« Accusations de Mediapart : une « infamie », selon Sarkozy | Au pays de la vrai France » |
Sarkozy : « je sens monter une mobilisation jamais vue »
NDLR : Tiens, hasard des calendriers, je découvre que ce 6 mai, c'est aussi Pessa'h Sheni. Pas « l'ombre d'une preuve », expose une tribune... dont le contenu et la teneur me rappelle l'un de mes propres billets, de février 2010, Une petite distraction, au « Hamasland ». Ca va, me voilà maintenant certainement aussi con que quelques journalistes de ce même pays, la France, d'autant plus con que j'ai quitté le 9-2 pour m'installer dans le 94
Tribune
Publié le 27 Avril 2012, extrait
L’honneur perdu de la presse française
Par Victor Perez
Faut-il encore préciser combien la presse française ayant, paraît-il, une déontologie est au niveau des caniveaux ? L’Humanité et Libération ont récemment titré sur le « fascisme » de Nicolas Sarkozy. Cinq années d’un mandat sans l’ombre d’une telle preuve n’ont pas retenu ces deux médias de descendre si bas ! L’hebdomadaire Marianne, quant à lui, s’est contenté de titrer, sur une photo du président sortant : « La honte de la Ve République ». Ces unes finalisent un quinquennat de haine à l’encontre du président sortant.
La suite, sur www.crif.org... ou sur victor-perez.blogspot.fr : « Il n’est pas le seul à ‘’bénéficier’’ de cette animosité idéologique. Tous ceux semblant argumenter contre une présidence de François Hollande sont désignés également à la vindicte populaire. Il en est ainsi pour le Président du Crif Richard Prasquier qui a écrit un article pour le quotidien Haaretz, afin d’expliquer la situation de la communauté juive à la veille du second tour de l'élection présidentielle. La teneur des propos a, là encore, fortement déplu aux tenants du politiquement correct. »
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AFP Mis à jour le 28/04/2012 à 22:18 | publié le 28/04/2012 à 21:25
Le maire de Rome, Gianni Alemanno a été contraint d'annuler la présentation d'un livre prévue la semaine prochaine dans sa mairie car il est apparu que l'événement devait être organisé par un militant néo-nazi.
Franco Freda, condamné à de la prison pour des attaques subversives dans les années 1960 et 1970, devait présenter un livre publié par sa maison d'édition sur le philosophe du 19e siècle Friedrich Nietzsche. Franco Freda a également publié des oeuvres de négationnistes et une traduction italienne de "Mein Kampf" d'Adolf Hitler.
Gianni Alemanno est lui-même un ancien néo-fasciste et continue d'être soupçonné de conserver des liens avec les militants d'extrême droite. Dans un communiqué, il a déclaré que ses services avaient donné leur accord à la présentation du livre "sans réaliser la nature idéologique de la maison d'édition, dont les principes sont contraires à ceux de la constitution".
"J'annule immédiatement toute action ou autorisation délivrée", a-t-il ajouté.
Gianni Alemanno est un ancien membre du parti néo-fasciste Mouvement social italien. Il a été élu à la mairie de Rome en 2008 après avoir rejoint le parti du Peuple de la liberté de Silvio Berlusconi.
L'ancien maire de centre-gauche Walter Veltroni, qui s'était exprimé dans le quotidien La Repubblica avant l'annonce de l'annulation, s'est dit "choqué" que la mairie de Rome puisse accueillir un homme tel que Franco Freda. "C'est une faute et une insulte pour la ville", a-t-il estilé.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/04/28/97001-20120428FILWWW00451-le-maire-de-rome-pris-dans-une-polemique.php
Consignes de vote: Hollande fait presque le plein à gauche, Sarkozy isolé
Marine Le Pen, François Bayrou, Nicolas Dupont-Aignan : nombreux sont encore les candidats à la présidentielle à n'avoir pas dit leur préférence pour le second tour, quand à gauche François Hollande fait le plein des soutiens, de Jean-Luc Mélenchon à Eva Joly.
