Archives pour: Juin 2013
Les Femen envisagent de porter plainte
NDLR : « Affaire à suivre », ai-je lu, alors je note. Il devrait en suivre encore, puisque selon ce que relayaient les médias français, trois autres FEMEN auraient été traitées de façon parfaitement inhumaine, en Tunisie. Pourvu que l'Ukraine, qui en aura eu écho, ne se fâche pas de trop avec l'Europe et le Maghreb
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Les Femen envisagent de porter plainte
Alice Dive, lalibre.be
Publié le jeudi 27 juin 2013 à 05h40 - Mis à jour le jeudi 27 juin 2013 à 20h39
Belgique. L’étranglement, mardi, de la leader du mouvement en Belgique est remonté jusqu’en Ukraine.
Je ne comprends toujours pourquoi ce garde du corps m’a étranglée. En gros, il m’a traînée sur environ dix mètres, en me tirant par les pieds et en ne se souciant pas du tout du fait que j’étais en train d’être brûlée sur tout le dos. Il m’a maintenue au sol et au lieu de se contenter de me garder immobilisée, il m’a fait une prise d’arts martiaux d’étouffement. Je suis tombée évanouie, cela a duré quelques minutes, puis je me suis réveillée. Et aujourd’hui, du coup, je me retrouve à l’hôpital avec un orteil probablement cassé et le dos brûlé", raconte Margo Fruitier, la leader du mouvement féministe "aux seins nus" en Belgique.
Me Berton : « le viol de 4 femmes coûtait 340 euros »
NDLR : Avec le témoignage paru dans Maxi n° 1391, « à peine sorti de prison, cet homme a fait une autre victime ! », encore une histoire qui détonne dans celle du Chambon ou du meurtre d'agnès... « si l'accusé n'avait pas été libéré, elle serait vivante ». « Si l'on avait fait cette expertise [NDLR : ADN, à Rennes], on aurait pu permettre à trois victimes successives de ne pas êtres violées », affirme Me Berton. Tout le monde sait bien que avec des si, on referait le monde. Si la police m'avait mieux reçu, en janvier 2005, si j'avais alors pu déposer une plainte plutôt qu'une simple main courante, mon récit serait aujourd'hui également un poil différent ; le parquet de Nanterre l'aurait ensuite ignorée ou classée, comme toutes les autres plaintes que j'ai formulées. Je note que le Cévenol est maintenant en sursis jusqu'en mai prochain. A l'époque, en 2005, l'OSE France parraissait déjà devoir faire des efforts, pour ne pas avoir à se redresser ; si j'avais été mieux reçu par la police et par le TGI de Nanterre, entre l'été 2004 et la fin 2005, les comptes de cette association auraient-ils pu brutalement plonger dans le rouge, comme ceux du Cévenole ? J'en rediscuterais peut-être, un jour, avec Jean-François Guthmann. Dans Ouest-France, le procureur de Rennes, Thierry Pocquet, répond à Me Berton : les choix qui ont été faits ne résultent « nullement de préoccupations financières ».
Société | Faits divers | 28/06/2013 - 08:10, le JDD
Me Berton : "le viol de 4 femmes coûtait 340 euros"
L'avocat Franck Berton s'est emporté vendredi matin contre la justice, qui a fini par procéder à une expertise ADN sur les sous-vêtements d'une femme violée six mois après l'agression, ce qui aurait permis à l'agresseur présumé - retrouvé en prison - d'avoir commis d'autres viols.
"Aucune expertise ADN n'a été faite parce que ça coûte cher : 340 euros. A priori le parquet n'a pas validé la dépense auprès des services de police qui avaient l'intention de le faire. La conséquence est catastrophique puisqu'a priori, l'auteur du viol de ma cliente a perpétré trois autres viols dans les semaines qui ont suivi", a expliqué le célèbre avocat sur Europe ;1. "Si l'on avait fait cette expertise, on aurait pu permettre à trois victimes successives de ne pas êtres violées, et notamment la dernière, laissée pour morte dans une benne à ordures. C'est quand même très choquant. L'agression de quatre jeunes femmes coûtait 340 euros, et on a estimé que c'était trop cher", a-t-il conclu.
Dans Ouest-France, le procureur de Rennes, Thierry Pocquet, se défend. "Compte tenu du déroulement des faits, les chances de trouver un ADN masculin sur la culotte apparaissaient infimes. Les choix qui ont été faits résultent d'une recherche d'efficacité dans les investigations, et nullement de préoccupations financières", a-t-il dit.
