Réaction de Rachida Dati suite à l’article du Canard Enchaîné
Communiqués de presse
Réaction de Rachida Dati suite à l’article du Canard Enchaîné
Mardi 5 octobre 2010, extraits
Il ne se passe plus de semaines sans que ma probité et mon honneur soient mis en cause dans telles ou telles publications, et ceci sans le moindre élément de preuve. Tout est désormais prétexte à me nuire. [...] Certains journalistes seraient bien avisés, dans une situation qui n’honore pas notre démocratie, de vérifier soigneusement leurs informations.
De source http://www.rachida-dati.eu
Un Juif enlevé pendant 2 jours à Paris
Un Juif enlevé pendant 2 jours à Paris
Lefigaro.fr, 01/10/2010 | Mise à jour : 08:25
Un homme de confession juive âgé de 28 ans a été enlevé en début de semaine à Paris, révèle ce matin la radio RTL. Une demande de rançon a été faite : plus d'un million d'euros. Après deux jours d'enquête et d'inquiétude, la police a retrouvé l'otage sain et sauf hier soir. Trois personnes ont été interpellées. La victime, en état de choc, a été conduite à l'hôpital. Une affaire qui n'est pas sans rappeler l'enlèvement puis l'assassinat d'Ilan Halimi en janvier et février 2006 par le "gang des barbares", estime RTL.
L'intervention gênante du patron de la police
Info > France
Polémique
Le chef de la police soupçonné d'être intervenu après l'interpellation de son fils
bourdinandco | RMC.fr | 16/09/2010, extrait
Selon « Le Parisien », le fils de Frédéric Pechenard, âgé de 16 ans, avait été arrêté après avoir copieusement insulté des agents qui le contrôlaient sur son scooter. Son père aurait alors mis fin à toutes les procédures. « Je vais t'exploser », « t'es qu'une merde », « tu fais un métier de con », « je vais te muter à la circulation »... Qui a bien pu dire cela à un agent de police ? Selon le quotidien Le Parisien, il s'agit du fils du Directeur général de la Police nationale, Frédéric Pechenard. Le quotidien publie une série de documents selon lesquels, en février 2009, l'adolescent âgé de 16 ans a été arrêté ivre sur son scooter, dans le quartier des Champs-Elysées à Paris. Des faits dont la gravité peuvent valoir de la prison ferme à Monsieur et Madame tout-le-monde.
Sarkozy, Google et le « trou du cul »
C'est assez ce qu'on m'avait dit le 25 mai dernier, devant l'hôtel de ville de Paris, à l'occasion de la journée des enfants disparus. Dans ce pays, dès qu'on l'ouvre, on se fait injurier. Puis Google ressasse ou brasse le tout.
Médias, 07/09/2010 à 00h00
Sarkozy, google et le «trou du cul»
Depuis ce week-end, s’il vous prend l’envie de taper «trou du cul» dans la page de recherche Google, le premier résultat, c’est la page Facebook officielle de Nicolas Sarkozy. Si l’on clique, une fois tapé «trou du cul», sur le bouton «j’ai de la chance», on arrive directement sur... A lire chez Libé
Ces lettres qui piègent Woerth
Quels obstinés, ces journalistes. Mais est-ce bien grave ? Si nécessaire, Woerth pourra faire appel, saisir un tribunal, si ce n'est pas déjà fait, et probablement même, saisir un jour la CEDH. Il est plutôt jeune, Woerth pourrait s'y consacrer pendant plusieurs années. Il ne manquerait pas de soutiens ; ils pourront l'épauler dans des moments plus pénibles.
Le JDD n°3321 du 5 septembre 2010
Hortefeux « en infraction pénale »
Justice | 3 Septembre 2010, le JDD, extraits
Hortefeux "en infraction pénale"
"Certains magistrats sabotent sciemment le travail de la police", a déclaré jeudi au JDD.fr Patrice Ribeiro, secrétaire général du syndicat d’officiers de police Synergie. Pour lui, le juge des libertés et de la détention (JLD) qui a choisi de remettre en liberté Moncif Ghabbour est "un idéologue". [...] L’Union syndicale des magistrats (USM), de son côté, se dit "scandalisée par les propos de certains syndicats de policiers et du ministre", par la voix de son secrétaire général Laurent Bedouet, joint par leJDD.fr. "Le juge ne place pas en prison pour récompenser le travail des policiers", a-t-il ironisé. Pour le syndicaliste, les réactions de ce type de la part des policiers sont "de plus en plus fréquentes, car ils se sentent poussés par le ministre de l’Intérieur". [...] Et Laurent Bedouet rappelle que jeter le discrédit sur une décision de justice constitue "une infraction pénale". "Le ministre est donc en infraction pénale", a renchéri le secrétaire général de l’USM. Le syndicat de magistrats ne compte pas s’arrêter là; il envisagera "des poursuites pénales à l’encontre de qui jettera le discrédit sur une décision de justice, si les attaques contre les magistrats ne cessent pas". [...] Au cœur de la polémique, la remise en liberté du braqueur présumé. Pour Laurent Bedouet, "les critères de placement en détention provisoire n’étaient pas réunis". Ces critères avaient été restreints par la loi de mars 2007, suite à l’affaire d’Outreau. Mais selon Patrice Ribeiro, cela ne fait pas de doute, il y avait "très largement" les éléments pour le placer en détention provisoire dans le dossier. Un dossier dont le syndicaliste dit connaître le contenu.
