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Qu'est-ce qu'il a, mon blog ?
Je répond tout de suite à cette question : mon blog n'a rien du tout, même pas d'audience particulière. Lorsqu'un Morandini publie un billet, suit une déferlante de 40 000 visites dans la journée, voire même dans l'heure. Ici... En plus, je m'aperçois que sur Internet, c'est en ce moment juste le bordel, même dans l'actu, et que les indexations des moteurs de recherche semblent évoluer, manifestement au gré de suppressions et de censures de données. Serait-il possible qu'en raison de changements récents, mon billet de blog avait soudainement gagné en pertinence puis en visibilité ? En ce cas, ce ne serait qu'en raison de ces changements, une purge en cours sur Internet et peut-être mal faite, que mon vieux billet de 2008 assez conforme à ce qui était alors paru dans la presse commençait à poser des problèmes... Ce sont des éléments et une hypothèse type #Streisand que je pourrais soumettre aussi à Me Amélie Tripet, si elle m'écrivait à nouveau.
En attendant, et parce qu'il faut bien se distraire aussi entre des réflexions, je vais essayer de trouver plus que la courte minute « Prostitution : escort girl à 15 ans », par 66 minutes, encore diffusé par M6... « Zoé et Manon, deux adolescentes, plongent dans le monde de la prostitution à seulement 15 ans. Obsédées par le luxe et l'argent facile, les deux jeunes filles opèrent en tant qu'escort girl. Après 3 mois de rendez-vous tarifés avec de riches clients, elles sont finalement dénoncées par leur propre mère. » « On disait plutôt de l'escort ». « Si les relations sexuelles avec mineures sont fortement réprimandées par la loi, la police traque surtout les éventuels proxénètes ou systèmes de réseaux », peut-on lire chez M6 Enquêtes Exclusives. Des documentaires, mais récents et pour les français. Plus loin, j'ai trouvé « Pas sur la bouche - Le documentaire choc de Mireille Darc sur les `'escort girl" », encore récent, déconseillé aux moins de 16 ans... « la prostitution, en France, est libre. C'est le proxénétisme qui est interdit. » « `'Escort" : le mot s'est banalisé dans notre vocabulaire. Il suffit de faire une recherche sur Internet pour réaliser à quel point cette activité a explosé et surtout qu'elle touche et s'adresse à toutes les catégories sociales et professionnelles. »
Pas sur la bouche - Le documentaire choc de Mireille Darc
Ce 11 juillet, j'ai donc été mis en demeure et j'ai même été mis en cause par une avocate, rien que ça. Très probablement par une nettoyeuse de #ereputation ou faisant fonction, pour un billet de 2008. Dans mon billet, il ne figurait pourtant que des coupons de presse et des extraits, des informations qu'on peut aujourd'hui toujours retrouver et aller lire ailleurs, sur Internet, en tout premier dans des articles de journaux en ligne (le Parisien, le Soir, ...). Et il m'est reproché de m'être moi-même référé à nos principaux journaux français, ce sans même les avoir commenté, sans avoir dénaturé quoi que ce soit, ou il m'est depuis peu strictement interdit de me référer encore en ligne à des informations elles-mêmes pourtant toujours en ligne, mais ailleurs, et accessibles à tous via Google, Bing, etc, quelque chose de cet ordre #ShutUp
Dans ma rubrique Notes, sur la droite, il figure depuis toujours un petit avertissement qui peut avoir échappé à plus d'un visiteur : « L'actualité, au fil des mois... Les extraits proposés dans cet espace sont loin d'être exhaustifs. Pour la contradiction et pour plus consensuel, ne pas hésiter à suivre les liens pour lire l'intégralité des articles référencés. Ne pas hésiter non plus à compléter ces lectures par des recherches, sur le net, les sites officiels, ainsi que dans les bibliothèques ou les archives de médias traditionnels. » C'est ce qu'on nous apprend au plus tard dès le collège.
A l'époque, vers 2006, au moment d'un tournage d'un film, il y avait eu scandale, notamment sexuel. Contrairement à la Suisse, la France est depuis longtemps traversée par de forts courants abolitionnistes, par divers courants féministes, des courants récemment renforcés par le militantisme des FEMEN et autres anti-masculinistes. En France comme autre part, le sujet de la pédophilie ou de sexe avec des mineurs est également sensible, depuis des décennies. Vers 2006 puis fin 2008, nous discutions beaucoup de prostitution, de drogue et même de proxénétisme (une activité professionnelle quasi comme une autre, en Suisse, à la période des faits, puis également à la période du procès qui allait suivre).
Dans cette histoire, le journal le Parisien avait fini condamné pour avoir publié des informations erronées ou fausses. Je n'avais rien repris de tel, des choses trop erronées ; ma propre publication était postérieure, portait sur l'ouverture, donc, sur des éléments retenus par l'instruction, ainsi que sur des faits du déroulement du procès. Il m'est également reproché d'avoir pris note ou d'avoir publié trois coupons et extraits de journaux, j'avais un peu croisé des sources... A toutes ces périodes, de 2006 à 2008, je fréquentais moi-même assidument des prétoires, au civil, chez les sauvages, et les faits tels que rapportés fin 2008, par la presse, divers grands quotidiens français, ne m'avaient pas laissé indifférent ; j'en avais d'ailleurs pris ces « notes ». Il faut souvent un certain temps, des fois des années, même des débats dans des prétoires avant que des vérités puissent émerger... Plus tard, à un procès « Drogue et sexe chez Astérix », quelques faits et responsabilités avaient été établis, et des accusations telles que de chantage et d'extorsions allaient s'effondrer. Malgré ces histoires d'héroïne ou de coke et de cul, du sexe tarifé, de violences conjugales aussi, Thomas Langmann ne s'en porte manifestement pas plus mal ; The Artist, de 2011, a même été très bien reçu ; Astérix, on s'en souviendra.