L'épouse du prof parti avec une élève veut divorcer
L'épouse du prof parti avec une élève veut divorcer
International | 25/06/2013 - 21:09, le JDD
L'épouse de Jeremy Forrest, l'enseignant britannique condamné à cinq ans et demi de prison après sa cavale avec une élève de 15 ans en France en septembre, a engagé une procédure de divorce, a annoncé mardi la soeur du professeur. "La procédure de divorce a été lancée", a déclaré Carrie Hanspaul, soeur de Jeremy Forrest. La femme du professeur de mathématiques "a engagé" les démarches, a-t-elle précisé sur la chaîne de télévision britannique ITV. "Personne de la famille ne lui a parlé" depuis la cavale, qui avait fait la Une de plusieurs journaux français et britanniques en septembre dernier, a-t-elle précisé.
Jeremy Forrest, âgé de 30 ans et marié depuis 2011, a été condamné vendredi en Angleterre à cinq ans et demi de prison pour "enlèvement" et relations sexuelles avec une élève de 15 ans. Lors de son procès, Jeremy Forrest a lancé "Je t'aime" à l'adolescente, aujourd'hui âgée de 16 ans. "Je suis désolée", lui a lancé la jeune fille.
Le premier Salon du mariage gay tourne au fiasco
Le premier Salon du mariage gay tourne au fiasco
Par Stéphane Kovacs
Publié le 23/06/2013 à 18:26, le Figaro, extrait
Allées désertes, hôtesses désœuvrées, agents de sécurité apathiques, en fin de matinée, Le Figaro n'avait pu rencontrer que trois clients. «Les gays se lèvent tard…», avait hasardé l'attachée de presse. Mais quelques heures plus tard, «il n'y a toujours pas un chat, s'énerve le bijoutier du Comptoir La Fayette. En quarante ans de métier, je n'ai jamais vu ça. J'ai investi 30.000 euros et je n'ai vendu qu'une seule paire d'alliances… à des hétéros!»
À côté, Johanna, qui vient de créer sa société organisatrice d'événements Eden Day, n'a signé aucun contrat. «C'est juste une catastrophe!, se désole la jeune femme. C'est mon premier salon, je comptais dessus pour démarrer. J'ai vu en tout et pour tout cinq personnes, et en parlant avec les autres, on a compris qu'on avait tous vu les cinq mêmes…» Pire, «aux questions qu'ils posaient, j'ai bien vu qu'ils n'étaient pas là pour se marier, raconte le bijoutier. On a tous remarqué que des gamins de 20 ans avaient passé toute la journée de samedi ici, pour faire semblant devant les journalistes».
Privé de son droit de visite, un père se retranche dans une nacelle
NDLR : Benjamin Deparis a-t-il reçu ce père pour lui expliquer qu'il devra faire appel, pas se percher ?
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THONON-LES-BAINS.
Privé de son droit de visite, un père de famille se retranche dans une nacelle
ledauphine.com, le 12/06/2013 à 10:05
10h : Le président du tribunal, Benjamin Deparis, reçoit le père de famille.
9h51 : l’homme a quitté sa nacelle, assuré par le commissaire de police, Baptiste Berrod, qu'il serait entendu par le président du tribunal.
5 heures : ce mercredi 12 juin, un homme a entamé une grève de la faim, perché dans une nacelle, devant le tribunal de Thonon-les-Bains. Goran Markovic, 41 ans, entend dénoncer une décision de justice intervenue lundi, qui l’a privé de son droit de visite sur ses trois enfants, âgés de 10, 11 et 14 ans. En procédure de divorce depuis six ans, il voyait jusque-là ses enfants un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires. Des négociations ont été entamées avec le commissaire de police, dont les bureaux se situent juste en face du tribunal.
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Tunisie : deux Femen françaises condamnées à 4 mois de prison ferme
NDLR : « Leurs avocats français ont fait eux aussi de la résistance » ? Il ne fallait pas bouder le prétoire, mais s'y rendre, et faire confiance à la justice, ce que Hollande devrait prochainement nous rappeler, puis faire appel, patienter et espérer, etc, etc. Quatre mois alors qu'elles en risquaient 6 ou plus, ça va ; ils s'écouleront très vite
Société
Tunisie : deux Femen françaises condamnées à 4 mois de prison ferme
Le Parisien | Marie-Pia Rieublanc | 12.06.2013, 16h30 | Mise à jour : 22h37
Les deux Femen françaises Pauline Hillier et Marguerite Stern (23 et 27 ans), ainsi que leur consoeur allemande Joséphine Markmann (19 ans), ont été condamnées à quatre mois et un jour de prison ferme ce mercredi par le tribunal de Tunis. Arrêtées le 29 mai après avoir manifesté seins nus dans la capitale tunisienne, elles comparaissaient pour «atteinte aux bonnes moeurs et à la pudeur» et risquaient jusqu'à six mois d'incarcération.