Prof suspendue : « un abus de pouvoir »
'pauv chérie. Fera-t-elle appel, comme Aurélie Boulet ?
Prof suspendue: "un abus de pouvoir"
AFP, 01/09/2010 | Mise à jour : 19:02
Catherine Pederzoli, 58 ans, l'enseignante juive suspendue quatre mois par le recteur de l'académie de Nancy-Metz, a dénoncé mercredi soir "un abus de pouvoir". Interrogé par l'AFP par téléphone, elle a déclaré: "je vis un abus de pouvoir et un déni d'Histoire" parce qu'on m'interdit de travailler sur la Shoah. "L'enseignement de la Shoah doit déranger, moi je fais mon travail et mes élèves réussissent au bac" a-t-elle commenté.
"On salit ma vie privée et on dit que je manipule mes élèves, c'est gravissime. Peut-être que j'ai un caractère passionné, mais je n'ai jamais été agressive, je reste la tête haute je n'ai commis aucune faute je ne me sens nullement coupable", a-t-elle insisté.
L'enseignante a été suspendue sur la base d'un rapport rédigé par l'Inspection générale de l'Education nationale en juillet. Il concluait une enquête demandée par le rectorat, à la suite d'un "certain nombre de dysfonctionnements" au lycée public Henri-Loritz de Nancy, avait indiqué l'administration mardi.
Eric Woerth à nouveau mis en cause : « Je n'ai pas menti »
Les affaires Bettencourt
Eric Woerth à nouveau mis en cause : «Je n'ai pas menti»
Le Parisien | 31.08.2010, 16h51 | Mise à jour : 01.09.2010, 08h11
«Franchement, dans la Ve République, je suis probablement celui qui a été le plus sali, le plus visé, le plus ciblé, le plus démoli, moi et mes proches», s'est une nouvelle fois défendu Eric Woerth. Eric Woerth est une nouvelle fois dans la tourmente. Parmi les nombreux volets de l'affaire Bettencourt, l'enquête sur un éventuel trafic d'influence revient sur le devant de de la scène. Selon le site de «L'Express», une lettre d'Eric Woerth, saisie mi-août lors d'une perquisition, montre que l'actuel ministre du Travail est intervenu en 2007 auprès de Nicolas Sarkozy pour demander l'attribution de la Légion d'honneur à Patrice de Maistre, gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt. La suite...
Mobilisation pour « papy René »
Faits divers | 12 Août 2010, le JDD, extrait
Mobilisation pour "papy René"
Et, grâce à une vidéo postée sur YouTube (vue 17.000 fois), un jeune Biterrois est parvenu à mobiliser la toile. Un groupe Facebook pour libérer "papy René" a ainsi été mis en place. Le mouvement est en marche et la récupération politique n'est pas loin. Car le jeune à l'origine de la vidéo, Jason Onderwater, qui se présente comme "un citoyen de base", est, rapporte Europe 1, un élu UMP de Béziers. Dans son message, il estime que René Galinier a été victime de "deux racailles". "Déjà cambriolé trois fois, il a été obligé de se défendre pour se protéger car l’Etat ne fait pas son travail", ajoute-t-il, demandant à Nicolas Sarkozy "d’arrêter d’écouter le microcosme parisien et les sondages et de donner carte blanche aux forces de l’ordre".
Autre élu UMP à prendre le parti du septuagénaire, Lionel Luca. Le député des Alpes-Maritimes, membre du collectif la Droite populaire (qui défend "la nation, la patrie, la République et le travail"), explique aussi que "rien ne justifie cette mise en détention". "Que fallait-il faire? Se laisser dépouiller? Se laisser torturer éventuellement, comme on a pu le voir dans de trop nombreuses affaires récentes?", ajoute-t-il. L'incarcération de Réné Galinier, "c'est vraiment légitimer la délinquance et non plus défendre les citoyens", conclut le parlementaire.
