Archives pour: Octobre 2009, 02
Affaire Hodeau : pour l’USM, Hortefeux dit « n’importe quoi »
NDLR : Le coupable du jour de demain, c'est Plantu. Pffff, encore la cacophonie, comme depuis des années.
Affaire Hodeau : pour l’USM, Hortefeux "dit n’importe quoi"
Créé le 01/10/09 - Dernière mise à jour à 22h39 - Europe 1, extrait
Le président du syndicat majoritaire des magistrats réagit aux prises de position du ministre de l’Intérieur sur le "cas Hodeau". "C’est un grand classique. Après chaque fait divers dramatique comme celui que nous venons de vivre, nous avons le droit à une nouvelle loi", s’est indigné Christophe Régnard, le président de l’Union syndicale des magistrats, le syndicat majoritaire, jeudi sur Europe 1.
Affaire Hodeau: Hortefeux assure être "sur la même ligne" que MAM
(AFP) – Il y a 10 heures
VILLENEUVE-LA-GARENNE, Hauts-de-Seine — Le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux, très critique jeudi sur le rôle des juges après le meurtre d'une jeune femme par un récidiviste, a assuré vendredi être "sur la même ligne" que Michèle Alliot-Marie, qui a pris la défense des magistrats.
"J'étais au côté du président de la République quand il a reçu la famille de la victime. Ils étaient à juste titre très choqués, très excédés par le fait qu'il y avait une peine de prison de onze ans qui avait été décidée et que seulement sept années aient été effectuées", a dit le ministre lors d'un déplacement du Premier ministre François Fillon dans les Hauts-de-Seine.
"Je comprends ce sentiment mais avec la garde des Sceaux (Michèle Alliot-Marie) nous sommes tout à fait sur la même ligne et nous souhaitons encourager l'extension de la possibilité de castration chimique qui sera une bonne réponse", a-t-il tempéré après avoir mis en cause la veille les juges d'application des peines.
"On n'a sans doute pas donné au ministre de l'Intérieur toutes les informations nécessaires", avait alors commenté Mme Alliot-Marie, estimant qu'il n'y "pas eu de dysfonctionnement de la justice" mais une insuffisance des mesures de suivi (...) due essentiellement au fait que la cour d'assises ne les pas prévues".
Le Parisien du 2 et le Monde du 3
Dans France Soir du 2
Joggeuse tuée : quand Brice Hortefeux se trompe de cible
Juges d'application des peines: quand Brice Hortefeux se trompe de cible
Créé le 02.10.09 à 07h54 | Mis à jour le 02.10.09 à 08h06, 20 minutes, extrait
JUSTICE - Michèle Alliot-Marie ne veut pas polémiquer, mais elle a remis le ministre de l'Intérieur en place...
«On n'a sans doute pas donné au ministère de l'Intérieur toutes les informations nécessaires.» La saillie est signée Michèle Alliot-Marie. La garde des Sceaux a estimé jeudi soir que Brice Hortefeux avait eu tort de s'en prendre aux juges d'applications des peines qui avaient libéré le meurtrier présumé de Marie-Christine Hodeau. Selon elle, en effet, les magistrats n'ont fait qu'appliquer «la loi en vigueur à l'époque».
>> Lisez les réactions des politiques à l'affaire Marie-Christine Hodeau en cliquant ici
«Il n’est déjà pas dans son rôle lorsqu’il s’en prend aux magistrats», s'agace même l'entourage de la ministre de la Justice. Par ailleurs, les proches de Michèle Alliot-Marie rappellent que, si le suspect est en état de récidive pour la séquestration et l'enlèvement, il a purgé sa peine précédente de manière définitive. En conclusion: «Aucun magistrat n’est en cause. S’en prendre aux juges d’application des peines dans ce cadre, c’est juste de l’ignorance.»
Joggeuse tuée par un récidiviste
Sarkozy veut une meilleure surveillance des condamnés qui ont purgé leur peine
Créé le 01.10.09 à 12h51 | Mis à jour le 01.10.09 à 18h09, 20 minutes, extrait
En écho, Brice Hortefeux a estimé que l'«assassinat de Marie-Christine Hodeau (...) aurait pu être évité». Le ministre de l'Intérieur, qui s'exprimait devant les préfets, a mis en cause «les juges d'application des peines qui ont pris la décision de libération conditionnelle» du meurtrier présumé. Des propos jugés «scandaleux» par les syndicats de magistrats. Christophe Régnard, président de l'Union syndicale des magistrats (USM, majoritaire), a en effet assuré que ses confères ont «appliqué la loi», rappelant par ailleurs que «Rachida Dati, n'a cessé de dire qu'il fallait aménager les peines au maximum pour vider les prisons, et assurer le suivi des personnes à l'extérieur».
