Archives pour: Octobre 2008
La pièce avec Bigard retirée de l'affiche
La pièce avec Bigard retirée de l'affiche
Source : AFP, 31/10/2008 | Mise à jour : 11:01
La pièce de Marcel Aymé "Clérambard", avec l'humoriste Jean-Marie Bigard dans le rôle principal, a été retirée de l'affiche du théâtre Hébertot avec 10 jours d'avance, a constaté l'AFP ce matin.
"Nous vous informons que le spectacle Clérambard est définitivement arrêté à partir de ce jeudi 30 octobre inclus", indique un message enregistré mis en place sur la ligne du service des locations du théâtre parisien. La direction de la salle ne pouvait être jointe ce matin.
Programmé depuis la mi-septembre, "Clérambard" devait rester à l'affiche jusqu'au 8 novembre inclus. Depuis plusieurs semaines, les locations ne correspondaient pas aux attentes des producteurs.
Interrogé en début de semaine sur Le Post, le directeur du théâtre estimait que le taux de remplissage de la salle n'excèdait pas les 30%. "Nous espérions un remplissage de 90%. Ce n'est pas vraiment ce qu'on espérait, nous sommes déçus", déclare-t-il.
Ch'tis: 1 million de DVD en deux jours
Source : Le Parisien, 31/10/2008 | Mise à jour : 10:48
Déjà "film français le plus vu au cinéma", "Bienvenue chez les Ch'tis" vole vers d'autres records. Selon le journal Le Parisien, les trois éditions DVD, Blu-Ray et VHS du film de Dany Boon se seraient écoulées à 1 million d'exemplaires en deux jours. Rien que le premier jour, mercredi, quelque 650 000 copies du film auraient été vendues en magasins.
Toujours selon le quotidien, "Bienvenue chez les Ch'tis" pourrait être en rupture de stocks dès la semaine prochaine.
Le violeur libéré par erreur retourne en prison
Le violeur libéré par erreur retourne en prison
Source : AP, 31/10/2008 | Mise à jour : 11:35
La chambre de l'instruction de la Cour d'appel de Paris a ordonné aujourd'hui le retour en détention de Jorge Montes, ce violeur récidiviste de 48 ans remis en liberté jeudi dernier à cause d'une erreur de transcription dans un arrêt de la même juridiction du 17 octobre, a annoncé son avocat, Me Patrick Maisonneuve, indiquant qu'il formait immédiatement un pourvoi en cassation.
Le grand frère du petit Marc crie sa « colère »
ASSISES
Le grand frère du petit Marc crie sa "colère"
NOUVELOBS.COM | 30.10.2008 | 16:57
Aujourd'hui âgé de 9 ans et demi, le frère ainé du garçonnet mort à 5 ans par des violences répétées, s'en est pris à sa mère et à son beau-père. "Ils voyaient ce qui s'est passé, alors il pouvaient dire", a-t-il lancé devant le tribunal.
Le grand frère de Marc, le jeune garçon mort à 5 ans en 2006 des suites de violences répétées, a exprimé, jeudi 30 octobre sa "colère" devant la cour d'assises du Nord. François, 9 ans et demi, a lancé : "Je suis très en colère contre ma mère et les autres. Ils voyaient ce qui s'est passé, alors il pouvaient dire".
D'une voix claire et posée, l'enfant a évoqué les coups donnés à son frère par le principal accusé, David da Costa. "Il lui donnait des coups de pieds dans le ventre, il (Marc) ne criait pas, ne se plaignait jamais. A la fin, il pleurait sans larmes", a-t-il témoigné.
Selon lui, sa mère -jugée pour complicité- ne frappait jamais son petit frère mais elle ne disait ni ne faisait grand-chose pour arrêter son compagnon. Elle lui disait même de ne pas regarder. S'il n'a jamais subi de violences, il a dit que le compagnon de sa mère menaçait de la frapper s'il parlait.
Pas un regard pour sa mère
"Je suis très en colère contre ma mère et les autres. Ils voyaient ce qui s'est passé, alors ils pouvaient dire", a déclaré en pleurs François alors que son avocat, Me Alain Reisenthel, l'interrogeait au sujet de sa mère qu'il ne veut plus voir.
Cette dernière, assises dans le box aux côtés de David da Costa, s'est effondrée en larmes. Durant son témoignage, l'enfant n'a jamais eu un regard ni vers sa mère, ni vers son beau-père.