Et le Front national est aussi de la partie. Cette affaire a trouvé un écho sur les blogs d'extrême droite et la vice-présidente du parti n'a pas hésité à dénoncer également cette incarcération qui "apparait totalement abusive lorsqu’on sait que, dans la France de Nicolas Sarkozy, les multirécidivistes, violeurs ou criminels professionnels, sont systématiquement laissés en liberté quelques minutes après leurs forfaits". La députée européenne, qui se veut la représentante de la "majorité silencieuse qui en a assez de subir", ajoute que cette détention est "injuste" car "ces gestes d’autodéfense, aussi regrettables soient-ils, ne sont que le signe du sentiment d’extrême abandon des honnêtes gens face à l’exaspérante inertie des pouvoirs publics qui garantit aux délinquants une insupportable impunité". La justice doit se prononcer mardi 17 août sur le maintien en détention de René Galinier.
Yvan Colonna reste en prison
LE MONDE.FR : Urgent
vendredi 30 juillet 2010
Yvan Colonna reste en prison. La cour d'appel de Paris a rejeté vendredi la demande de remise en liberté d'Yvan Colonna, détenu depuis 2003 et dont la condamnation à la réclusion à perpétuité pour l'assassinat du préfet Claude Erignac a été annulée par la Cour de cassation. (AFP)
Plus d'informations sur Le Monde.fr dans quelques minutes - http://www.lemonde.fr
Pasqua, « meurtri », va saisir la CEDH
Il a 83 ans, la CEDH va devoir se précipiter. Pourvu qu'elle ne lui ouvre pas de nouveaux droits en France, elle ne semble pas avoir pour réputation d'exécuter des décisions de justice. Mais le cas échéant, il pourra toujours envisager d'ultimes recours. S'il s'engage sur ces voies, déjà tellement « meurtri », il devra surtout penser à désigner un bénéficaire.
Pasqua va saisir la CEDH
AFP, 23/07/2010 | Mise à jour : 14:50, extraits
L'ancien ministre de l'Intérieur, Charles Pasqua, s'est dit "meurtri" par sa condamnation définitive aujourd'hui dans une affaire de malversations et a indiqué qu'il allait saisir la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH). [...] "In fine, ce sera devant la Cour européenne des droits de l'Homme que tout cela sera jugé définitivement", poursuit M. Pasqua. "Toute ma vie a été consacrée au service de la France, c'est pourtant la France qui sera condamnée à Strasbourg et cela me meurtrit tout autant", conclut-il.
Il est toujours possible de rêver
Le Mont Blanc, pourquoi n'y avais-je pas songé ? Les grilles du jardin du Luxembourg, je les ai déjà évaluées. A l'époque, je pense que je rêvais encore un peu. Je croyais surtout qu'il allait être possible d'émouvoir quelqu'un, sans trop savoir qui. Je venais alors de percevoir une fois de plus l'hostilité très franche des magistrats du coin, en chambre du conseil. A cette même période, il me parvenait finalement un arrêt qui confirmait encore, en tous points, conformément aux usages, avec de nombreux éléments de la procédure dénaturés. Tout paraissait ainsi très bien motivé.
Ce n'est qu'en début 2010 que la Cour allait se ressaisir un peu, mais cependant, sans pour autant accepter une « révision ». Je me serais beaucoup amusé au cours des années passés, dans la rue comme dans des prétoires de ce pays. Mais tout n'est pas perdu, j'ai lu qu'on pouvait recycler des banderoles en bâche, en faire des sacs.
France Info, ce 17 juillet 2010
Pages: 1 · 2
Soulagement des soutiens de Roman Polanski
Je crois qu'on attend plus maintenant que le retour de Shalit et de Florence Cassez.
Soulagement des soutiens de Roman Polanski
LEMONDE.FR avec AFP | 12.07.10 | 19h01 • Mis à jour le 12.07.10 | 19h10, extrait
Les soutiens de Roman Polanki en France et en Pologne se sont réjouis de la décision de la Suisse lundi 12 juillet de ne pas extrader le cinéaste franco-polonais vers les Etats-Unis et de lui rendre sa liberté de mouvement, tout en regrettant les dix mois de "perdus" depuis son arrestation.
