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Le « cyberbullying » dénoncé par la CNIL : réalité ou exagération ?
NDLR : C'est bien ce qu'il me semblait. La CNIL s'adressait surtout aux profs ou à ces méchants élèves.
Des "agents de silence" pour tempérer les nuits parisiennes
12/11/10 18:41, NouvelObs avec AFP, extraits
A l'occasion des premiers états généraux des nuits parisiennes, Bertrand Delanoë a dévoilé des pistes pour régler les conflits grandissants entre fêtards et riverains. Des mimes et des clowns transformés en "agents de silence" pour faire taire les fumeurs des trottoirs et des subventions pour insonoriser les bars : le maire de Paris a dévoilé vendredi 12 novembre des pistes pour régler le conflit entre fêtards et dormeurs, tout en défendant le "droit à la fête". [...] La mairie de Paris et la préfecture de Police également associée aux états généraux de la nuit, avaient été interpellées l'an dernier par le collectif "Quand la nuit meurt en silence", dont la pétition dénonçant notamment les fermetures administratives pour nuisances sonores, a été signée par 16.000 personnes à ce jour. Selon la préfecture de police, 119 établissements ont été provisoirement fermés en 2009 pour "tapages avec musique amplifiée" et "atteintes à la tranquillité publique constituées par des éclats de voix et des rires". Selon la ville, 600.000 Parisiens travaillent une partie de la nuit tandis que 2,2 millions d'entre eux sont dans les bras de Morphée dès minuit.
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Le "cyberbullying" dénoncé par la CNIL : réalité ou exagération ?
Guillaume Champeau - publié le Vendredi 12 Novembre 2010 à 16h32 - posté dans Société 2.0, extrait
CNIL, Vie privée, Facebook, Réseau social, Liberté d'expression
La CNIL a prévenu d'une croissance de nombre de cas de harcèlement ou de lynchages par Internet, en particulier sur les réseaux sociaux, qui lui sont notifiés. Mais le nombre de plaintes reste très faible.
Le 2 novembre dernier, la CNIL a publié sur son site internet une alerte sur les cas de lynchage ou de harcèlement sur Internet, en indiquant qu'elle "constate actuellement une augmentation des cas de "lynchage" sur internet, par exemple de professeurs par des groupes d’élèves". Elle reprenait le terme anglosaxon de "cyberbullying" pour désigner le fait pour une personne d'être "victime d’humiliations, de moqueries, d’injures, voire de menaces physiques sur un site internet".
Sans que ça paraisse surprenant, la CNIL dénonçait le rôle des réseaux sociaux, en expliquant que "le caractère public et ouvert des réseaux sociaux, ainsi que l’absence de contrôle d’identité permettent aux "harceleurs" d’agir quasi-impunément en conservant leur anonymat". "Le plus souvent, le harcèlement passe par la création d’un sujet de discussion, groupe ou page sur Facebook ou un autre réseau social, visant une personne. Sur cet espace dédié à un individu, des internautes vont venir insulter cette personne", expliquait-elle.