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Mickaël Vendetta : « Je ne quitte pas la France mais... »
NDLR : Lorsque je lisais que les impôts devraient augmenter dès juillet, je me doutais qu'il suivrait rapidement quelques réactions. Et selon ce que je vois défiler, sur Twitter, toute la droite trépigne, pour ne pas abandonner les pleins pouvoirs à la gauche. Au final, et lorsque les historiens se seront penchés sur tout ça, 2012, on s'apercevra que #UMP et @jf_cope auront été sauvés par @OfficielMV et grâce à TVMag
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Mickaël Vendetta : «Je ne quitte pas la France mais...»
Le 09/05/2012 à 18:00 par Damien Mercereau (TVMag), un extrait
Interview exclusive avec celui qui s'était ouvertement engagé en faveur de Nicolas Sarkozy
Tags : Mickael Vendetta
Aviez-vous voté il y a cinq ans ? Oui, j'avais voté pour Nicolas Sarkozy. C'est un homme que je ressens comme sincère, engagé pour la France et non pour ses intérêts personnels. Il avait la fierté d'être président de la République mais il avait surtout la volonté de sauver la France durant les crises économiques mondiales. Durant ces élections, il était un peu seul contre tous, comme je l'avais été dans La Ferme Célébrités en Afrique. Beaucoup de gens comme François Bayrou ont retourné leur veste pour se ranger du côté de François Hollande.
Quelles sont vos inquiétudes avec l'arrivée de François Hollande au pouvoir ? Nous avons déjà beaucoup de riches qui ont quitté la France pour payer moins d'impôt. Donc les imposer davantage va aggraver cette fuite. Au lieu de prendre un minimum aux riches, on ne prendra bientôt plus rien puisqu'ils seront tous partis. Ceux qui ont des richesses en France permettent la création d'entreprises et d'emplois. Je trouve que François Hollande est trop de gauche, il n'est pas assez rassembleur.
« Je compte déclarer mes impôts à l'étranger »
N'étiez-vous pas trop radical dans votre manière de communiquer votre soutien pour Nicolas Sarkozy ? J'étais surtout agacé par ceux qui se disaient anti-Sarkozy, notamment les médias qui ont favorisé l'élection de François Hollande. Les gens n'ont pas été pour les idées de François Hollande, ils ont été contre l'image de Nicolas Sarkozy. Beaucoup de célébrités ont apporté leur soutien à Hollande par intérêt alors que cinq ans avant, ils étaient pour Nicolas Sarkozy. Durant cinq ans, les médias n'ont pas mis le président dans les meilleures dispositions. J'ai trouvé élégant de la part de Sarkozy qu'il dise qu'il ne fallait pas faire subir à François Hollande ce que lui a dû supporter. Il a été bon perdant.