Cinéma : comment Thomas Langmann a bâti son empire
Entreprendre.fr, publié le 10 sep 2015, extrait
« Avant le succès de The Artist, Thomas Langmann a, en effet, essuyé quelques plâtres, celui d’Astérix aux Jeux Olympiques (janvier 2008) et son budget de 78 M€ (film le plus cher de l’histoire du cinéma français), qu’il a lui-même réalisé, et qui n’a engendré «que» 6,8 millions d’entrées en France. »
Thomas Langmann, le nouveau nabab
M le magazine du Monde | 25.02.2012 à 14h23
« M le style, l'époque, l'actu », 2012, extrait : « sur le tournage d'Astérix aux Jeux olympiques, 50 000 euros sont dépensés en coke et escort girls. Quand l'affaire s'ébruite, Langmann s'en tire d'un " consommation personnelle ". »
Il y a fréquemment reécritures des histoires entre le moment du scandale, au gré des remous judiciaires et des temps médiatiques, puis à l'issue de ces procès. Il n'y a que chez les juges pour enfant, aux affaires familiales ou des tutelles qu'on ne reécrit jamais ou quasi jamais rien ; ces juges là lisent le passé et écrivent le présent comme le futur avec une précision telle qu'il n'y a jamais rien à reécrire... ceux là voient si clair, avec les travailleurs sociaux et les psys, que je ne comprend toujours pas pourquoi nous ne leurs confions pas Renseignement, anti-terrorisme et chasse aux radicalisés.
Aujourd'hui, une histoire de castings, de tournages et de scènes d'une web série fait beaucoup de bruit. Je pense qu'on peut raisonnablement affirmer que tout le monde s'exprime à ces sujets, parfois imprudemment. Il y a eu divulgations, communications, contestations, décisions prises et annonces de dépôts de plaintes. Nous lisons et voyons défiler absolument de tout, jusque sur les réseaux sociaux. Dans cette « affaire Morandini », d'ici quelques années, la justice aura établi des faits et responsabilités. Vais-je être un jour aussi accusé, mis en demeure, dénoncé aux Google et DMCA teams, voire même assigné pour avoir tweeté ou publié parfois, comme tout le monde, avec le hashtag #Morandini ?
Il faut que j'y réfléchisse. Et que j'envisage très sérieusement de supprimer presque l'intégralité de mon blog, notes et bavardages, la quasi intégralité de mes tweets, et 90% de mon Facebook, ou pour simplifier la tâche, que je songe à supprimer le tout. Que j'envisage également de faire supprimer quantité de mes lignes dans des forums ou dans des commentaires d'articles de journaux, sur des périodes même très antérieures à l'ère des réseaux sociaux.
Voir ou revoir Nikita ?
Ceux de mes lecteurs qui ne sauraient pas ce qu'est un nettoyeur pourraient commencer par regarder Nikita, le film de Luc Besson, de 1990. Ames sensibles, s'abstenir, sinon... Lorsque Jean Nero intervient dans ce rôle, du nettoyeur, à la première bouteille d'acide, ça s'agite. Mais Nikita est une fiction, et Internet comme #ereputation c'est juste virtuel.
Il m'est parvenu une référence, de la forme : « TRIPET Amélie / KANT Bruno - Aff. : Kant - Le Parisien Réf. : .../ ... ». Par ce même email du Service de la Déontologie de l'Ordre des avocats de Paris, on m'informait que le Bâtonnier « a demandé qu'il soit procédé à l'examen de la réclamation ». J'avais bien twitté et même écrit au Bâtonnier, la semaine passée.
On pourrait souvent être tenté de s'engager sur ces voies. Quand je m'y aventure, j'y ai généralement un peu réfléchi.
Je vous avertis... De vous tenir toujours en défense [contre le démon]
tremblez même dans la victoire ;
c'est alors qu'il fait ses plus grands efforts,
et qu'il remue ses machines les plus redoutables. • Bossuet
C'est tellement affreux de voir le destin en face. • Henrik Ibsen
Juillet va sur sa fin
« Donnons licence au juste et à l'injuste de faire ce qu'ils veulent ; suivons-les et regardons où, l'un et l'autre, les mène le désir. Nous prendrons le juste en flagrant délit de poursuivre le même but que l'injuste, poussé par le besoin de l'emporter sur les autres : c'est ce que recherche toute nature comme un bien, mais que, par loi et par force, on ramène au respect de l'égalité. » • Platon, voir parmi mes diverses références, avec Juliette ou Sade...
Je citais Bossuet en octobre 2008, j'allais ensuite finir d'échanger avec un juge poussé de son siège. Ibsen, c'était encore autre part, dans mon foutoir en ligne ou ce blog de plus de 10 ans. Une de ses petites phrases avait bien une place à ce mois ci également. Celle que j'ai retenue, sur le destin, est « terrible », m'a-t-on fait savoir, et je ne le savais déjà que très bien. Ce 11 courant, une Parisienne qui pourrait être avocate experte en #ereputation technologies, littérature, arts et autres m'informait aussi qu'une donnée particulière et précise devait absolument disparaitre de Internet. Cette donnée finira bien par s'évaporer, bientôt, à moins qu'elle ne se soit à nouveau incrustée dans une histoire un peu singulière ?
