« Européennes : piège de Sarkozy (Bové) | Dray n'a jamais sous-estimé Sarkozy » |
Coupe de France : une « faute politique » qui fait du bruit
Voir aussi Cafouillage : Dati invoque le « rire » et « la parodie » ainsi que Villepin tacle à nouveau Sarkozy
Voir également Frédéric Lefebvre cible d'une vidéo « anonyme » et Lefebvre : « on va leur faire la totale »
Villepin jaloux selon Bertrand
AFP, 10/05/2009 | Mise à jour : 11:46, extrait
Le secrétaire général de l'UMP, Xavier Bertrand, a accusé aujourd'hui l'ancien premier ministre Dominique de Villepin d'être animé par "la jalousie" dans ses critiques du président Nicolas Sarkozy. "Je voudrais dire à Dominique de Villepin que la jalousie est un bien vilain défaut (...) Je pense qu'aujourd'hui, il n'est plus dans un registre politique", a-t-il déclaré au micro de Radio J. "Aujourd'hui, on a besoin de débat politique, on n'a pas besoin de débat polémique", a-t-il affirmé, en s'en prenant à ceux - comme également François Bayrou - "qui, matin, midi et soir, sont dans l'anathème vis-à-vis du président et de notre majorité". "Ils vont finir par lasser très rapidement", a-t-il pronostiqué. M. de Villepin a affirmé jeudi comprendre que le chef de l'Etat n'ait pas souhaité fêter ses deux ans à l'Elysée "parce qu'à la vérité, il n'y a pas grand chose à fêter".
La valise diplomatique
Vendredi 8 mai 2009, le Monde diplo, extrait
Haro sur les gauchistes de l’université !
On a enfin une explication aux mobilisations qui secouent le monde de l’enseignement supérieur et de la recherche depuis quatorze semaines : elles sont manipulées par l’extrême gauche ! Le 4 mai, le porte-parole de l’Union pour un mouvement populaire (UMP) Frédéric Lefebvre fustigeait ainsi la « minorité de surexcités qui sacrifie pour des raisons idéologiques l’avenir des jeunes ». Le même jour, l’éditorialiste du Figaro, Yves Thréard, expliquait à ses lecteurs que l’université française « continue de creuser sa tombe par la faute de quelques enragés ». Dans la foulée, le socialiste François Hollande tançait « une extrême gauche qui cherche, pour des raisons qui lui appartiennent, à engager un conflit qui n’a que trop duré (1) ». Il crut même retrouver un instant des airs thoréziens en clamant : « à un moment, il faut savoir sortir d’un conflit », oubliant juste la seconde partie de la phrase prononcée en juin 1936 par le secrétaire général du Parti communiste français : « Dès l’instant où les revendications essentielles ont été obtenues. »
Football
Coupe de France. Quand Sarkozy évite les sifflets bretons...
10 mai 2009 - Le Télégramme, extraits
Hier, la finale de la Coupe de France de football a connu un avant-match agité dans les vestiaires de la République. Dans le rôle principal: Nicolas Sarkozy. Annoncé absent du Stade de France, le Président a finalement assisté au match après avoir soulevé, dans la journée, l'incompréhension de nombreux Bretons.
[...] Sarkozy mal engagé dans la finale bretonne
[...] Une «faute politique» qui fait du bruit
En une de France Info
Université : le gouvernement et l'UMP durcissent le ton contre les "bloqueurs"
LE MONDE | 06.05.09 | 13h49 • Mis à jour le 06.05.09 | 16h01, extrait
Politiser le débat. Pointer le rôle de l'extrême gauche, mais aussi celui du PS. L'UMP a décidé de durcir le ton sur la crise universitaire qui menace le bon déroulé des examens. Selon le dernier pointage du ministère, une quinzaine d'universités restent perturbées à des degrés divers, à la quatorzième semaine du mouvement.
Lundi 4 mai, Frédéric Lefebvre, porte-parole de l'UMP, avait demandé au gouvernement d'engager des poursuites judiciaires contre "les jusqu'au-boutistes qui prennent en otage les jeunes". Il avait nommément visé l'extrême gauche, "une minorité de surexcités" qui, selon lui, "sacrifie pour des raisons idéologiques l'avenir des jeunes". Mardi, un autre député UMP, Damien Meslot, élu de Belfort, a déposé une proposition de loi visant à instituer un "délit" pour les occupations des universités, passible de 1 000 euros d'amende par jour.
Bretagne
Xavier Bertrand. Sarkozy n'a jamais dit "je me fous des Bretons"
10 mai 2009 à 12h58 - Le Télégramme, extrait
Le secrétaire général de l'UMP Xavier Bertrand affirme aujourd'hui que Nicolas Sarkozy n'a "jamais" prononcé, pendant la campagne présidentielle de 2007, la phrase "je me fous des Bretons" que lui prête l'écrivain Yasmina Reza dans "L'aube, le soir ou la nuit".
"J'ai entendu à nouveau des propos qui auraient été tenus pendant la campagne présidentielle. J'étais avec le président ce jour-là, j'ai assisté à tout, du début du déplacement jusqu'à la fin du déplacement. J'ai été un témoin direct. Jamais ces propos n'ont été tenus", a-t-il déclaré au micro de Radio J.
Bertrand affirme que Sarkozy n'a jamais dit "je me fous des Bretons"
AFP 10.05.09 | 12h45