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Le facteur humain, maillon faible de la cybersécurité
14.08.11 12:48, 7867 vues, Catégories: Faits divers, Rumeur et crédibilité, Polémique et société, Le retour au réel, Le pschitt en plein vol
4 commentaires
Commentaire de: bk [Membre]
"Tous des flics (moi aussi ?)" !
La délation fiscale à la mode en Grèce
AFP Mis à jour le 14/08/2011 à 16:25 | publié le 14/08/2011 à 16:25
La délation fiscale est en plein essor en Grèce, avec une multiplication par quatre des signalements de fraudeurs présumés auprès de la police financière en 2010, sur fond de grave crise économique, relevait dimanche le quotidien libéral Kathimérini.
Selon ce quotidien, la brigade anti-fraude, Sdoe, a reçu 18.500 signalements en 2010, contre 4.500 l'année précédente, et 4.000 en 2008, lors de la création, tardive, du service compétent.
Qu'elle atteste d'une prise de conscience fiscale dans un pays où la fraude généralisée a asséché les finances publiques, ou témoigne de la montée des aigreurs dans une société frappée par l'austérité, la tendance s'est maintenue au premier semestre 2011, avec 7.500 dénonciations.
Selon un responsable de la Sdoe cité par Kathimérini, les signalements, faits pour la plupart anonymement par téléphone et courrier électronique, concernent avant tout "les commerces n'émettant pas de tickets de caisse, et les médecins, avocats et autres professions libérales ne délivrant pas de reçus".
De source: http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2011/08/14/97002-20110814FILWWW00112-la-delation-fiscale-a-la-mode-en-grece.php
La délation fiscale à la mode en Grèce
AFP Mis à jour le 14/08/2011 à 16:25 | publié le 14/08/2011 à 16:25
La délation fiscale est en plein essor en Grèce, avec une multiplication par quatre des signalements de fraudeurs présumés auprès de la police financière en 2010, sur fond de grave crise économique, relevait dimanche le quotidien libéral Kathimérini.
Selon ce quotidien, la brigade anti-fraude, Sdoe, a reçu 18.500 signalements en 2010, contre 4.500 l'année précédente, et 4.000 en 2008, lors de la création, tardive, du service compétent.
Qu'elle atteste d'une prise de conscience fiscale dans un pays où la fraude généralisée a asséché les finances publiques, ou témoigne de la montée des aigreurs dans une société frappée par l'austérité, la tendance s'est maintenue au premier semestre 2011, avec 7.500 dénonciations.
Selon un responsable de la Sdoe cité par Kathimérini, les signalements, faits pour la plupart anonymement par téléphone et courrier électronique, concernent avant tout "les commerces n'émettant pas de tickets de caisse, et les médecins, avocats et autres professions libérales ne délivrant pas de reçus".
De source: http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2011/08/14/97002-20110814FILWWW00112-la-delation-fiscale-a-la-mode-en-grece.php
15.08.11 @ 04:03
Commentaire de: bk [Membre]
Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi a eu aujourd'hui "un entretien long et cordial" avec le président français Nicolas Sarkozy à propos du plan d'austérité adopté vendredi par Rome, a indiqué son porte-parole dans un communiqué.
Le Cavaliere "a exposé à son interlocuteur le contenu du plan d'austérité approuvé vendredi par le Conseil des ministres. Et il a en particulier souligné la manière dont les mesures décidées permettront de parvenir à l'équilibre budgétaire dès 2013", précise le communiqué.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/14/97001-20110814FILWWW00181-austerite-entretien-berlusconi-sarkozy.php
Le Cavaliere "a exposé à son interlocuteur le contenu du plan d'austérité approuvé vendredi par le Conseil des ministres. Et il a en particulier souligné la manière dont les mesures décidées permettront de parvenir à l'équilibre budgétaire dès 2013", précise le communiqué.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/14/97001-20110814FILWWW00181-austerite-entretien-berlusconi-sarkozy.php
15.08.11 @ 14:05
Commentaire de: bk [Membre]
"Terre promise"...
La contestation sociale en Israël n'est désormais plus cantonnée aux grandes villes. C'est l'enseignement de la nouvelle mobilisation qui a eu lieu, samedi 13 août, et qui s'est étendue à une douzaine de localités du pays pour la première fois depuis le début du mouvement il y a un mois.