Même le silence a une fin
Il me semble qu'Ingrid, ex-otage ou victime des FARC, citoyenne d'honneur, s'était retirée pour quelques temps alors que des critiques venaient de s'exprimer. Sa réapparition n'est pas passée inaperçue. D'ici à septembre prochain et la promotion de son livre à paraître, Même le silence a une fin, nous aurons certainement oublié qu'elle vient de scandaliser tout le monde.
Betancourt ne demandera pas d'argent
AFP, 12/07/2010 | Mise à jour : 07:07
L'ex-otage des Farc Ingrid Betancourt a assuré en larmes hier soir qu'elle regrettait la demande d'indemnisation de 6,9 millions de dollars présentée à l'Etat colombien pour son enlèvement, précisant qu'elle n'irait pas au-delà d'une démarche de "conciliation". Dès le départ, "dans mon cas nous avons décidé (avec mes avocats, nldr) que nous ne porterions pas plainte contre l'Etat colombien", a-t-elle déclaré à la télévision colombienne Caracol, en expliquant que dans le cas où la conciliation extrajudiciaire en cours ne fonctionnerait pas, elle n'irait pas au-delà.
Shalit, c'est grave, or ce n'est pourtant pas la Shoah
Ce n'est ni la Shoah et il n'est pas non plus un chat, mais Shalit, c'est grave. C'est à ne rien y comprendre. Mais Reiss, Polanski, Petrella, Aubenas, Colonna, Cassez ou Bétancourt, c'était ou c'est encore tout aussi grave. Polanski, on nous en parle encore, en Suisse ; les juges tarderaient maintenant ou ne jugeraient pas ? Le pauvre homme ; il doit beaucoup souffrir, parmi les siens, dans son joli chalet Suisse.
Shalit, ce cas particulier, c'est cependant un peu différent ; il n'est pas suspect, juste victime. Récemment, de 10 à 15 000 personnes se sont réunies sur le parvis des droits de l'homme, à Paris. Sa situation a pu beaucoup émouvoir. Un son, entendu ce jour, sur RTL, va encore faire larmoyer dans nos chaumières et kiboutz ou colonies :
Shalit, c'est vraiment grave, même s'il serait pourtant tellement mieux logé ou loti que d'autres. Selon le Hamas, il aurait la télévision et suivrait en effet la coupe du monde. Sa situation n'est donc pas si dramatique qu'on voudrait nous le faire croire ? Bétancourt aussi avait sa radio ; au fond de la jungle, alors qu'elle était retenue par les FARC, elle pouvait de temps en temps entendre des messages d'espoir ou de ses enfants. Depuis, Bétancourt est libre.
Ces FARC ou même ce Hamas ne sont donc finalement pas si inhumains que cela. A Nanterre, fin 2005, le juge pour enfant m'interdisait durablement et très strictement de communiquer avec mon aînée, ce que le pasteur d'Uhrwiller a ensuite très scrupuleusement respecté, « dans l'intérêt de l'enfant ». Nous étions resté près de trois ans sans avoir la moindre nouvelle de mon aînée. Mais il s'agit « d'assistance éducative » et ces « mesures provisoires » étaient bien évidement dûment motivées, même si par la suite, vers janvier 2010, la cour d'appel de Versailles s'est un peu ressaisie. Cette rupture a d'abord été motivée par un rapport versé par l'OSE France, une association juive, puis ensuite, par un rapport ou avis versé par un bon psychiatre français ; faute de mieux, le juge Anne Valentini avait très lourdement insisté pour obtenir cet avis « psychiatrique », des opinions ou un rapport assez particulier que les juges de Nanterre et de Versailles ne m'ont jamais permis de contester.
Aujourd'hui, le troufion Shalit, ce grand gaillard de 24 ans, pourrait avoir des problèmes de santé ? Je crois que le CICR ne peut rien vérifier - la faute à Kouchner ? - mais ce que j'ai pu lire ici et là, sur la toile, n'est pas spécialement alarmant ? Des preuves occasionnelles de vie rassureront tout le monde ; quiconque en douterait pourrait en discuter avec les travailleurs sociaux de l'ARSEA Alsace ou, pourquoi pas, écrire au juge pour enfant Thierry Baranger, « clinicien judiciaire », qui pourrait également rassurer.
Je m'aperçois qu'au final, j'en arrive à bien écouter tout de même le juge Xavier Serrier. En juin 2008, alors qu'il n'imaginait probablement pas qu'il allait devoir sauter de son siège, il m'intimait de changer de discours, ce que la cour d'appel de Versailles confirmait en 2009. J'ai le sentiment que mes discours ont un peu changés ces derniers temps. Par moments, je me perçois en tous cas un peu plus proche de courants assez radicaux qui snobent eux aussi Israel.
De source le Temps