Quelque chose s'est tramé, depuis ce 11, alors que sur Internet, il y avait eu des changements, puis qu'il allait en suivre encore quelques uns. Tout d'une information devait disparaitre, certainement dans la plus grande discrétion et vite ? J'ai le très net sentiment qu'il n'était pas du tout prévu qu'on puisse en débattre sereinement. Raté ; nous allons maintenant discuter bientôt de tout autre chose encore, autour de cette même donnée, toujours présente ici et là, sur Internet.
« Puisque vous insistez... » Oui, j'avais insisté, vers ce 12 et ce 13, puis encore ce 16 et vers le 19, par là. Dans la mise en demeure qui m'était parvenue, il était pourtant bien écrit que j'avais quelques huit jours devant moi, et je croyais même que, comme de coutume, dans pareilles situations, nous allions pouvoir échanger quelques mots. Mais non, ça n'a pas été possible, ce que j'avais d'ailleurs bien anticipé, dès ce 16 : « je tirerais des conclusions d’un silence de votre part. » Depuis ce 11, chacun plaçait ses marques ou envois, traçait ses voies, et j'observais. Et voilà le résultat #facepalm
Si Mme X revenait maintenant prochainement vers moi, je ne l'exclue pas, ma réponse sera alors courte et évidente. Je la renverrais bien sûr très cordialement vers qui était son conseil, ces temps ci, ainsi qu'au survol d'un vieux billet du blog de Batman : « L'hypothèse est simple : l'avocat a commis une faute et a causé un préjudice à son client. Il a... » Eolas y ajoutait aussi : « La question qui se pose alors est : que va-t-il advenir du client ? La réponse est simple : chaque ordre des avocats contracte une assurance. » Je ne sais pas si tout y est toujours d'actualité et exhaustif, je n'ai fait que survoler son billet sans aller voir et approfondir ailleurs. Et puis je me doute que Mme X a déjà songé à aller se faire mieux conseiller, elle s'est d'ailleurs peut être déjà précipitée autre part, y exposant ce qui se passait, ces ultimes difficultés...
Dans mon blog, je suis délibérément prolixe, c'est depuis toujours un espace truffé de digressions, mais aussi de pans entiers d’omissions et approximations. Pour des envois, plus c'est simplifié, exhaustif, bref et concis, davantage ça pique. Ma récente « réclamation » auprès du Bâtonnier n'était pas très courte. Il lui parvenait un exposé sur deux pages que je voulais assez clair mais qui chutait sur une bonne petite phrase. Ces jours passés, vu ce qui se tramait et les risques, vu ce que j'ai écrit et publié aussi, qui pourrait me revenir à la tronche comme un râteau que j'aurais moi-même laissé trainer, j'ai bien sûr lâché parfois ma butineuse favorite, un Huisser de justice. J'ai fait réaliser deux constats aux normes ; ainsi, je dispose d'un état antérieur et postérieur à quelque chose, et je vais pouvoir écrire à nouveau au Bâtonnier de Paris. Autour de 10 lignes, je pourrais lui décrire un peu mieux ce qui semble s'être passé, quelque chose d'autre que d'insignifiantes histoires de « copyrights », autre chose aussi que cris et enfantillages autour de « données perso dans un blog ».
Ca peut tenir en moins de 10 lignes ? « Le producteur d'Astérix énerve la justice suisse », c'est encore consultable par tout le monde, sur Internet. Deux articles, d'abord du Parisien, ainsi que des archives du Huffington Post (mais de source le Parisien), semblent être toujours normalement référencés sur Google. Le reste de ces informations ou « données personnelles » s'est évaporé, était parfois ou est à présent sans grand intérêt, sinon, est depuis toujours vraiment bidon... Mais cet état du moment reste tout de même assez conforme à ce que je pouvais souhaiter aux alentours du 11, puis plus fermement encore, dès ce 13 puis ce 16 courant : tout n'a pas disparu. Et nous en rediscuterons ?
En tous cas, on s'aperçoit ainsi qu'il n'y a jamais eu de réels problèmes de type « copyright », mais qu'une purge aux ciseaux, une opération de « neutralisation » et de « nettoyage d'e-réputation » semblait être en cours, visant probablement à faire bientôt disparaitre de Internet toutes ces « données personnelles » de Mme X. Et ça a donc échoué.
https://t.co/DxtGlNm6iA @MagDecideurs C'est à vous, ce mag et classement? #presse #avocats pic.twitter.com/C9YnuQOFxq
— Bruno Kant (@bkant) 27 juillet 2016
C'est le bordel dans la presse et les infos du moment
J'ai déjà deux constats #ereputation réalisés par un Huissier de justice, ma butineuse favorite, qui me fait parvenir des documents aux normes. Plus je fouille le sujet, et plus je constate qu'il est devenu bordélique alors que des informations se sont évaporées, dont de journaux... J'envisage maintenant de plus en plus sérieusement de saisir un juge d'instruction, à faire travailler de façon décente, à charge comme à décharge, pour y voir un jour un tout petit peu plus clair encore.
