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Le nouveau lapsus de Rachida Dati
09.04.11 01:09, 4965 vues, Catégories: Rumeur et crédibilité, Le nucléaire, Le cas Dati, Le retour au réel
NDLR : « Le tout a été fait en une semaine seulement. » C'est bien ce qu'il me semblait, certains ont pu être pris pour des cons, notament ces « liquidateurs » travaillant depuis quelques semaines dans des centrales nucléaires où des capteurs pourraient être défaillants. Il y a 5 à 6 ans, on trouvait déjà tout sur la toile pour se bricoler un drône autonome : processeurs, GPS, gyro, packs de Li-po, etc... Voir aussi sur Legifrance, l'arrêté du 21 décembre 2009 relatif aux conditions d'insertion et d'évolution dans l'espace aérien des aéronefs civils ou de la défense non habités, NOR: DEVA0927039A. Ces aéronefs « peuvent être pilotés à distance en vue de l'opérateur, pilotés à distance hors vue de l'opérateur ou évoluer de manière autonome. Ils doivent bénéficier d'une autorisation de vol délivrée par le ministère de la défense ou par le ministère chargé de l'aviation civile, sauf dispense définie dans un arrêté ou une instruction particulière du ministre compétent. »
NUCLÉAIRE
Après Fukushima, le monde s'inquiète
07.04.2011 | Mise à jour : 08.04.2011, Courrier International, un dossier
Le séisme qui a touché le Japon n'a pas fait qu'ébranler l'archipel et détruire la centrale de Fukushima. Le tremblement de terre a aussi réveillé la méfiance vis-à-vis du nucléaire. Le souvenir de la catastrophe de Tchernobyl (1986) remontait à loin, mais voilà que les souvenirs reviennent. Cette fois, ce n'est pas l'Ukraine communiste et vétuste qui est touchée mais le Japon libéral et ultramoderne. Alors, les pays qui ont fait du nucléaire une priorité s'inquiètent. Des débats s'ouvrent un peu partout dans le monde et les centrales deviennent l'objet de craintes désormais fondées. En Asie, bien sûr, mais aussi en Europe, en Amérique et en Afrique, l'avenir du nucléaire est remis en question. Faut-il, ou non, continuer à jouer avec une puissance que l'on ne maîtrise pas tout à fait ?
Infos > International
Un mini-hélicoptère français à Fukushima
Par Europe1.fr avec AFP
Publié le 7 avril 2011 à 16h27
Mis à jour le 7 avril 2011 à 16h35
L’hélicoptère télécommandé créé par une entreprise de Charente survolera la centrale japonaise.
Une société charentaise va donner un sérieux coup de main au Japon, qui tente toujours de régler la situation à la centrale de Fukushima, très endommagée par un tsunami le 11 mars dernier. L’entreprise Hélipse a en effet mis au point un hélicoptère télécommandé, équipé de caméras et de capteurs de radioactivité, et destiné à survoler la centrale nucléaire.
Il est adapté "à ce genre de situation, là où l'être humain ne peut pas aller", explique le directeur de la société crée en 2001, Laurent Grenier.
Départ en fin de semaine
Le mini-hélicoptère a été mis au point dans un atelier de 500 m², à la Couronne, près d’Angoulême. Quatre personnes se sont affairées pour préparer l’appareil de 2,2 mètres de long, et doté de trois à quatre kilos de matériel.
C'est la société américaine Rotomotion, partenaire d'Hélipse, qui a demandé à l'entreprise charentaise de préparer l’appareil pour sa mission japonaise. Le tout a été fait en une semaine seulement.
Une question cruciale : la radioactivité
Si le mini-hélicoptère est destiné à survoler des zones à forte radioactivité, où des hommes ne peuvent pas aller, la question de l'influence de la radioactivité sur la partie électronique est "une inconnue", confie cependant le patron d’Hélipse.
"On fera sans doute des vols par étape en s'approchant de plus en plus près des zones les plus radioactives", explique Laurent Grenier, qui s'avoue "un petit peu dépassé" par l'importance de cette mission.
Habituellement, les produits développés par la société sont destinés à réaliser des prises de vues aériennes, ou des mesures de distances, grâce à un laser, dans des conditions plus classiques. Des appareils dont le coût varie de 20 à 50.000 euros, selon l’équipement.
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Mme Chakarian n'a pourtant cessé de clamer son innocence: "Je n'ai pas coupé ce câble. Physiquement je n'ai pas pu le faire", a-t-elle déclaré, en larmes.
"Je n'ai aucune idée de ce qu'est Internet", a-t-elle ajouté.
Le ministère de géorgien de l'Intérieur a affirmé qu'elle avait reconnu les faits.
Selon Georgian Railway Telecom, la compagnie détenant le câble, près de 90% des usagers en Arménie ont été privés d'internet pendant environ 12 heures. La Géorgie a également été touchée, a indiqué la compagnie.
De source http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5j2ReJOMzt6iMDD38t_FIyTcxt6ew?docId=CNG.718d28469b3f3214d3d675582b80d4a9.521
Un drone français va survoler Fukushima
Par Europe1.fr avec Reuters
Publié le 6 avril 2011 à 13h31
Mis à jour le 6 avril 2011 à 13h33
Un drone fabriqué par la société Hélipse à La Couronne, en Charente, survolera dans les jours à venir la centrale nucléaire japonaise de Fukushima pour mesurer la radio-activité et faire de l'observation vidéo. Ce mini-hélicoptère sans pilote à moteur thermique est équipé de matériels informatiques et électroniques sophistiqués qui devraient permettre de collecter des informations précieuses sur la centrale endommagée par le séisme du 11 mars dernier.
Il fait partie d'une commande de trois mini-hélicoptères passée par les Japonais à la société américaine Rotomotion, basée à Charleston en Caroline du sud, partenaire industriel de Hélipse, qui en fournira deux mais à propulsion électrique.
Les trois appareils arriveront à Tokyo jeudi.
De source http://www.europe1.fr/International/Un-drone-francais-va-survoler-Fukushima-487967/
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