Marine Le Pen (17,9% des suffrages) livrera ses consignes de vote à l'issue du défilé du 1er mai des frontistes, en l'honneur de Jeanne d'Arc. Si elle a ménagé son effet tout au long de la première semaine de l'entre-deux-tours, il fait peu de doute, selon son entourage, qu'elle n'appellera à voter ni pour Nicolas Sarkozy ni pour François Hollande.
Sans l'avouer, la présidente du Front national mise sur une victoire du candidat PS le 6 mai, pour incarner, comme elle l'a dit dès le soir du premier tour, "la seule et véritable opposition à la gauche ultralibérale, laxiste et libertaire".
Plus difficile à prédire est le choix de François Bayrou. Arrivé en cinquième position (9,1%), le patron du MoDem donnera-t-il, contrairement à 2007, une consigne de vote claire à ses plus de 3 millions d'électeurs ?
M. Bayrou, qui a adressé un courrier aux deux finalistes sur ses priorités, a en tout cas prévu d'attendre le 3 mai, au lendemain du débat télévisé Sarkozy-Hollande, pour se prononcer. Forte de son expérience en 2007, Ségolène Royal, s'est dite persuadée qu"il "ne fera rien, comme d'habitude", tout en espérant un appel pro-Hollande.
Dès mercredi, le centriste a en tout cas pris clairement ses distances avec le président-candidat, accusé de "valider le discours" du FN. Tout comme Dominique de Villepin, qui s'est dit "effrayé" par la campagne de M. Sarkozy et ses "gages à l'extrémisme".
Du côté de Nicolas Dupont-Aignan (1,8%), qui dit "réfléchir" à sa position, la consigne officielle est jusqu'ici le "ni-ni". "Il ne suffit pas d'enlever sa Rolex pour être le candidat du peuple", ironisait récemment le souverainiste de Debout la République, qui exclut de voter Sarkozy.
A gauche, avec son bilan en demi-teinte (11,1%, loin derrière Marine Le Pen), Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche) a appelé dès dimanche soir à battre le président sortant le 6 mai "sans rien demander en échange", souhaitant que ses électeurs se mobilisent pour M. Hollande "comme s'il s'agissait de me faire gagner moi-même".
Pour le quatrième homme de la présidentielle, qui ambitionne d'être "le recours à gauche", pas question pour autant d'apparaître au côté de son ex-camarade du PS. Il organise en solo vendredi prochain un meeting anti-Sarkozy qu'il a accusé d'utiliser des mots "directement tirés de la Collaboration" après sa "dérive" à droite toute pour séduire les électeurs du FN.
Sans aucune ambiguïté, Eva Joly s'est, elle, déjà affichée vendredi soir au côté de François Hollande à Limoges, et devrait faire de même à Toulouse jeudi. "Aucune voix écologiste ne doit manquer à François Hollande le 6 mai", a déclaré la candidate EELV (2,3% le 22 avril).
Il faut dire qu'elle est liée au PS par l'accord conclu en novembre sur les législatives où les écologistes espèrent une vingtaine de députés (quatre sortants). En attendant d'éventuelles nominations dans un gouvernement si la gauche l'emporte.
Autre ambiance à l'extrême gauche, où Philippe Poutou pour le NPA (1,2%) a appelé les électeurs à "dégager Sarkozy le 6 mai" sans apporter "aucun soutien à la politique de Hollande". Nathalie Arthaud (0,6%) n'a, elle, pas donné de consigne de vote car les électeurs de Lutte ouvrière se décideront "selon leur conscience".
Enfin, Jacques Cheminade (0,25%, "Solidarité et Progrès") a dit attendre de voir ce que M. Hollande allait proposer.
De source http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/28/1341711-consignes-de-vote-hollande-fait-presque-le-plein-a-gauche-sarkozy-isole.html
En trois statuts:
https://twitter.com/#!/NicolasSarkozy/status/195918545178210304
https://twitter.com/#!/paulinedelpech/status/202639386578403328
https://twitter.com/#!/bkant/status/202656200733634560