En attentant que certains reviennent de vacances, ainsi que passent les vacances judiciaires, je réfléchis aussi à faire réaliser vite un troisième constat d'Huissier. Car tout fluctue, sur le net, au gré de changements de données et des indexations par les moteurs de recherche, également au gré de pannes, de lenteurs, ou des aléas de tous ces systèmes, machines et réseaux... Ca m'énerve tout ce bordel, ça en ajoute, ça me fâchait déjà, ce que je tweetais il y peu.
A propos d'instruction, ce jour et suite à un échange par DM, sur Twitter, j'ai trouvé un courrier de la Poste, du 26 juillet. C'est aussi convivial, Twitter. En général, la Poste fonctionne très bien ; mais parfois, des choses bizarres se produisent... Suite à une récente « demande » de ma part, une demande très précise, elle cherche. Quelque chose semble s'être passé par là, que je ne comprend pas vraiment non plus ; quelque chose m'a échappé ? Mais je fais confiance, d'ici 5 jours, il devrait m'être adressé un mail ou un courrier qui répondra parfaitement à mon « attente » et mes interrogations. J'attends, tranquillement, avec des cibles bien précises qui n'ont jamais été à la Poste, des services qui fonctionnent plutôt bien. Taper sur des lampistes ? Non, pas du tout, et qui a bien suivi depuis le début dira que ça n'a jamais été mon style.
Et pour plus en rire, en attendant la suite, juste le bordel : un article du Figaro de janvier 2009, qui annonçait un acquittement via AFP et ATS, ainsi que un article publié ce 20 juillet 2016, qui annonçait qu'allait suivre le procès...
Enfin, pour respirer, à ceux pour qui ça coinçait et qui souhaitaient faire évoluer leurs PC de Windows 7 à 8.x vers Windows 10, à condition de s'y être pris avant ce 29 juillet... Avec tout ce bordel, je n'avais moi-même pas pris le temps ! Il suffirait d'avoir entamé la procédure pour pouvoir bénéficier de l'évolution ou de l'upgrade gratuit (Windows 10 Famille : 135 euros, Windows 10 Pro : 279 euros TTC, tout de même). Après avoir vérifié le BIOS et ses paramètres, après avoir tout déconnecté qui ne sert à rien (lecteur DVD, y compris sur SATA, dongle Wifi, RF, tout sur USB, etc), après avoir vérifié le disque et l'espace disque libre, cliquer sur Ok ; ensuite, arracher même la souris et le clavier, puis laisser faire.
https://t.co/fqs850Ya94 #avocats @BasileAder @CNIL Pour le moment, ça allait. C'est maintenant que je vais commencer à me fâcher.
— Bruno Kant (@bkant) 23 juillet 2016
« Everybody Has A Plan Until They Get Punched ... »
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Un propos virulent c'est le propre d'un billet d'humeur.
C'est la liberté du droit de critique". » • La Dépêche, avril 2009
A suivre, en septembre
NDLR : Copié/collé d'un de mes vieux billets... « Je demeure convaincu qu’un journaliste n’est pas un enfant de chœur et que son rôle ne consiste pas à précéder les processions, la main plongée dans une corbeille de pétales de roses. Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie. » • De source Wikipedia, Albert Londres, Terre d’ébène (La Traite des Noirs), récit, Paris, Albin Michel, 1929
Je le savais bien, et l'on vient de me le confirmer. Quasi tout le monde est parti. Restent des stagiaires qui s'occupent des journaux et quelques robes noires pour des urgences, pour nos stars, pour les terroristes et le stock estival...
J'ai donc répondu à une mise en demeure #ereputation #DroitOubli qui m'est parvenue ce 11 juillet. On m'intimait alors de supprimer quelques signes dans mon blog, des « données personnelles », une information, puis de les faire déréférencer auprès de Google. Il pouvait ne s'agir que de bluff, de vent, d'une tentative d'intimidation, mais je l'ai prise très au sérieux, j'y ai répondu, mais sans changer grand chose, ici. J'attends, une éventuelle réaction en retour, des commentaires, des compléments, ce qui me permettrait alors de poursuivre des réflexions... Puis après avoir répondu à Me TRIPET, j'ai donc également écrit deux fois au Bâtonnier de Paris. Suite à ma première correspondance au Bâtonnier, il me parvenait déjà une référence de la forme « TRIPET Amélie / KANT Bruno - Aff. : Kant - Le Parisien », ce journal.
On vient de me renseigner sur ce qui va suivre. Peut être pas grand chose ; ping, pong, ping, fin du jeu, déjà ? D'ici quelques temps, en réponse à mes envois au Bâtonnier, Me TRIPET aura communiqué des observations à l'Ordre des avocats, au Service de la Déontologie. Puis ce service prendra une décision ; très probablement en septembre, donc.
Mes « difficultés personnelles » sont insignifiantes, sans intérêts, presque ; mais je rassure mes lecteurs, celles-ci se sont déjà résorbées. Si j'étais syndicaliste, avocat, en partance pour la Syrie, fonctionnaire, journaliste ou conseiller municipal, il aurait bien sûr rapidement suivi un gros bordel partout, peut-être même une pétition, sinon pire, des lancers de tongs ? N'étant qu'un individu comme un autre, voire n'appartenant comme toujours qu'à l'Unterschicht ou à des strates n’émettant jamais que des grommellements insensés, ce qui s'est produit n'a pas intéressé grand monde. Et pourtant...