L'émission "Action discrète" est "dans le registre du canular" pour Canal+
AFP – Il y a 2 jours, extrait
PARIS — Canal+ a rappelé, mercredi dans un communiqué, que l'émission "Action discrète" dont des membres ont été interpellés à Calais est "dans le registre du canular" et "vise à caricaturer de façon burlesque des faits de société". "Nous sommes dans le registre du canular, interprété par des comédiens en caméra cachée, qui font des happenings autour de faits d'actualité. Cette émission vise à caricaturer de façon burlesque des faits de société", écrit le groupe. Le ministre de l'Immigration, Eric Besson, a dénoncé mardi "une grave dérive médiatique" après l'"interpellation" des membres d'une équipe de l'émission "Action discrète" de Canal+ qui s'étaient fait passer pour des policiers et des migrants mardi à Calais.
Les Chirac ont placé leur bichon agressif
NDLR : C'est une histoire affreuse, voilà que le bichon Sumo est placé à la campagne, malgré l'aide de quelques spécialistes. Il me faut ce Parisien, un collector de plus. Je me suis pas mal intéressé à ce bichon.
Paris demande la libération de Shalit
AFP, 02/10/2009 | Mise à jour : 13:19
La France appelle à "libérer immédiatement" Gilad Shalit, après la communication au gouvernement israélien d'une vidéo qui constitue une "preuve de vie" du soldat franco-israélien, a déclaré ce midi le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner, dans un communiqué.
Les Chirac ont placé leur bichon agressif
lefigaro.fr, 02/10/2009 | Mise à jour : 08:31
Le petit bichon maltais Sumo était devenu beaucoup trop agressif. Pour la troisième fois, le chien du couple Chirac s'en est pris à Jacques, il y a quelques mois. Et le couple présidentiel s'est depuis résigné à s'en séparer, rapporte Le Parisien ce vendredi.
La junte birmane rejette l'appel d'Aung San Suu Kyi
NDLR : Bouh, la méchante junte et les vilains chinois.
La junte birmane rejette l'appel d'Aung San Suu Kyi
LEMONDE.FR avec AFP | 02.10.09 | 06h56 • Mis à jour le 02.10.09 | 07h32, extrait
La junte birmane a rejeté l'appel déposé par l'opposante Aung San Suu Kyi, qui contestait sa condamnation à 18 mois supplémentaires d'assignation à résidence. La lauréate du prix Nobel de la paix, 64 ans, avait été condamnée à trois ans de réclusion et de travaux forcés en août, pour avoir brièvement hébergé un Américain qui avait réussi à nager jusqu'à son domicile, situé sur les rives d'un lac. La sanction avait été commuée en une assignation à résidence qui l'exclut de facto du paysage politique pour les élections prévues en 2010. "La cour a rejeté l'appel mais nous allons porter l'affaire devant la Cour suprême", a indiqué Nyan Win, l'un des avocats de l'opposante et le porte-parole de son parti, la Ligue nationale pour la démocratie (LND). La junte avait essuyé une pluie de critiques après le procès en première instance, à l'exception notable de la Chine, son plus sûr allié dans la région.
Morano en guerre contre « Grand Theft Auto »
NDLR : Le jeu GTA est-il interdit par la castafiore, aux moins de 16 ou aux moins de 18 ans ? Revoir aussi ce cas particulier, à Uckange ; à l'époque, certains ont rapidement pensé à détruire toutes les consoles de jeux.
Archives
Morano en guerre contre «Grand Theft Auto»
Le Parisien | 05.05.2008
De source le Parisien
Nucléaire iranien : les « Six » obtiennent des avancées
NDLR : On ne parle déjà plus de protection de l'enfance ? Alors reparlons de stocks de rats et chiens crevés.
De source France Info
Nucléaire iranien : les "Six" obtiennent des avancées
France Info - Hier, 22:30, extrait
"Il y a eu un arrêt dans les discussions depuis juillet 2008, mais j’ai le sentiment que cette fois-ci il n’y aura pas d’arrêt et qu’elles vont se poursuivre", s’est félicité le chef de la délégation iranienne Saïd Jalili. Les délégations se sont mises "d’accord pour intensifier le dialogue dans les prochaines semaines" et devraient se retrouver avant la fin du mois d’octobre. Barack Obama a salué un début de discussions "constructif", tout en prévenant qu’il augmenterait la pression sur la République islamique si les paroles n’étaient pas suivi d’actes concrets. "Notre patience n’est pas illimitée" , a-t-il déclaré depuis la Maison Blanche. La journée de pourparlers a également permis un tête-à-tête entre le chef de la délégation américaine, le sous-secrétaire d’Etat américain William Burns, et son homologue iranien. C’était la première rencontre bilatérale à ce niveau depuis la rupture des relations diplomatiques entre les deux pays il y a une trentaine d’années. Mais le négociateur iranien Jalili a cependant répété aux représentants des grandes puissances que Téhéran ne renoncerait jamais à ses "droits absolus" dans le cadre de son programme nucléaire.