Celui-ci, 38 ans, comparaît depuis lundi pour actes de torture et de barbarie ayant entraîné la mort sans intention de la donner. La mère, âgé de 35 ans, est jugée pour complicité et le couple est poursuivi également pour défaut de soins ayant entraîné la mort. Ils encourent la réclusion criminelle à perpétuité.
Victime de coups et sévices répétés, Marc est mort à 5 ans au domicile parental le 25 janvier 2006 à Auby (Nord). Son calvaire a duré à partir de décembre 2005, sans que jamais personne ne donne l'alerte.
ENFANCE MALTRAITE
L'association Enfance et partage lance une campagne choc
NOUVELOBS.COM | 27.10.2008 | 12:33
Réagissez à l'article 4 réactions
Selon le rapport 2007 de l'Observatoire national de l'action sociale décentralisée, le nombre d'enfants en danger est évalué à 100.000, un chiffre qui a augmenté de 18% en 10 ans.
Le frère du petit Marc "en colère contre sa mère et les autres"
LEMONDE.FR avec AFP | 30.10.08 | 20h46 • Mis à jour le 30.10.08 | 20h58, extrait
Victime de sévices répétés (l'autopsie révélera des brûlures de cigarettes, des côtes fracturées, de multiples plaies jusque sur les testicules, des hématomes et des fractures d'âges différents), l'enfant est mort d'un violent choc à la tête qui a entraîné une hémorragie interne, le 25 janvier 2006, au domicile de ses parents à Auby (Nord). L'enquête a montré que son calvaire durait depuis décembre 2005, sans que personne n'ait donné l'alerte.
Elle avait pris le large après avoir déposé plusieurs mains courantes
EVRY.
Accusé d’avoir violé et torturé son ex-fiancée
leparisien.fr | 29.10.2008, 07h00
Un homme de 25 ans est poursuivi pour avoir organisé une expédition punitive d’une rare violence à l’encontre de son ex-copine, qui tentait de refaire sa vie à La Rochelle.
Une sans-papiers aurait été dénoncée
Une sans-papiers aurait été dénoncée par des employés municipaux
LEMONDE.FR avec AFP | 29.10.08 | 20h20 • Mis à jour le 30.10.08 | 11h04, extrait
Joint par L'Humanité, le maire du 5e arrondissement, Jean Tibéri, affirme ne pas vouloir "blâmer une fonctionnaire qui ne fait qu'appliquer l'article 40 de la loi du 3 décembre 1985". Celui-ci fait obligation aux fonctionnaires de porter à la connaissance du procureur tout ce qui peut être considéré comme un délit. "Ensuite, au procureur d'apprécier", ajoute Jean Tibéri.
Société 30 oct. 6h51, Libé, extrait
Sans-papiers : quand la mairie du Ve fait du zèle
Il y a quelques jours, Mme M. a reçu une lettre à son domicile. Une convocation judiciaire au commissariat du Ve arrondissement pour ce matin, 9 h 30. Sur le papier à en-tête de la préfecture de police de Paris, on lit : «Motif : suite à l’inscription de votre enfant à l’école et votre situation alors irrégulière en France.» Elle ira accompagnée de militants pour les droits des sans-papiers qui entendent manifester leur mécontentement.
Polémique sur la dénonciation d’une sans-papiers
Créé le 30/10/08 - Dernière mise à jour à 19h19, Europe 1, extrait
Une Equatorienne sans-papiers a été dénoncée par un fonctionnaire, à la suite de l’inscription de son enfant à l’école, à la mairie du Ve arrondissement de Paris. Et convoquée au commissariat jeudi matin. Une affaire qui prend une dimension politique. Si le maire de la capitale Bertrand Delanoë s’est dit "indigné" et a annoncé l’ouverture d’une enquête, Jean Tiberi, le maire de l’arrondissement concerné, affirme, au contraire, que l’employé avait simplement "signalé au procureur de la République" cette situation irrégulière en vertu de la loi. La préfecture, de son côté, examinera "avec attention" la situation administrative de cette mère sans-papiers.
AC-Le-Feu dénonce l'oubli des révoltes
AC-Le-Feu dénonce l'oubli des révoltes
Source : AFP, 30/10/2008 | Mise à jour : 20:08
Le président du collectif AC-le-Feu Mohamed Mechmache a regretté jeudi au cours d'une réunion à l'Assemblée nationale, à laquelle ont participé cinq députés socialistes, que la "page" ouverte par les "révoltes" de 2005 ait été tournée "aussi vite".