De la DUDH, sur un.org, Article 19. « Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit. »
Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789, sur legifrance.gouv.fr... Article 11. « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi. »
Voir également sur eur-lex.europa.eu... le nouveau RÈGLEMENT (UE) 2016/679 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 27 avril 2016 (« données personnelles », considérant 153, puis article 85, alinéa 1, ou encore la Charte, article 11, ainsi que la Convention, son article 10 ; voir aussi article 17 - Interdiction de l'abus de droit). La Charte, l'article 11, peut être lu sur eur-lex.europa.eu ainsi que via coe.int
Evidemment, j'ai un peu tweeté et publié, raillé et rigolé, comme toujours, j'ai même été parfois un peu fâché. Quelqu'un s'est approché de mon blog avec de gros ciseaux... et suite à DMCA TakeDown, une information d'ici ne porte plus ! Ce qui était en premier très instructif. Ca m'a permis d'étudier de l'intérieur ces outils et méthodes de nettoyeurs de réputation, ça m'a permis de jouer même avec. J'ai peut-être abusé, au mois de juillet ? Si tel est le cas, on me l'apprendra bientôt. Car tout ce qui s'est produit et tramé a laissé des marques, des traces, ainsi que deux constats d'Huissier de justice...
Mais que nous racontent également ces textes qui nous arrivent de si loin et qui tomberont encore pour un moment de tout là haut ? Que nous dévoilent la référence retenue par l'Ordre des avocats ainsi que ce que je communiquais moi-même au Bâtonnier de Paris ? Qu'il y a un éventuel et sérieux problème, avec le journal le Parisien, ou plutôt, avec l'une de leurs avocats ? Pour moi, les textes comme les faits de ce mois de juillet 2016 sont assez limpides. « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme ». Les textes nous parlent d'un droit qui implique « celui de chercher, de recevoir [...], sans considérations de frontières, les informations ». La Charte des droits fondamentaux des Européens insiste également : « Ce droit comprend la liberté [...] de recevoir [...] des informations ».
Quel est le problème avec le journal le Parisien, que peut-on en penser ? Depuis peu, j'ai ce nouvel objet d'étude que m'ont fabriqué Maitre TRIPET et des teams de censeurs. Et j'observe, je réagis, je constate, je fais même constater et archiver... Nos journaux et nos talents à plumes, tout le monde ou presque savent ce que ça vaut. Mais là, c'est une fois encore tout à fait spécial. J'attends de découvrir comment et quand va évoluer enfin l'article « Le producteur d'Astérix énerve la justice suisse » ou ces résultats de recherche Google. Plus jamais ? Cet ancien article du Parisien contient encore une information qui devait absolument disparaitre de Internet, Maitre TRIPET était très ferme, début juillet. Comment Maitre TRIPET ou le cabinet Ader et Jolibois vont-ils faire pour convaincre ou contraindre le Parisien, qui devra bien rapidement changer ou supprimer son propre article, car il contient lui également des « données personnelles » de Mme X ?
Cette situation m'intrigue et m’embarrasse. Va-t-elle évoluer vite, et en septembre seulement ? Car nos journaux comptent depuis toujours parmi mes références, quoi qu'ils contiennent ou aient contenu. Et car ce qui s'est tramé, ce mois de juillet, porte également atteinte à ce droit fondamental de recevoir des informations. En juillet, un phénomène bizarre est venu polluer l'une de mes sources, le journal le Parisien, qui pourrait être lui-même confronté depuis à des difficultés d'ordre déontologique décrites sur le site du Conseil National des Barreaux, dans un article de 2008... Du CNB et sur le thème « Droits et obligations de l'avocat », les deux points immédiatement à la suite de ce qui constituerait un « fondement » :
« Le serment constitue le fondement de la déontologie et rappelle les principes essentiels de la profession.
• Le principe d’indépendance garantit au citoyen ou à l’entreprise que les conseils qui leur sont donnés ne seront jamais guidés par un intérêt personnel ou une pression extérieure.
• Le principe de loyauté fait que l’avocat ne peut conseiller ou défendre deux parties dont les intérêts sont susceptibles de s’opposer (règle du conflit d’intérêts). »
"Supprimez moi ça!", m'a lancé l'avocate. Et puis quoi encore? Je dois attendre sa réaction, maintenant. #avocats pic.twitter.com/TV558obZvV
— Bruno Kant (@bkant) 16 juillet 2016
« Impressions, 7509... à 4% »
Qui ça va intéresser ? Pas idée. C'est amusant, Twitter, ça peut être très pratique aussi, pour « divulguer » des informations. C'est comme distribuer des tracts dans la rue. Parfois, ça intéresse et c'est lu. Comme dans la rue, ou presque. En ce moment, il fait chaud, et je suis mieux au frais que planté longtemps dehors
Quelques premières informations sur la « sponsorisation » d'un tweet
#NOP
Je crois que je viens de tweeter un truc qui, une fois encore, ne rime à rien pour la plupart... sur fond d'une ultime info secouant jusqu'à 100 millions d’automobilistes susceptibles de retrouver leurs véhicules grand ouverts. Olivier Laurelli ou @bluetouff, l'illustre, a réagit : « le replay est une effraction depuis plus de 50 ans en radio ;) »
#include "TimerOne.h" // https://github.com/PaulStoffregen/TimerOne/releases // March 26 2015 (main, stable) #include "SerialCommand.h" /* Adapted from Steven Cogswell library, * see https://github.com/scogswell/ArduinoSerialCommand * Branched from main, 2013 */ #include#include uint8_t boot_mcusr; /* Todo, major: * Seems PSTR has a bug, see dump... * * * Todo: * Review functions order inside code * Check and optimize some function? * Better work in SerialCommand * RF part seems almost correct, create a library, first split screen outputs and internals * Think about classes instead of structs and globals? * Free up more storage space (review texts, add more debug defines?), use println * Add a HW reset for esp8266+arduino (pin plus diodes to resets) * Add w -u option to update code descriptions? -m to move them? -d to delete? * Add c -n command for IP/netmask/GW/syslog settings? * Add k(ill) command for reset? */ #define DEBUG_OLS_RF // LOCK and CLOCK pins, for logic analyzer //#define DEBUG_EEPROM_RESETONBOOT // Wipes a CRC8, should reset content // Millis roll over counter boolean millisHigh = false; byte millisRollOvers = 0; // 35 years... // Pins usages #define RX 3 // RF receiver
La suite de ces quelques lignes Maclean/#MCE07 pour un très banal #Arduino... par ici
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Nigloland : le patron du parc d’attractions rivalise avec les plus grands
« Nigloland rivalise avec les plus grands parcs de loisirs français et n’a pas à rougir de ses attractions face à Disneyland Paris ou au Parc Astérix », c'est à lire sur le Figaro... Leur patron rivalise également avec des experts en médias.
