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Le gogo, la chose, un pschitt de plus et le coupable
NDLR : Là, j'en reste pantois. Je n'ai pas encore le JDD du week-end, il va aller sur ma pile.
Faits divers
Ils font sauter la banque et meurent dans les décombres
Le Parisien avec AFP | 26.09.2009, 17h09 | Mise à jour : 17h23, extrait
Ils voulaient faire sauter la banque... à l'explosif. Deux malfaiteurs ont péri samedi écrasés par l'effondrement des murs d'une banque dont ils tentaient de forcer les coffres. Leur cible était une agence de la Record bank installée dans une maison à Dinant, près de Namur, à une centaine de kilomètres au sud de Bruxelles. Les malfaiteurs ont opéré pendant la nuit et l'explosion s'est produite à 03h20. Les policiers arrivés sur les lieux ont dégagé un homme grièvement blessé. Il est mort peu après son admission à l'hôpital. Il était porteur de documents d'identité kosovars. La moitié du bâtiment s'est effondrée.
Justice | 26 Septembre 2009
Le gogo, la chose et le coupable
En une semaine, chaque camp a mis en place sa défense. La haine campe à la barre.
Un procès de fous. A la première semaine du procès Clearstream, comme dans une partie d’échecs, chaque camp a déplacé ses pions pour mettre en place son système de défense. Chaque partie se joue sur deux échiquiers à la fois, dans et en dehors de la salle d’audience. Et pour tout compliquer encore, trois parties se déroulent en simultané. "Un procès, on sait toujours comment ça commence, jamais comment ça finit", résume un avocat. Celui-là… plus que les autres. Décodage des trois matches en cours.
Le journaliste et les morpions
On l’oublierait presque, mais à l’origine de toute l’affaire, il y a l’enquête de 2001 du journaliste-écrivain Denis Robert sur la chambre de compensation luxembourgeoise Clearstream qui gère les comptes entre banques. A la barre, mardi, Robert s’époumone pour tenter de convaincre de l’opacité de l’organisme, qui "dissimule des transactions". Derrière lui, l’avocat de Clearstream, Richard Malka, s’étrangle. La suite sur le site du JDD.