"On n'aurait pas dû tourner la page aussi vite", a-t-il déclaré. Il concluait trois heures de débat sur les politiques mises en oeuvre dans les quartiers populaires depuis novembre 2005, auquel était conviés des militants associatifs, et "tous les présidents de groupes parlementaire", censés apporter des réponses à leurs interrogations.
Seuls cinq députés socialistes avaient répondu à l'invitation, Elisabeth Guigou, George Pau-Langevin, Sandrine Mazetier, Daniel Goldberg, Jean-Yves Le Bouillonnec.
Etaient également présents le porte-parole de la LCR Olivier Besancenot, qui ne s'est pas exprimé, et le conseiller général communiste de Seine-Saint-Denis Gilles Garnier.
"Je remercie les gens qui se sont déplacés. Ceux qui devaient être là étaient absents. En 2005-2006 l'ensemble des groupes politiques avaient répondu à nos sollicitations", a dit M. Mechmache.
En introduction, il avait déploré qu'on n'ait pas "pris la mesure" de ce qui s'est passé en 2005. "Ca reste sous tension, c'est une cocotte-minute bouillonnante, il ne faudra pas dire qu'on n'était pas prévenu", a-t-il mis en garde.
Crise financière : les mathématiciens se défendent
Crise financière : les mathématiciens se défendent
lefigaro.fr, 30/10/2008 | Mise à jour : 21:00
L'école française de mathématiques financières est reconnue dans le monde entier. Professeurs et chercheurs analysent les causes de la tourmente.
Les mathématiciens et leurs modèles ont-ils une responsabilité dans la tourmente actuelle ? Auraient-ils dû alerter l'opinion sur la faillite prévisible du subprime ? Les seuls à s'exprimer sur ces questions appartiennent au monde académique. En effet, les mathématiciens financiers qui travaillent dans l'«industrie bancaire», comme les «quants» ou les traders, ne souhaitent pas s'exprimer.
Le violeur libéré par erreur (de plume) arrêté
Saisie par le parquet général après une intervention de Nicolas Sarkozy, la chambre de l’instruction devra dire vendredi si « l’erreur matérielle » qui a permis sa remise en liberté peut être rectifiée. Une procédure complexe et rarissime qui fait que, même si elle en décide ainsi, Montes ne retournera pas automatiquement en prison sur-le-champ pour ce motif.
INTERPELLATION.
Le violeur libéré par erreur arrêté
leparisien.fr | 30.10.2008, 07h00
Remis en liberté la semaine dernière à cause d’une erreur d’écriture, Jorge Montes, poursuivi dans deux dossiers de viols et considéré comme dangereux, a été placé en garde à vue hier pour une banale affaire d’agression. Une arrestation qui tombe bien.
Béatification Pie XII : Benoît XVI hésite
Béatification Pie XII: Benoît XVI hésite
Source : AFP, 30/10/2008 | Mise à jour : 15:31
Benoît XVI étudie "sérieusement" la possibilité d'attendre l'ouverture pas prévue avant six ans au moins des archives sur Pie XII, avant de béatifier ce pape controversé, a affirmé aujourd'hui le président du Comité juif international pour le Conseil inter-religieux.
Les archives secrètes du Vatican sur le pontificat de Pie XII ne seront pas ouvertes avant six ou sept ans à cause de l'important travail d'archivage nécessaire, a annoncé jeudi le père Federico Lombardi, porte-parole du Vatican.
"Le pape a dit qu'il étudiait sérieusement" la possibilité de ne pas béatifier Pie II avant l'ouverture des archives, a affirmé le rabbin David Rosen, président du Comité (ICJIJ), lors d'une conférence de presse suite à une audience avec Benoît XVI.
"Evidemment il y a de la déception (de notre part)" que l'accès aux archives "prenne autant de temps", a-t-il commenté.
Il y a dix jours, le pape s'était dit favorable à la béatification de Pie XII, dont la procédure a été lancée dans les années 1960. Mais visiblement soucieux d'apaiser le malaise créé, le souverain pontife n'a ensuite pas signé le décret proclamant les "vertus héroïques" du pape défunt.