Meurtre d'Agnès : « si l'accusé n'avait pas été libéré, elle serait vivante »
NDLR : On va nous reparler de Chambon... sujet qui avait ému jusqu'à gauche. « Toutes les instances qui sont en charge des différentes étapes qui ont mené à cette atrocité ont déclaré que finalement, tout s'était passé dans des conditions normales ». Comme pour Marina, je suppose, et comme aux Pavillons sous bois, etc
Actualité > Faits divers
Meurtre d'Agnès : «Si l'accusé n'avait pas été libéré, elle serait vivante»
Le Parisien | Publié le 08.06.2013, 19h17 | Mise à jour : 20h01
Alors que le procès du meurtrier présumé d'Agnès, la collégienne violée et tuée en 2011 au Chambon-sur-Lignon (Haute-Loire), s'ouvre le 18 juin prochain, la famille de la victime et son avocat dénoncent «un dysfonctionnement de l'institution judiciaire» qui ont mené au drame.
Lors d'une conférence de presse samedi, Me Francis Szpiner, l'avocat de la famille, a estimé que «si la justice n'avait pas libéré une première fois l'accusé, il serait en prison et leur fille serait vivante». En effet, un an plus tôt, les parents du meurtrier présumé, Mathieu, âgé de 17 ans au moment des faits, avaient convaincu le collège-lycée Cévenol d'accepter leur fils comme élève. Or, ce dernier venait d'effectuer quatre mois de détention provisoire pour un viol sur une mineure dans le Gard. Un fait pour lequel il sera également jugé le 18 juin.
«Toutes les instances qui sont en charge des différentes étapes qui ont mené à cette atrocité ont déclaré que finalement, tout s'était passé dans des conditions normales», a dénoncé devant la presse le père d'Agnès, Frédéric Marin, entouré des grands-parents de l'adolescente, Armel et Solange Marin.
Coup de peinture sur la grue jaune à Nantes
Nantes
Coup de peinture sur la grue jaune à Nantes
Patrimoine, mardi 04 juin 2013, Ouest-France
Depuis ce mardi matin, Marc Kani monte régulièrement en haut de la grue jaune amarrée à deux pas du quai des Antilles, à Nantes. La grue Titan, d’une hauteur de 43 m, a été taggée en février par un père séparé, désespéré de ne plus voir son fils. La délicate mission de Marc Kani, peintre en bâtiment et cordiste, consiste à recouvrir les inscriptions situées en haut de la grue.
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Une institutrice de Ginestas accusée de maltraitance en cour de récré
NDLR : La chute par l'auteure, Prisca Borrel, pour l'Indépendant, est terrible... « Si les faits cités sont graves, il ne faut pas oublier que les fausses accusations, issues d'imaginaires enfantins, sont devenues monnaie courante. » Je vais devoir approfondir à nouveau mes études et les palabres sur les fausses allégations des enfants. Les féministes ont fait un si bon travail, la parole des femmes ne peut plus être mise en doute, et lorsque les propos d'un vilain marmot accusent une instit (ou même un travailleur social), leur imaginaire comme les « certificats médicaux » émis par des « psychologues » mentent ou trompent maintenant toujours ? Affaire et débats à suivre
Une institutrice de Ginestas accusée de maltraitance en cour de récré
Le 04 juin à 6h00 par Prisca Borrel | Mis à jour il y a 18 heures, l'Indépendant
L'histoire l'a prouvé à maintes reprises : les mots d'enfants peuvent susciter bien des débats lorsqu'il s'agit de démêler le vrai du faux. Aujourd'hui, c'est à l'école de Ginestas d'en faire les frais. Virginie Beauguitte, institutrice de la classe de CM1/CM2, est à bout de nerfs. Depuis le vendredi 24 mai un élève l'accuse de maltraitance. "Je l'ai juste réprimandé. Il grimpait sur les grilles qui donnent sur la rue. C'est interdit et surtout, c'est dangereux ! Comme il continuait, je l'ai puni. Je lui ai dit de venir s'asseoir à côté de nous... Ce sont des choses qui arrivent 50 fois par jour". Pourtant, une fois à la maison, la version de l'élève diffère. "Il a raconté à sa mère que j'avais traversé la cour, que je l'avais attrapé par les cheveux et lui avait cogné la tête contre un pilier en pierre". Le samedi, la mère et son fils âgé de 10 ans consultent un psychologue qui produit un certificat médical. "Ce certificat est au conditionnel, mais il stipule que j'aurais traumatisé l'enfant", peste l'enseignante.