Cet été, constatant qu'un article sur une « folle rumeur » était soudainement référencé par Google, Philippe Gélis, le patron du parc, s'est introduit dans les locaux de « L’Est éclair ». Accompagné de deux gros bras, il y aurait violemment agressé un journaliste. Objectif atteint, ou presque. Alors que le patron de Nigloland exigeait la « suppression » ou le déréférencement d'un article sur la rumeur, il s'y est substitué de nombreuses nouvelles références d'articles qui nous rapportent l'intrusion et ses suites ! Google est comme nettoyé, bravo à Philippe Gélis et à ses deux gros bras !
Philippe Gélis avait été vite placé en garde à vue, puis sous contrôle judiciaire. Il lui est interdit de s'approcher des bureaux ou de journalistes de « L’Est éclair » d'ici à son procès, qui devrait suivre en janvier. Philippe Gélis pourrait encourir jusqu'à trois ans de prison pour cette opération #ereputation de toilettage musclé et sauvage du net...
Moi, j'attends donc tranquillement septembre et d'éventuelles suites ou un retour, après avoir été également agressé cet été. Par une avocate Parisienne, un talent, par une Google team et une DMCA TakeDown team, des experts en coups de ciseaux. Car par le passé, j'avais publié un billet et quelques coupons de presse... Il me semble que cette autre opération de censure d'informations a échouée aussi. Aucun journal ne nous en a rapporté quoi que ce soit, peut être par frilosité, encore, ou plus probablement par indifférence. Mais par contre et vu d'ici, Google a bien évolué également : de nouvelles références d'articles et des informations se sont substituées à d'anciennes qui devaient toutes disparaitre.
#Nigloland Mécontent d'un
article, le patron d'un parc
d'attractions se rend à
"L'Est-Eclair" pour
y agresser un journaliste
Publié le 18/08/16 à 16:44, l'Obs
https://t.co/yRYmTLY9OB pic.twitter.com/jKx3oeNxnR
— l'est-éclair (@lesteclair) 17 août 2016
Le directeur du parc d'attractions Nigloland, situé à 50 km de Troyes, comparaîtra en janvier au tribunal pour avoir agressé mardi le rédacteur en chef de "L'Est-Éclair". Lundi, le quotidien publiait un article titré "Folle rumeur à Nigloland", y évoquant - pour les démentir - des rumeurs d'attentat sur le parc. Son directeur a téléphoné mardi à la rédaction pour lui demander de retirer l'article du référencement de Google, ce qui n'est pas techniquement possible pour un média.
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« Oups ! Une erreur », nous lâche maintenant le Parisien
Je n'ai pour le moment aucune nouvelle de personne après ce qui s'est tramé au cours de cet été ; il m'avait semblé qu'il y en aurait en septembre, qui s'est écoulé. Rien n'a suivi. Le mois d'octobre fini de s'écouler, lui aussi... Une Parisienne s'était manifestée début juillet, intimidante et déterminée, car mon blog « divulguait » alors des informations précises, les mêmes genres d'informations qui étaient pourtant « divulguées » depuis toujours par d'autres sites, dont des sites Internet de journaux Français et Belges. Ensuite, et autour de juillet dernier, le contenu de Internet ou celui proposé à la consultation par Google avait un peu évolué... voir ou revoir mes derniers billets de blog, la plupart à ces sujets précis.
Depuis peu, ce qui peut être consulté, sur Internet, a encore un peu changé. Pour la recherche via Google avec les mots clefs « Maria Antonietta Bertolini », il apparait toujours quelques liens et des informations en rapport avec mon ancien billet, dont des liens vers le site du journal le Parisien et vers celui du Huffington Post. Mais depuis quelques jours, en cliquant sur le lien Google vers le site du Parisien, ce journal nous lâche « 404, La page que vous demandez n'existe plus. » Que s'est-il passé, là bas, avec ce journal et même avec ses avocats ? Je n'en ai pas la moindre idée.
