Catégorie: Le cas Royal
Royal se défend
Ségolène Royal s'est défendu, aujourd'hui devant la presse, d'avoir jamais commis "aucune infraction au code du travail" au détriment de deux de ses assistantes parlementaires, malgré sa condamnation en avril par la cour d'appel de Rennes.
Les deux anciennes assistantes parlementaires avec qui l'ancienne candidate socialiste est en conflit depuis les élections législatives de 1997 "ont toujours été payées" et ont toujours bénéficié d'un contrat à durée indéterminée, a précisé Mme Royal lors d'un point presse organisé dans ses bureaux parisiens. "Elles ne sont restées aucun jour sans salaire."
Condamnée à verser plusieurs semaines de salaire à ces deux anciennes collaboratrices, Mme Royal a confirmé avoir porté l'affaire en cassation et avoir également déposé une plainte en diffamation contre l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin qui l'avait accusée de "délinquance sociale".
Source : AFP, le Figaro
Condamnation : Royal se défend
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Inscription électorale Sarkozy : Royal dénonce un faible écho médiatique
Point de vue
L'AFP n'est pas un blog, par Christophe Beaudufe
LE MONDE | 13.05.08
PARIS (AFP) - Le gouvernement considère qu'il revient à l'Agence France-Presse de "s'organiser" contre des "dysfonctionnements", a déclaré mercredi à la presse le porte-parole du gouvernement Luc Chatel, en référence au fait que l'AFP n'a pas repris certains communiqués de l'UMP.
PARIS (AFP) - Ségolène Royal s'est étonnée dimanche que "l'infraction pénale" que constitue à ses yeux "une inscription électorale hors délai de Nicolas Sarkozy" rencontre "beaucoup moins d'écho" que ses propres procès avec deux ex-collaboratrices dans une affaire de salaires impayés.
Allocations familiales : Morano raille Royal
Interrogée sur RTL à propos des critiques de Ségoléne Royal sur la suppression de la majoration des allocations familiales, Nadine Morano, secrétaire d'État à la famille a estimé que l'ancienne candidate socialiste n'avait "pas de leçons à donner". Elle en a profité pour rappeler la condamnation de Royal pour licenciement abusif. "Ségolène Royal est une entreprise de démolition a elle toute seule", a souligné Morano reprenant le terme de la dirigeante socialiste ("destruction") utlisé à propos de la suppression de la majoration des allocations.
Source : lefigaro.fr Avec RTL
Morano raille Royal
Raffarin et l'UMP veulent la tête de Royal, qui contre-attaque
"Nous voulons dire aujourd'hui solennellement que Ségolène a toujours bien traité, bien payé et bien considéré toutes celles et tous ceux qui travaillent pour elles", écrivent le maire de Melle, fief électoral de Ségolène Royal et cinq assistantes parlementaires dans un communiqué conjoint.
De leur côté, les élus socialistes de Poitou-Charentes fustigent "l'exploitation éhontée" de la décision de la cour d'appel de Rennes et notent dans un communiqué que l'une des plaignantes travaille aujourd'hui pour un député UMP.
PARIS (Reuters) - Jean-Pierre Raffarin a réclamé lundi la démission de Ségolène Royal de la présidence de Poitou-Charentes, l'accusant de "délinquance sociale" après sa condamnation en appel dans un procès intenté par deux anciennes attachées parlementaires.
Royal raillée par l'UMP
PARIS (AFP) - L'UMP a accusé vendredi Ségolène Royal de faire "travailler plus pour gagner rien du tout", après la condamnation en appel de la responsable socialiste dans un procès intenté par deux anciennes collaboratrices.
"Avec Ségolène Royal, c'est travailler plus pour gagner rien du tout", a raillé le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, dans une conférence de presse spéciale vendredi après-midi consacrée à cette affaire, à laquelle participait également le secrétaire général du parti, Patrick Devedjian.