Catégorie: Le dégrisement
Agressée, elle se retrouve en cellule de dégrisement
NDLR : Attendons de découvrir ce que répondra l'IGS, si elle est saisie. Pour le moment, je ne retiens qu'une simple formule de cet article du Parisien : « d’où vient cette attitude qui sabote [l’enquête] ? »
Yvelines (78)
Chatou
Agressée, elle se retrouve en cellule de dégrisement
Le Parisien | 12.08.2009, 07h00
Une jeune femme de Chatou, violentée dans une boîte de nuit parisienne, a été interpellée par la police pour ivresse sur la voie publique. Son avocat va saisir l’IGS.
Annabelle MASSET veut être reconnue comme victime. Cette jeune femme de 29 ans accuse le patron d’une boîte de nuit d’agression sexuelle et estime que les policiers ont essayé d’étouffer l’affaire. Les faits remontent à la nuit du 5 au 6 juillet. Récente major de sa promo, un mastère de gestion du patrimoine, cette habitante de Chatou sort avec une copine dans une boîte de nuit du IXe arrondissement de Paris.
A l’aube, le patron de l’établissement, accompagné d’un autre responsable, leur sert du champagne. Hormis des employés qui débarrassent les verres, il ne reste plus qu’eux quatre dans l’établissement. Le patron s’absente alors quelques minutes... et revient nu. Il tente alors de caresser Annabelle, qui se débat avant de lui asséner plusieurs coups. La jeune femme parvient à s’enfuir par une sortie de secours et, une fois dehors, appelle la police. « Au secours, on a essayé de me violer. »
Mort en dégrisement : l'ivresse en cause ?
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Pays de la Loire
Ouest France, jeudi 09 avril 2009
Mort en dégrisement : l'ivresse en cause
L'homme décédé au commissariat de La Baule a succombé à une ivresse. Ces premiers résultats d'autopsie doivent être confirmés par des analyses sanguines.
Les faits. Vers 22 h 15, lundi soir, l'employé d'un hôtel de La Baule, constatant les difficultés à se déplacer d'un homme en état d'ébriété, alerte la police. Une patrouille arrive. Elle décide de placer l'homme de 43 ans, employé dans une boulangerie, dans une cellule individuelle de dégrisement. Un peu plus d'une demi-heure plus tard, un policier constate que l'homme est inanimé. Malgré les efforts d'une étudiante en médecine, qui déposait au commissariat, et du Samu, arrivé quelques minutes plus tard, la victime décède.
Les causes. La consommation d'alcool joue un rôle central dans le décès. C'est ce qui ressort des premiers éléments de l'autopsie. Hier, le vice-procureur chargé de l'enquête a juste indiqué qu'il attendait « les résultats des analyses sanguines. »
Le médecin. À La Baule, la police ne transporte pas les personnes interpellées pour ivresse à l'hôpital. Sur réquisition du procureur, les policiers alertent un médecin de garde, le plus souvent la société SOS médecins. Les médecins établissent leurs priorités. Et assurent le plus souvent une intervention dans un délai d'une heure, sans obligation légale ou réglementaire.
Un homme meurt dans un commissariat
Un homme meurt dans un commissariat
AFP, 10/04/2009 | Mise à jour : 16:24
Le décès d'un homme de 44 ans dans la nuit de lundi à mardi au commissariat de La Baule (Loire-Atlantique) en cellule de dégrisement est dû à l'ivresse, a-t-on appris aujourd'hui auprès du parquet de Saint-Nazaire.
Selon les résultats de l'autopsie réalisée mercredi, l'homme qui avait 3,98 gr d'alcool par litre de sang était tombé en coma éthylique. Le corps ne présentait "aucun signe d'intervention d'un tiers", a précisé Florence Lecocq, procureure de Saint-Nazaire.
L'homme, interpellé lundi par la police vers 22H35 pour ivresse sur la voie publique, avait été placé en cellule de dégrisement entre cinq et dix minutes plus tard. Il a été retrouvé inanimé à 23H25 suite à "un malaise dans la cellule", selon la police.
Le malaise est intervenu avant que le médecin de garde, appelé lors de l'arrivée de l'homme au commissariat, ait pu arriver, et les pompiers n'ont pas pu le réanimer.
Fin du calvaire pour six jeunes injustement accusés
Le Figaro, 10/04/2009 | Mise à jour : 15:03, extraits
Après 5 ans de procédure, six adolescents ont été blanchis jeudi en appel des accusations de viol portées par la femme de ménage de leur ancien lycée. Elle avait menti.
[...] Le procès a par ailleurs mis en lumière une instruction à charge. L'audience a ainsi basculé en faveur des accusés au moment où une vidéo, où l'on voit l'un des accusés se faire «extorquer» des aveux par un commissaire de police, a été diffusée. «Cela n'est pas un fonctionnement normal des institutions », confie l'une de leurs avocates, Lilane Glock, à France Info. «Nous avons une solution heureuse». Mais ils ont tout de même eu «six ans de leur vie gâchée», explique-t-elle, estimant qu'il y a eu «dérapage judiciaire».
Diffusé sur les ondes, par France-Info :