La fonctionnaire a « appliqué la loi de bonne foi »
FICHIER DE RENSEIGNEMENTS
Le Conseil d'Etat rejette la demande de suspension du fichier policier Edvige
NOUVELOBS.COM | 29.10.2008 | 12:31
La plus haute juridiction administrative déboute ainsi plusieurs associations, qui reprochaient au ministère de l'Intérieur de ne pas avoir encore à ce jour retiré officiellement le décret mettant en place Edvige.
La fonctionnaire a "appliqué la loi de bonne foi"
La mairie du Ve, accusée de "dénonciation" par le Réseau éducation sans frontières (RESF), a quant à elle affirmé que le fonctionnaire municipal qui avait inscrit l'enfant avait simplement "signalé au procureur de la République" cette situation irrégulière, en vertu de la loi.
Jean Tiberi a assuré que la fonctionnaire s'était contentée de demander à la mère un papier d'identité. "Elle n'avait qu'un passeport sans visa, ce qui impliquait automatiquement qu'elle était en situation irrégulière", a-t-il dit, estimant que l'employée municipale avait "appliqué la loi de bonne foi".
"De bien tristes souvenirs"
"La politique des quotas, des expulsions programmées, conduit maintenant aux dénonciations qui nous ramènent à de bien tristes souvenirs. Nous, citoyens, élus, sommes indignés par ces pratiques honteuses qui perdurent encore dans notre République", a de son côté dénoncé le Réseau éducation sans frontières (RESF) dans un communiqué.
Une manifestation est prévue jeudi 30 octobre à 9h30, devant le commissariat du 5e arrondissement de Paris.
SANS-PAPIERS
Une mère dénoncée en inscrivant son enfant à l’école
NOUVELOBS.COM | 29.10.2008 | 22:00
Cette jeune Equatorienne de 30 ans, résidant en France depuis 2002 sans titre de séjour, a été dénoncée par la mairie du Ve arrondissement, lors de l'inscription de son fils à l'école.
« Seule la loi pourra moraliser le capitalisme »
«Seule la loi pourra moraliser le capitalisme»
INTERVIEW. Philosophe matérialiste et humaniste, intellectuel de gauche, André Comte-Sponville défend l'amoralité de l'économie. Selon lui, la crise montre que ce n'est pas l'intérêt qui guide les marchés, mais la passion.
Mercredi 29 octobre 2008 18:10, LeTemps.ch, extrait
LeTemps.ch: Etes-vous toujours aussi certain, comme vous l'affirmez dans votre livre, que le capitalisme moderne n'est ni moral ni immoral, mais amoral?
André Comte-Sponville: Il n'y a de morale ou d'immoralité que par les individus. Le capitalisme n'étant pas un individu, la question paraît réglée de façon quasi métaphysique. Cette crise ne fait que de montrer que les individus sont prêts à toutes les folies par appât du gain. Le capitalisme ne fonctionne ni à la vertu ni au désintéressement; il fonctionne à l'égoïsme. Cela conforte la thèse que j'avance dans mon livre, selon laquelle le capitalisme a besoin de limites externes, de limites non marchandes, qui ne peuvent venir que de la politique et du droit. Quand Nicolas Sarkozy dit qu'il veut «moraliser le capitalisme», je ne suis pas contre l'idée. Mais s'il dit par là qu'il veut rendre les banquiers davantage moraux, c'est une pure et simple illusion! Il est important de comprendre que quand on parle de «moraliser le capitalisme», ce n'est pas de la morale qu'il faut ajouter, mais de la loi. C'est du droit, et donc de la contrainte. On parle donc d'un retour à la morale, mais ce à quoi on assiste véritablement, c'est à d'un retour à l'Etat. De ce point de vue, il n'est pas impossible que cette crise ait des effets positifs.
– Selon la règle, celui qui échoue fait faillite. Or il a été admis que plus aucune banque ne pourrait faire faillite, que cela ferait courir un trop grand danger à l'ensemble du système. La capitalisme s'est-il renié?
– Il y a effectivement un certain nombre d'entreprises, dont font partie les banques, qui sont devenues trop importantes pour l'économie pour qu'on puisse accepter qu'elle fassent faillite. Cela confirme que l'attitude prise par les politiques n'est pas fondée sur la morale. Hank Paulson [le secrétaire au trésor auteur du plan de sauvetage américain] a dit qu'il détestait ces mesures, parce que justement il sauvait des banquiers pour lesquels il n'avait pas spécialement d'estime. Ce n'est donc pas la morale qui vient guider la politique économique. On préférerait que ces banquiers soient ruinés – on s'en fiche d'ailleurs si ils le sont individuellement – mais on ne peut pas l'accepter collectivement. Parce que les répercutions économiques seraient si graves qu'elles mettraient le système en danger.