De source http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2011/08/14/en-israel-la-contestation-s-etend-a-tout-le-pays_1559544_3218.html
La contestation sociale en Israël n'est désormais plus cantonnée aux grandes villes. C'est l'enseignement de la nouvelle mobilisation qui a eu lieu, samedi 13 août, et qui s'est étendue à une douzaine de localités du pays pour la première fois depuis le début du mouvement il y a un mois.
De source http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2011/08/14/en-israel-la-contestation-s-etend-a-tout-le-pays_1559544_3218.html
15.08.11 @ 14:08
Commentaire de: bk [Membre]
Rien qu'un "point de vue", des "idées"... :-)
A la Une > Idées
La France peut-elle encore échapper à un scénario grec ?
Point de vue | LEMONDE | 11.08.11 | 15h49 • Mis à jour le 11.08.11 | 22h45
La machine infernale est en train de s'enclencher. Il est désormais possible que la France suive la Grèce, le Portugal, l'Irlande, l'Italie et l'Espagne dans le club peu enviable des pays dont la dette publique est considérée comme toxique par les marchés financiers. Le scénario est bien rodé. La pression monte lentement mais inexorablement, la notation par les agences est abaissée, la panique s'installe et, au bout du chemin, il faut se résoudre à aller quémander de l'aide au FMI, aux partenaires européens et à la BCE, qui prennent le contrôle de la politique économique. La purge exigée en contrepartie des prêts est sévère. C'est le grand traumatisme national.
Ce processus est lent. Il a duré six mois pour la Grèce, l'Irlande et le Portugal. Il durera sans doute moins longtemps pour l'Italie et l'Espagne. Pour la France, le point de non-retour n'est pas encore franchi, mais les prémices sont là. Une fois le point de non-retour franchi, le gouvernement ne peut plus rien faire pour empêcher le rouleau compresseur d'avancer.
Les marchés sont-ils fous et méchants ? La réaction de la classe politique est toujours la même : dénégation des risques et propos vengeurs à l'égard des spéculateurs et autres financiers sataniques qui veulent faire fortune sur le dos de la mère patrie. Mais les marchés ne sont ni fous ni méchants. Ils détiennent une grosse part de la dette publique de la France, quelque 1 700 milliards d'euros, soit 85 % de notre PIB, et ils sont effrayés de perdre une partie de leurs patrimoines. La panique n'est pas bonne conseillère, mais elle est très humaine. Faut-il leur en vouloir, voire les cadenasser ?
La suite, tout aussi drôle: http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/08/11/la-france-peut-elle-encore-echapper-a-un-scenario-grec_1558488_3232.html
A la Une > Idées
La France peut-elle encore échapper à un scénario grec ?
Point de vue | LEMONDE | 11.08.11 | 15h49 • Mis à jour le 11.08.11 | 22h45
La machine infernale est en train de s'enclencher. Il est désormais possible que la France suive la Grèce, le Portugal, l'Irlande, l'Italie et l'Espagne dans le club peu enviable des pays dont la dette publique est considérée comme toxique par les marchés financiers. Le scénario est bien rodé. La pression monte lentement mais inexorablement, la notation par les agences est abaissée, la panique s'installe et, au bout du chemin, il faut se résoudre à aller quémander de l'aide au FMI, aux partenaires européens et à la BCE, qui prennent le contrôle de la politique économique. La purge exigée en contrepartie des prêts est sévère. C'est le grand traumatisme national.
Ce processus est lent. Il a duré six mois pour la Grèce, l'Irlande et le Portugal. Il durera sans doute moins longtemps pour l'Italie et l'Espagne. Pour la France, le point de non-retour n'est pas encore franchi, mais les prémices sont là. Une fois le point de non-retour franchi, le gouvernement ne peut plus rien faire pour empêcher le rouleau compresseur d'avancer.
Les marchés sont-ils fous et méchants ? La réaction de la classe politique est toujours la même : dénégation des risques et propos vengeurs à l'égard des spéculateurs et autres financiers sataniques qui veulent faire fortune sur le dos de la mère patrie. Mais les marchés ne sont ni fous ni méchants. Ils détiennent une grosse part de la dette publique de la France, quelque 1 700 milliards d'euros, soit 85 % de notre PIB, et ils sont effrayés de perdre une partie de leurs patrimoines. La panique n'est pas bonne conseillère, mais elle est très humaine. Faut-il leur en vouloir, voire les cadenasser ?
La suite, tout aussi drôle: http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/08/11/la-france-peut-elle-encore-echapper-a-un-scenario-grec_1558488_3232.html
15.08.11 @ 14:11