USA : un père au tribunal en uniforme nazi, pour essayer de revoir son fils
NDLR : Je finis ma bière et je vais me coucher. La nuit porterait conseil
Mise à jour : mardi 04 juin 2013 01h50, l'avenir.net, extrait
USA: un père au tribunal en uniforme nazi, pour essayer de revoir son fils
(Belga) Un Américain qui avait donné à ses enfants des prénoms inspirés du nazisme et en a perdu la garde, s'est rendu lundi devant un juge aux affaires familiales portant un uniforme nazi, espérant obtenir le droit de voir le plus jeune, âgé de 18 mois.
Ses trois aînés s'appellent respectivement Adolf Hitler Campbell, 7 ans, JoyceLynn Aryan Nation Campbell, 6 ans, et Honzlynn Jeannie Campbell, 5 ans. Ils ont été retirés à leurs parents en 2009, et Heath Campbell, 40 ans, affirme ne pas les avoir revus depuis 2 ans. Le quatrième enfant, Heinrich Hons Campbell, a été retiré au couple par les services sociaux quelques heures après sa naissance en novembre 2011, les autorités invoquant un passé de violences familiales. "J'aime mes enfants, je veux être leur père", a déclaré Heath Campbell, avant l'audience au tribunal de Flemington (New Jersey, Est), à la chaine locale NBC 10. Le couple, depuis séparé... la suite sur l'avenir.net
Interné d'office, le « poète escaladeur » s'évade et regagne Périgueux
NDLR : « Contacté par l'AFP, son avocat, Me Pierre-Daniel Lamazière a indiqué ne pas être au courant de cette évasion. M. Couasnon avait contesté en justice son internement mais avait été récemment débouté, a-t-il dit. » Non, sortir de là libre, sans contraintes ni grand chose à redouter, c'est pas très facile - sauf en défonçant les portes ouvertes d'un « milieu ouvert », en « fuguant », mais en encourant en ce cas le risque d'y retourner direct, à l'isolement. Voir également mes archives d'avril 2013 pour un bon aperçu de ces milieux et procédures, ou mon billet Libre !
Actualité > Bordeaux
Interné d'office à Toulouse, le "poète escaladeur" s'évade et regagne Périgueux
Le Parisien |Publié le 02.06.2013, 18h44
Le "poète escaladeur" Hervé Couasnon, coutumier d'actions d'éclat, s'est évadé samedi de l'hôpital psychiatrique de Toulouse où il avait été interné après avoir pénétré sur le tarmac de l'aéroport de Blagnac et a regagné Périgueux, d'où il est originaire, a-t-on appris auprès de l'intéressé et de source hospitalière.
Il avait pénétré le 3 mai sur le tarmac de l'aéroport de Toulouse-Blagnac afin, avait-il expliqué, "de déjouer la sécurité sans se faire repérer".
Cahuzac : un avertissement annulé
Politique | 02/06/2013 - 15:48, le JDD
Cahuzac : un avertissement annulé
Un avertissement reçu en 2008 par l'inspecteur du fisc du Lot-et-Garonne Rémy Garnier, pour avoir consulté le dossier fiscal de Jérôme Cahuzac et d'autres, a été annulé vendredi par la Cour administrative d'appel de Bordeaux, a révélé dimanche Sud Ouest. "En procédant de sa propre initiative, dans le cadre des fonctions de programmation du contrôle fiscal pour lesquelles il avait reçu l'habilitation, à la consultation de dossiers fiscaux de particuliers dans son ressort géographique afin de vérifier la pertinence d'informations dont il avait pu avoir connaissance, M. Garnier ne peut être regardé comme ayant commis un abus de fonction", écrit ainsi la Cour.
Rémy Garnier, aujourd'hui en retraite, agent connu de sa hiérarchie pour dénoncer régulièrement ce qu'il estimait être des passe-droits dans le domaine fiscal, avait opéré ces consultations informatiques alors qu'il était sans mission particulière dans un bureau à Agen. Elles concernaient ses supérieurs et Jérôme Cahuzac, dont il avait eu vent du compte en Suisse. Ces consultations avaient été repérées, et il avait reçu du ministre du Budget de l'époque, Eric Woerth, l'avertissement qu'a donc annulé la Cour.