Qui décide des programmes d'histoire-géographie ?
Qui décide des programmes d'histoire-géographie ?
LEMONDE.FR | 29.10.08 | 19h55 • Mis à jour le 29.10.08 | 20h32, extraits
Si Xavier Darcos a tempéré, mercredi, ses propos de la veille sur le rôle du Parlement en matière de programmes d'histoire – précisant qu'il s'agirait de "recueillir l'avis de la représentation nationale sur la manière dont les programmes sont orientés mais surtout pas évidemment sur les contenus historiques" –, les réactions restent vives.
La rédaction des programmes d'histoire a toujours été suivie de près dans les cabinets des ministres de l'éducation. A tout moment, dans le parcours prévu pour la rédaction des programmes, le ministre ou son cabinet peuvent intervenir. Ainsi, c'est le ministre qui décide de la nécessité de changer les programmes. Il nomme le président d'un groupe d'experts, constitué d'universitaires et d'inspecteurs généraux, pour mener les réflexions. Ce groupe doit suivre une "lettre de cadrage" rédigée par la direction générale de l'enseignement scolaire. Elle dresse les orientations à suivre.
[...] Pour Alice Cardoso, du SNES, les groupes d'experts "servent à contrebalancer les volontés politiques". Le choix des personnalités qui les composent est donc capital. Pour la réforme du programme de français, la lettre de cadrage du ministère donnait une direction claire : "le retour aux fondamentaux". "Les personnalités du groupe d'experts n'avaient quasiment aucune marge", affirme Claire Ketter, du SE-UNSA.
Au sein des syndicats d'enseignants, on reconnaît toutefois la légitimité des politiques pour décider de l'orientation des programmes. "Sur le principe, ce n'est pas choquant", affirme ainsi Antoine Tresgots, mais "il n'est pas convenable scientifiquement que les députés disent ce qu'il faut enseigner". "Qu'on le veuille ou non, les programmes ont toujours été marqués par les politiques", ajoute Alice Cardoso du SNES, tout en s'interrogeant sur "les connaissance des députés en histoire".
Stups : La mère du petit Antoine quelques heures en garde à vue
Faits divers
DISPARITION
La mère du petit Antoine quelques heures en garde à vue
leparisien.fr | 29.10.2008, 21h27 | Mise à jour : 21h29
Alexandrine Brugerolle de Fraissinette, la mère du petit Antoine porté disparu depuis le 11 septembre à Issoire (Puy-de-Dôme), a été placée quelques heures en garde à vue mercredi, dans le cadre d'une affaire de consommation de stupéfiants.
Bakchich porte plainte contre Philippe Val
Bakchich porte plainte contre P. Val
Source : lefigaro.fr, 29/10/2008 | Mise à jour : 14:14
Le site d'information Bakchich.info a annoncé son intention de porter plainte contre le patron de Charlie Hebdo Philippe Val. Bakchich lui reproche d'avoir comparé le site au journal de sinitre mémoire "Je suis partout".
"Ne parlons même pas de Bakchich, qui actualise et adapte sur Internet les méthodes glorieuses de Je suis partout", écrit Val dans son livre "Reviens, Voltaire, ils sont devenus fous".
"Cette comparaison est insultante et inadmissibe. Elle n’entre pas dans le cadre normal du débat public", écrit la rédaction de Bakchich sur son site.
Un trader de la Caisse d'Epargne en garde à vue
Un trader de la Caisse d'Epargne en garde à vue
Créé le 29/10/08 - Dernière mise à jour à 17h42, Europe 1, extrait
Un trader de la Caisse d'Epargne a été placé en garde à vue mercredi matin à la Brigade financière. Il est soupçonné d'être à l'origine de la perte de 751 millions d'euros subis par la banque entre la mi-septembre et la mi-octobre. Cette garde à vue fait suite à l'ouverture d'une enquête préliminaire pour "abus de confiance" par le procureur lundi, après une plainte de la banque. La Caisse d'Epargne avait annoncé le 17 octobre cette perte, qu'elle imputait à des manoeuvres irrégulières de ses employés sur des marchés alors en pleine débâcle. L'affaire a entraîné la démission de trois des principaux dirigeants de la banque.
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