« L'Angleterre pleure son cerf géant | Liliane Bettencourt : « Quand c’est plat, je m’emmerde ! » » |
Changement de magistrats en vue sur l'affaire Bettencourt
NDLR : Pour mes propres affaires, c'est à nouveau fait ; voir Surprise, c'est encore un strike !
Actualités
Publié le 26/10/2010 à 14:39, Reuters, extrait
Changement de magistrats en vue sur l'affaire Bettencourt
par Thierry Lévêque
PARIS (Reuters) - Un changement complet de magistrats va être demandé à la plus haute juridiction française pour mettre un terme à un conflit dans la conduite des enquêtes concernant l'héritière de L'Oréal Liliane Bettencourt.
Ce dossier de querelle familiale entre Liliane Bettencourt, 17e fortune mondiale, et sa fille est devenu un scandale politique depuis des révélations au printemps dernier impliquant l'UMP et notamment le ministre du Travail Eric Woerth.
Le portrait de Pétain interdit de mairie
AFP, 26/10/2010 | Mise à jour : 14:33
La mairie de Gonneville-sur-Mer, dans le Calvados, doit renoncer à exposer un portrait du maréchal Pétain dans sa salle de conseil municipal car cela est contraire à la "neutralité du service public", a jugé aujourd'hui le tribunal administratif de Caen.
"Le principe de neutralité des services publics s’oppose à ce que soient apposés sur les édifices publics des signes exprimant des opinions politiques, religieuses ou philosophiques", explique dans un communiqué le tribunal, qui "annule" la décision de la mairie de garder le portrait.
"Le tribunal n’a pas retenu l’argumentation de la commune selon laquelle le portrait de Philippe Pétain, qui n’était pas installé seul, trouvait sa place dans une galerie de portraits historiques des chefs de l’Etat depuis 1871, en raison de la portée symbolique particulière que revêt le portrait de Philippe Pétain", précise la juridiction.
Le tribunal a ainsi suivi l'avis du rapporteur public qui lors de l'audience du 12 octobre avait souligné que Pétain "incarne à lui seul le régime" xénophobe de Vichy et sa "collaboration" avec l'Allemagne nazie.
Le tribunal avait été saisi en début d'année par le préfet d'alors, Christian Leyrit, qui avait demandé en vain à la mairie de retirer ce portrait. Dans un courrier au préfet daté du 27 janvier, le maire sans étiquette de Gonneville, Bernard Hoyé, lui avait fait savoir que "les conseillers municipaux" voulaient maintenir le portrait.