Archives pour: Mai 2011, 11
Colonna : beaucoup d'experts pour rien
NDLR : Au lieu d'experts en balistique et postures, dans cette affaire Colonna, les partis et la Cour auraient peut-être du convier de précieux atouts, des psychiatres, comme dans l'affaire dite Dils : « dans certaines situations et sous certaines conditions... le présumé coupable ou déjà désigné par Sarkozy aurait pu tuer le préfet. » Les jurés et la Cour n'ayant toujours pas à motiver précisément leurs décisions, une très lourde condamnation pouvait passer, comme une lettre à la Poste ?
Metro France du 10 mai 2011
Pages: 1 · 2
Par erreur, Facebook a livré aux annonceurs les secrets de ses utilisateurs
NDLR : Voilà Facebook dans le sillage de Sony Offline Entertainment...
Par erreur, Facebook a livré aux annonceurs les secrets de ses utilisateurs
France Info - 09:44, extrait
Selon la société de sécurité informatique Symantec, qui révèle le pot aux roses, les annonceurs ont pu envoyer des messages ciblés aux utilisateurs de Facebook, et pirater leurs données personnelles. Rien qu’en avril dernier, 100.000 profils ont ainsi été ouverts aux quatre vents, selon Symantec. En quelques années, ce sont des millions de mots-clés qui ont ainsi pu être communiqués. Facebook confirme l’information. La faille résidait dans certaines applications, comme les jeux dont quelque 20 millions sont installés chaque jour par des utilisateurs sur leur profil. La firme de Palo Alto (Californie) affirme avoir pris des mesures pour résoudre le problème dès qu’elle en a eu connaissance.
3 éditeurs français assignent Google
Le Figaro, 11/05/2011 | Mise à jour : 12:30
Trois éditeurs français, Gallimard, Flammarion et Albin Michel ont délivré une assignation pour contrefaçon au géant américain Google auquel ils reprochent la reproduction sans autorisation de milliers de titres. Cette assignation, révélée aujourd'hui par le magazine spécialisé Livres Hebdo, a été délivrée le 6 mai au Tribunal de grande instance de Paris. Elle vise la filiale française de Google et la même assignation sera adressée à la maison-mère. "Google l'a bien reçue", a confirmé à l'AFP le service juridique de Gallimard.
Paris refuse qu’un couvent français accueille l’ex-épouse de Dutroux
France Info - 12:15, extrait
C’était l’une des conditions posées à la libération anticipée de l’ex-épouse du pédophile belge Marc Dutroux : Michelle Martin devait se retirer dans un couvent, en France. Mais Paris s’y oppose : Michel Mercier, le ministre de la Justice, affirme qu’il n’a "pas l’intention de dire oui". Après sa libération, l’ex-femme de Marc Dutroux devait trouver asile dans un couvent français, qui avait accepté de l’accueillir, sous le contrôle des autorités belges. Restait à obtenir l’aval de Paris, conformément à une Convention européenne de 1964 portant sur "l’aide mutuelle nécessaire au reclassement social des délinquants".
Ridicule : des clones de Wikileaks se brident par le droit d'auteur
NDLR : Est-ce vraiment si ridicule ? Nous en reparlerons peut-être le 18 juin prochain, chez Mickey®...
Ridicule : des clones de Wikileaks se brident par le droit d'auteur
Guillaume Champeau - publié le Mardi 10 Mai 2011 à 12h15 - posté dans Société 2.0
Qu'aurait pu révéler Wikileaks si le site avait dû s'assurer d'avoir les droits avant de publier des documents confidentiels ? La question paraît absurde, et c'est pourtant bien une condition qu'imposent des sites inspirés par Wikileaks, qui demandent à leurs sources de détenir les droits des documents envoyés. Absurde.
La suite, sur Numerama
Pédophilie : l'école en bateau [enfin ?] aux assises
NDLR : Près de 17 ans après... les premières plaintes ?
Pédophilie: L'École en bateau aux assises
AFP, 10/05/2011 | Mise à jour : 17:11, extrait
Le fondateur de l'association L'Ecole en bateau et quatre autres personnes, soupçonnés de viols aggravés à bord d'un bateau-école dans les années 1980, sont renvoyés devant la cour d'assises des mineurs.
Près de 17 ans après la première plainte déposée en 1994, Léonide Kameneff, 74 ans, ancien capitaine du "Karrek Ven", et quatre anciens membres de l'équipage comparaîtront devant les assises des mineurs, une des personnes poursuivies étant mineure au moment des faits entre 1981 et 1995. Ils sont renvoyés devant la cour d'assises notamment pour des "pénétrations sexuelles par violence, contrainte, menace ou surprise" sur des mineurs de moins de 15 ans.