« Surveillance d'un journaliste : Squarcini mis en examen | La tension monte d’un cran entre pro et anti-corrida » |
Liliane Bettencourt mise sous tutelle
Actualité > France
17/10/11 - 14 H 33, La Croix, extrait
Enseignants
Obsèques de l’enseignante qui s’est immolée par le feu
Les obsèques de l’enseignante du lycée Jean-Moulin de Béziers (Hérault), décédée après s’être immolée par le feu jeudi 13 octobre 2011 dans la cour de l’établissement, ont lieu lundi 17 octobre dans un village du département. Le lieu précis n’a pas été précisé, la famille ne souhaitant pas que la presse soit présente. Professeur de mathématiques, la victime donnait des cours depuis dix ans dans ce lycée de 3000 élèves, deuxième cité scolaire du Languedoc-Roussillon. Le ministre de l’éducation nationale, Luc Chatel, qui s’était rendu à son chevet jeudi 13 octobre, n’avait pas confirmé le lien, avancé par le parquet, entre ce geste de désespoir et son activité professionnelle.
8 commentaires
Selon le code civil, Liliane Bettencourt peut encore décider de son lieu de résidence, et pourrait choisir de s'installer à l'étranger. A charge, disent les textes, pour son tuteur, de contester devant le juge cette décision s'il l'estimait contraire aux « intérêts » de sa grand-mère.
La responsabilité de l'État est engagée
Un tel déménagement présenterait l'avantage, pour l'héritière, de fragiliser la mesure de tutelle qui encadre désormais ses faits et gestes. Car si jamais Liliane Bettencourt s'installait à l'étranger avant que son tuteur ait eu le temps de contester son choix, elle pourrait ensuite demander au juge des tutelles français de mettre fin à la mesure en France. Il n'est pas rare que les magistrats accèdent à ce type de demande, lorsqu'ils ne sont plus, de fait, en mesure d'assurer le suivi et la surveillance de la mesure. En cas de dysfonctionnement de la tutelle, c'est en effet la responsabilité de l'État qui est engagée…
De source http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/10/17/01016-20111017ARTFIG00481-si-liliane-bettencourt-partait-cela-fragiliserait-la-tutelle.php
La prise d'otages dans l'agence Pôle Emploi de la rue Pelée du XIe arrondissement de Paris est terminée. Le preneur d'otages s'est rendu et a relâché les deux personnes qu'il retenait depuis ce lundi midi: la directrice de l'agence et son adjoint.
D'après une source policière, son arme était factice.
[...] D'après LeFigaro.fr, cet échange entre Pierre Haski de Rue89 et le prenneur d'otages avait provoqué la colère des forces de l'ordre.
Extraits de source http://www.lexpress.fr/actualite/societe/fait-divers/fin-de-la-prise-d-otages-dans-une-agence-pole-emploi_1041388.html
Prise d'otage: "dialogue pas entamé"
Par Flore Galaud Mis à jour le 17/10/2011 à 13:38 | publié le 17/10/2011 à 13:38
La police indique n'avoir pas encore entamé de dialogue avec le preneur d'otage de l'agence Pôle Emploi, qui retient deux personnes sous la menace d'un pistolet. "On essaye de régler la situation sans violence pour le moment", explique au Figaro le représentant du syndicat unité SGP Police sur place, Luc Poignant.
"Une personne en particulier est en charge d'établir le contact avec lui, mais pour l'instant le dialogue n'a pas commencé", poursuit-il. "Les seules revendications que nous avons proviennent du manifeste qu'il a envoyé. Nous ne savons pas s'il s'agit avec certitude de la meme personne."
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/10/17/97001-20111017FILWWW00469-prise-d-otage-dialogue-pas-entame.php
La Brigade antigang de la PJ parisienne s'est ensuite déployée en formation anti-commando, puis les deux otages ont été libérés en bonne santé, alors que le forcené s'est rendu sans résister. La PJ indique que selon toute vraisemblance, le preneur d'otage n'est pas marié et n'a pas d'enfants. Il a été pris en charge par les policiers du 2ème district de la police judiciaire et a été placé en garde a vue.
«Nous avons réussi à gérer le drame du mieux possible. Les otages vont très bien. (Le forcené) était guidé par le désespoir», a indiqué au Figaro Jean-Louis Fiamenghi, directeur du cabinet du préfet de police. Le directeur adjoint de la PJ de Paris Jean-Jacques Herlem a quant à lui ajouté quelques précisions sur le déroulement des faits : «C'est l'agence qui a prévenu de la prise d'otage. Elle s'est produite alors que l'homme était en entretien à Pôle emploi. Il est inconnu des services de police».
Extrait de source http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/10/17/01016-20111017ARTFIG00472-prise-d-otages-dans-une-agence-pole-emploi-a-paris.php
D'après Jean-Louis Fiamenghi, directeur de cabinet du préfet de police, le quadragénaire était venu «au Pôle Emploi pour qu'on lui apporte une solution à son problème de recherche d'emploi» et «il trouvait que ça n'allait pas assez vite».
De source http://www.leparisien.fr/faits-divers/prise-d-otages-a-pole-emploi-le-forcene-s-est-rendu-17-10-2011-1657391.php
« Je veux des gros médias, pour valider nationalement. Après le 20 heures, il sera plus difficile à BHL et Finkielkraut de jeter un doute sur moi. Beaucoup de gens croient encore la télé. »
Cette approche subtile de la médiatisation à plusieurs niveaux est révélatrice de notre époque, au point que certains, sur Twitter, aient pu parler de « preneur d'otages 2.0 », conscient du poids et de la force d'Internet mais aussi des pesanteurs de la société traditionnelle.
De source http://www.rue89.com/2011/10/17/prise-dotages-pole-emploi-rue89-t-il-bien-agi-225650
De source http://www.leparisien.fr/sports/autres/video-un-accident-mortel-en-indycar-bouleverse-le-sport-auto-17-10-2011-1657481.php
"Alors qu'un tableau de roulement existe pour les JLD (juges des libertés et de la détention), destiné notamment à garantir une impartialité et le respect du principe de juge naturel, le président (Christian Riss, ndlr) a cru pouvoir s'autoriser à se désigner lui-même, en contradiction parfaite avec le fonctionnement habituel et normal de ce service", déclare le SM dans un communiqué.
De source http://www.europe1.fr/France/Bettencourt-manoeuvres-pour-le-SM-772517/
De source http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/10/18/le-jugement-accablant-qui-place-sous-tutelle-liliane-bettencourt_1589500_3224.html