrier du bâtiment avait mené sa première agression le 3 août au petit matin. Après s'être soulagé en plein air, il avait enfourché sa moto en tenant le guidon de la main droite, ses excréments dans la main gauche et avait bombardé une jeune femme en arrivant à sa hauteur.
"Le suspect a expliqué avoir fait ça car il se sentait stressé au travail", a expliqué le porte-parole. Moriguchi a préféré se rendre à la police car il ne pensait pas pouvoir échapper plus longtemps aux autorités. "Je n'ai aucune idée du type de peine dont il pourrait écoper", a reconnu le porte-parole, confiant n'avoir "jamais entendu parler d'un cas comme celui-là auparavant".
La France tente de mettre fin au feuilleton judiciaire de Clotilde Reiss
LeMonde.fr avec AFP, Reuters | 17.08.09 | 12h24, extraits
Libérée sous caution après cinquante-trois jours d'emprisonnement, l'universitaire française Clotilde Reiss a passé une première nuit à l'ambassade de France à Téhéran dans l'attente d'un jugement dont la date reste incertaine. La jeune femme, qui reste sous contrôle judiciaire et ne peut donc pas quitter le pays, y sera hébergée le temps que le verdict soit prononcé. Avant une libération définitive, souhaitée de vive voix par le gouvernement français.
Une caution d'un montant inconnu. Les autorités françaises ont reconnu qu'une caution avait été payée pour la libération de la jeune femme, mais son montant reste inconnu. L'ambassade française à Téhéran s'est refusée à tout commentaire. Le ministre des affaires étrangères, Bernard Kouchner, a indiqué que la somme n'était "pas énorme" et inférieure aux "centaines de milliers d'euros" avancé par le père de Clotilde Reiss. RTL rapporte que les autorités iraniennes ont exigé le paiement de 300 000 dollars (210 000 euros).
[...] Une libération en plusieurs étapes. Le paiement d'une caution pour que Clotilde Reiss quitte le plus vite possible la prison d'Evin, aux alentours de Téhéran, était la première étape souhaitée par l'Elysée avant une libération définitive. La France, qui estime que les accusations à l'encontre de la Française sont fantaisistes, a accepté la démarche proposée par Téhéran, tout en demandant que les "procédures judiciaires à l'encontre de Clotilde Reiss" soient abandonnées.
"L'objectif final de tous les efforts que nous déployons, c'est bien sûr la libération définitive", a réaffirmé, lundi, le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel. Pour le père de l'ancienne détenue, Rémi Reiss, il s'agit également d'une "première étape". "Il faut maintenant laisser le processus judiciaire faire sa route. Il y en a probablement pour quelques semaines, j'espère moins, avec à la clé une deuxième étape, le retour définitif de Clotilde", a-t-il déclaré sur France Info.
Reste que la date du verdict, dont dépend visiblement la libération définitive de Clotilde Reiss, reste inconnue.
Secret bancaire, 13:42, Le Temps, extrait
Un témoignage accablant contre UBS
La justice américaine, qui mène une lutte sans merci contre les contribuables coupables d’évasion fiscale, a publié le témoignage d’un Américain avouant comment UBS l’a aidé à frauder. Selon ce document, la banque aurait ainsi conseillé bon nombre de ses clients.