S'il s'agissait bien d'une opération #ereputation de nettoyage du web, ça me semble avoir été assez mal fait ; j'avais déjà ce même sentiment, cet été, que quelque chose était très mal fait. Mal fait, avec le renfort d'une avocate du cabinet Ader et Jolibois, avec le concours d'une #DMCA Take Down team, ainsi que avec le concours d'une Google team. Aujourd'hui, plus de trois mois après la mise en demeure qui me parvenait, le net est toujours truffé d'informations qui étaient probablement supposées disparaitre discrètement, et vite, comme suite à des envois, suite à coup de sifflet, ou comme suite à quelques jappements au téléphone. Mais je peux me tromper ; personne ne m'a répondu à ces sujets non plus.
J'en profite pour noter que autour de Jean-Marc Morandini, ça chauffe. A iTELE, en pleine crise, une grève est reconduite à 81% des voix. Sur Europe 1 et NRJ12, tout semble plus calme ; Morandini serait suspendu à ces antennes. Des histoires de production, de casting et de cul, dont avec un mineur, nous a-t-on expliqué ; dénouement à suivre.
« Le producteur d'Astérix énerve la justice suisse » ou, aujourd'hui, « Oups ! Une erreur ... »
Silence
Silence, @pmtokyo comme d'habitude. @Online_Vinc mais je m'en fous, je m'occupe. #arduino pic.twitter.com/roHjevwj5b
— Bruno Kant (@bkant) 30 octobre 2016
Un monde enfin meilleur, avec LR presse et sa modération ?
Après les rumeurs mettant en cause Morandini, d'ultimes bruits courent dans la sphère des médias, des peoples et de la production, dont sur Youtube. Benjamin Lemaire, le « community manager des stars », a été à son tour mis en examen pour « corruption de mineur ». Pour qui n'a pas tout suivi, voir sur les InRocks, pour un condensé. Et comme cela arrive parfois, personne n'en disait rien mais tout le monde savait pour ce qui concerne Benjamin Lemaire ? Voir également l'enquête de Buzzfeed, pour plus fouillé. Les noms sont lâchés ; il semblerait que Morandini et Lemaire ne se soient même pas trop souciés de cacher leur identité lorsqu'ils se sont adressés à leurs interlocuteurs, des mineurs. Beaucoup plus tard, la justice nous aura révélé si ces faits aujourd'hui reprochés à Morandini et à Lemaire étaient avérés ou non.
Chez LR presse, « Magazines et livres pour passionnés du train, du bonsaï et de l'aquariophilie », il semblerait qu'on nous propose une solution miracle - mais parfaitement contradictoire - pour nous épargner toutes ces sortes de scandales, rumeurs ou désagréments : un abandon de l'anonymat, un renoncement à des pans relevant de la vie privée. En effet, à lire leurs équipes de modération, ce ne serait qu'en dévoilant beaucoup de soi qu'on peut avoir accès à leurs forums de discussion ? Morandi et Lemaire, qui n'ont certainement rien à cacher, ils vont nous le jurer, y seraient probablement vite accueillis, pour y discuter de poissons, de tunnels, de tripotage et de rempotage de petits arbustes... mais à une condition, simple : qu'ils y livrent d'abord nom, prénom, adresse personnelle détaillée, ainsi que leur numéro de téléphone.
Depuis tout ce temps, bien plus de 20 ans, j'ai des comptes et laissé des traces un peu partout, sur Internet, avant, sur BBS et autres. Très souvent, sous pseudonyme, pour plus de libertés et car j'aime bien cliver, aujourd'hui d'ici ou de Twitter, entre autres. Jamais je n'ai eu à divulguer grand chose de très personnel ou privé lors de la création d'un compte sur un « réseau social ». Pour Pinterest, il y a peu, juste un compte mail (et automatiquement, mon IP) aura suffit. « Bonjour et bienvenue », en toute simplicité, sans plus de questions. Quand je vais par exemple discuter de la Fedora ou de moto, il est à mon sens parfaitement inutile que j'y ait préalablement lâché trop de données personnelles et confidentielles ou que des données puisse renvoyer facilement sinon directement à d'autres de mes publications, ailleurs, sur Internet encore. Quand je tweete ou lorsque je publie sur Facebook, c'est sous mon identité réelle, très volontiers ; mais ces services en ligne ne disposent en théorie pas de mon adresse personnelle tandis que j'y publie des informations toujours choisies, réfléchies, comme partout. Quand j'envoie quoi que ce soit sur Internet, j'ai cependant bien conscience que je pourrais toujours être parfaitement identifié par une très simple requête auprès de mon fournisseur d'accès Internet, où j'ai une IP fixe, depuis longtemps. Pour mon blog, quelque part à Paris, en France, il existe depuis toujours des mentions légales... sans que je cache pour autant, ici, mon identité. J'utilise des alias et lorsque je reçois du spam dans mon mail, je constate bien parfois que telle ou telle boutique sur le net s'est fait pirater ou a cédé sa base de données.
