« Le modèle communautaire américain dans les banlieues ? | Le gogo, la chose, un pschitt de plus et le coupable » |
Parlons Net reçoit Bernard-Henri Lévy
NDLR : On nous dit qu'il faut un « big bang », celui que tout le monde redoute depuis de très longs mois ? A mon avis, après la rupture, c'est tout autre chose qui va nous rattraper. Un bon schisme pour s'extirper de tous ces bourbiers, un violent refus, ce serait pas mal pour l'avenir ? Arf, BHL, ce qu'il peut penser ou dire de Bourdieu et de Chomsky, même du Monde diplo... il est inaudible, qu'il retourne à ses écritures et nous fiche la paix maintenant qu'une page est tournée, à l'Unesco ? Mais je peux me tromper, attendons de découvrir la suite.
Parlons Net reçoit Bernard-Henri Lévy
France Info - 25 septembre 2009, de l'audio et de la viséo, extrait de la présentation
Cette semaine Parlons Net reçoit le philosophe Bernard-Henri Lévy au terme d’une campagne médiatique intense contre l’élection de l’égyptien Farouk Hosni à la direction de l’UNESCO. Il nous raconte le "making of" de cette campagne qui s’est aussi jouée sur le web et intervient sur l’actualité de la semaine : G20, Jungle de Calais, combats sociaux, emploi, Afghanistan, mais aussi état de la gauche et du PS. Selon lui le Parti Socialiste, qu’il compare à la vieille SFIO, est mort. Il pense que Ségolène Royal sera candidate à la présidence de la république "avec des chances très sérieuses d’être élue". Selon lui le PS "doit se fondre dans un ensemble" plus large. Il faut donc "un big bang" pour la gauche.
A Prague, Benoît XVI fustige les ravages de "l'idéologie athée" et du communisme
LEMONDE.FR | 26.09.09 | 19h09 • Mis à jour le 26.09.09 | 22h46, extrait
Prague (envoyée spéciale)
Dès son arrivée en République tchèque, samedi 26 septembre, le pape Benoît XVI, a évoqué avec insistance les "blessures causées par l'idéologie athée " des régimes communistes et s'est réjoui de leur effondrement il y a tout juste vingt ans. "Je m'unis à vous et à vos voisins en rendant grâce pour votre libération de ces régimes oppressifs", a-t-il déclaré devant le président tchèque Vaclav Klaus, venu l'accueillir à l'aéroport de Prague. Néanmoins, pour le pape, le passé n'est visiblement pas soldé et la rechristianisation de la République tchèque est encore à venir.
Extrait de source Time