Catégorie: La source du bon sens
Affaire TF1/Hapodi : un « collaborateur » d’Albanel mis à pied
Affaire TF1/Hapodi : un collaborateur d’Albanel mis à pied
France Info - 10:58, extrait
C’est la deuxième victime de la loi Hadopi contre le piratage sur internet. Après un cadre de TF1, viré pour avoir exprimé son opposition au texte, dans un courriel adressé à la députée UMP Françoise de Panafieu, la ministre suspend son collaborateur qui avait renvoyé le courriel à la direction de TF1…
La ministre de la Culture et de la Communication qualifie la démarche de son collaborateur – qu’elle ne nomme pas – d’"erreur regrettable", dans les colonnes de Libération ce matin. Une mise à pied d’un mois a été prononcée, mais Christine Albanel a refusé la démission que ce collaborateur lui avait remise.
Le télescope géant Hubble va rempiler pour cinq ans
France Info - 09:09
Recherche 500.000 "Nutrinautes" pour grande aventure scientifique
France Info - 06:35
Benoit XVI en Israël, entre symboles et tensions
France Info - 06:02, extrait
Nouveau chapitre de la visite du pape en Terre sainte, sa venue dans l’Etat hébreu intervient peu de temps après la polémique autour des propos de l’évêque Williamson...
Il arrive aujourd’hui en Israël, et Benoit XVI se voit déjà reprocher beaucoup de choses. Le Vatican lui-même n’a-t-il pas reconnu que ce douzième voyage du pape allemand était "très complexe" ? Après notamment une période de fortes tensions...
« Touche pas à mon pape »
Interactif & Multimédia
L'incroyable succès du site «vie de merde.fr»
Le Parisien | 04.04.2009, 09h42 | Mise à jour : 09h49, extrait
Ils ont la vingtaine, le duo rémois Maxime Vallette et Guillaume Passaglia a enflammé les médias français et américains, avec l'incroyable succès de leur site internet « vie de merde.fr ». Le principe ? Les internautes confessent leurs petits malheurs du quotidien, en envoyant un simple message écrit, le plus souvent très drôle. Avec cette idée génialement légère, ils attirent 2 millions de visiteurs par jour.
Société
«Touche pas à mon pape»
Le Parisien | 05.04.2009, 07h00, extrait
Les propos de Benoît XVI continuent de semer le trouble parmi les catholiques de France. Les pro-Benoît XVI se rebiffent.
Certains arborent fièrement des autocollants avec les slogans des collectifs, « Touche pas à mon pape » et « Benoît, j’ai confiance en toi ». Un jeune s’est vêtu d’un drapeau aux couleurs du Vatican, tandis que ses voisins affichent des tee-shirts à l’effigie de Benoît XVI et du Christ, rebaptisé « le boss ». Entre cent et deux cents catholiques, « messagers de Benoît XVI », comme ils se définissent, se sont rassemblés hier et ont formé une chaîne humaine devant le parvis de Notre-Dame pour dire leur attachement au pape. « Pas d’agressivité, pas de cris hostiles (…) Soyez beaux et propres », avaient lancé les organisateurs du rassemblement sur Internet. Pas question de revivre les affrontements du 22 mars, qui avaient opposé des élus de gauche et des membres d’Act Up à des militants d’extrême droite, après une distribution de préservatifs.
Libé du 4 avril, page 15
Le mea culpa de Benoît XVI 2.0
Voir également C'est quoi le web 2.0 ? et Culture : où est passée la France ?
ainsi que Les blogs : info ou influence ? et Monopoly : Montcuq perd la partie
Le mea culpa de Benoît XVI
France Info - 13:30, extrait
Dans une longue lettre envoyée aux évêques du monde entier, Benoît XVI estime que son erreur aura été de ne pas avoir expliqué de manière suffisamment claire “la portée et les limites” de la main tendue aux intégristes.
Cette main tendue, dit-il, il la justifie au nom de la recherche de la réconciliation de tous les chrétiens dans un monde où “Dieu disparaît de l’horizon des hommes”.
Quant à l’affaire Williamson, cet évêque intégriste qui a d’abord tenu des propos négationnistes avant de finalement refuser lui-même la levée de l’excommunication, le pape a redit qu’il ignorait tout des positions de l’homme. “Il m’a été dit que suivre avec attention les informations auxquelles on peut accéder par internet aurait permis d’avoir rapidement connaissance du problème. J’en tire la leçon qu’à l’avenir au Saint-Siège nous devrons prêter davantage attention à cette source d’informations”.