« Le bonheur n'est pas dans le PIB | Dans sa cellule mexicaine, Florence Cassez organise sa défense » |
Une « polémique inutile et injuste », selon Brice Hortefeux
NDLR : Je crois reconnaitre Fadela Amara. Vrai qu'il est grand à ses côtés, mais peut-être est-ce cette photo.
A lire sur Le Monde
Brice Hortefeux exprime ses "regrets face à une polémique inutile et injuste"
LEMONDE.FR avec AFP | 14.09.09 | 21h51 • Mis à jour le 14.09.09 | 22h22, extrait
"Je suis ému de penser que, du fait d'un certain tohu-bohu médiatique, et d'une interprétation totalement inexacte, des personnes ont pu être blessées dans leur être et leurs convictions", a déclaré le ministre lors du dîner du rupture du jeûne organisé par le CFCM, instance représentative de l'islam de France, au Pavillon Dauphine, dans le 16e arrondissement de Paris. "Je veux donc dire mes regrets, au-delà d'une polémique inutile et injuste, j'exprime mon respect pour tous les Français, celles et ceux qui vivent sur notre sol, quelles que soient leur religion, leurs convictions", a-t-il ajouté.
PROPOS RACISTES
Pourquoi la défense d'Hortefeux ne tient pas
NOUVELOBS.COM | 14.09.2009 | 22:54, extrait
Accusé de dérapage, le ministre de l'Intérieur a pris à plusieurs reprises la parole pour expliquer en quoi ses propos n'avaient rien de raciste. Problème: ce qui figure sur la vidéo lui donne tort.
L'affaire Hortefeux illustre la méfiance de l'UMP vis-à-vis du Net
LEMONDE.FR | 14.09.09 | 19h00 • Mis à jour le 14.09.09 | 22h27, extrait
Après la diffusion par Le Monde.fr des images de Brice Hortefeux à l'université d'été de l'UMP, plusieurs membres du gouvernement et de l'UMP ont émis de vives critiques sur le rôle que joue aujourd'hui Internet dans la diffusion d'images et d'informations. Ces images, qui montrent un dérapage de M. Hortefeux sur les origines maghrébines d'un militant de l'UMP, ont été visionnées plus d'un million de fois par le biais des sites d'information et des réseaux sociaux. Pour plusieurs ténors de la majorité, cette diffusion en ligne pose problème. Interrogé lundi matin sur France 2, Jean-François Copé a estimé qu'il faudrait "un débat public sur la question d'internet et de la liberté". Sur France info, Henri Guaino dénonçait vendredi "une transparence absolue qui est le début du totalitarisme". Patrick Devedjian et Eric Besson ont, eux aussi, estimé qu'il s'agissait d'un "piège", "d'un buzz extraordinaire (...) à partir de pas grand-chose".