Chez LR presse et pour discuter rien que de petits trains et de technique, un mail perso et une IP fixe, ça ne suffira pas. Même si j'y ai finalement également très suffisamment confirmé mon identité réelle : « vous êtes libre de vouloir rester anonyme mais nous sommes libres de ne pas valider votre inscription », m'a-t-on ensuite répondu ! J'y avais pourtant insisté, dont avec nom et prénom, à partir de bkant@cloppy.net, puis en communiquant aussi des coordonnés détaillées d'un tiers, mon avocat, pour son adresse et son numéro de téléphone. Mais après mes mails, qui finissaient ensuite également critiques envers leur politique de filtrage à l'inscription, tout en m'interdisant manifestement d'évoquer ces échanges ici ou là, leur modération a fini par m'envoyer : « vu la teneur de votre dernier courriel, nous vous indiquons que nous refusons votre inscription au forum et supprimons donc votre compte. » De ma dernière réponse, ensuite, à cette team, à qui j'ai bien évidemment fait part de l'existence de ce billet de blog : « Ainsi, certains pourront comprendre pourquoi je ne parle pas davantage de ce décodeur, et que maintenant, je me serais un peu étendu sur tout autre chose. » J'aurais pu expliquer déjà en bien moins de lignes et de temps pourquoi et comment j'utilise tous ces switch, des servo et un TLP280-4, ou ce que je compte faire d'un ACS712, si c'est vraiment utile ; ainsi que la base du DCC avec Arduino quelconque sans même un booster ni une « vrai » centrale DCC chez soi ; ou encore, discuter avec d'autres intéressés de safe DCC pour peanuts ; bah, quelle importance ou intérêt.
Pour discuter de petits trains et de bricolages avec d'autres, entre passionnés, LR presse, sa modération, exige donc bien et définitivement d'abord nom, prénom, adresse postale précise ainsi que numéro de téléphone. Comme si cela pouvait garantir quoi que ce soit, contre des spammers ou des kiddies, ou pour les mineurs, sinon pour tout le reste.
L’ONU demande le droit à une connexion anonyme sur internet • "L'interdiction de l'anonymat en ligne interfère avec le droit à la liberté d'expression", condamne David Kaye, qui remarque que "beaucoup d'États l'interdisent indépendamment de tout intérêt spécifique pour le gouvernement". • de source www.numerama.com
Le travail de ces chercheurs en économie et sociologie démontre aussi que l'interdiction de l'anonymat sur ce type de plateformes sociales est vaine. "Nos résultats ne corroborent pas cette thèse pour faire de l'internet un monde meilleur (...) interdire l'anonymat ne résoudra pas ce 'problème' des tempêtes [d'insultes, ndlr]", confie la sociologue Lea Stahel au site spécialisé Quartz. • www.rtl.fr/culture/futur
Le député Éric Ciotti veut des vérifications d’identité sur les réseaux sociaux • NextInpact
Je n'envisageais pas de communiquer toutes ces données personnelles, téléphone, etc, à LR presse ou leur équipe de modération. Cela me paraissait tout à fait disproportionné vu la finalité du traitement, juste une inscription sur un très banal forum de discussion, modéré, dont le thème est le modélisme ferroviaire, même pas l'actualité ou le terrorisme. Et tant pis - voire tant mieux - si je n'aurais de ce fait jamais accès à leur phpBB, à commencer pour sa rubrique Arduino et DCC. Depuis le temps que ça durait, je n'avais de toute façon presque plus de questions à poser ou de sujets très intéressants à soumettre, là bas ? Je ne pourrais pas y discuter non plus de ce que je viens de développer, de la mécanique, un peu d'électronique et quelques lignes de code pour faire remuer rien que des aiguillages de chez Peco, ou à peine plus.
« phpBB © 2000, 2002, 2005, 2007.. », toute une histoire de failles de sécurités ainsi que de passoires pour spammers ; c'est évoqué dans l'email de confirmation d'inscription : « vise[rait] seulement à filtrer les inscriptions frauduleuses et autres SPAM » ; je suppose que pour y palier enfin, stabiliser leur phpBB et leur base, ces modérateurs n'ont plus trouvé d'autre moyens que celui de filtrer ainsi, drastiquement, à l'inscription, en portant atteinte à la vie privée et à des libertés de ceux qui s'y soumettent - liberté d'expression, droit à l'anonymat en ligne. « LR presse, un espace où n’échangent que d’honnêtes gens, dociles, aux documents d'inscription conformes », pourrait rétorquer la modération
De surcroit, lorsque j'écrivais à « forums@lrpresse.fr », la modération, « garage2 » me répondait. Communiquer d'avantage de données personnelles, dont de confidentielles, alors que je ne sais même pas qui pourrait encore un jour les consulter ou les exploiter m'aurait également beaucoup gêné... A priori, pour mes mails récents, je figure maintenant plus ou moins durablement sous mon identité réelle à un fichier des « spammers ou fraudeurs, bannis », chez LR presse.
A l'occasion, je vais téléphoner à LR presse, l'éditeur de Voie Libre et de Loco revue, pour en discuter de vive voix avec ses services. Ce sera peut-être moins compliqué que par mail ? Mais je me demande cependant si après ce clash par mail avec leurs modérateurs, j'aurais encore l'envie de publier quoi que ce soit, là bas, dans leur forum.
Des revues de petits trains, dont une de 1993 et un Voie Libre de 2013,
ainsi qu'un décodeur DCC sur base Arduino et nmraDCC, voir sur http://mrrwa.org/...
Visiter également github.com/DccPlusPlus/BaseStation
Un 20 novembre, en plein procès « des parents » de Fiona
Je m'occupe, de diverses manières. Par hasard, en cliquant rien que sur « J'ai de la chance » et en m'intéressant ensuite plus aux résultats Google et Doodle du moment, je me suis aperçu que nous sommes le 20 novembre, journée internationale des droits de l'enfant. Par le passé, ici, le sujet était très souvent ces sujets, ces droits, des droits, dont de la famille, ainsi que l'assistance éducative. Puis je m'apercevais que cette journée du 20 novembre était surtout une opportunité pour des personnalités et des ministères, pour des institutions, pour des ONG et des travailleurs sociaux.
Je n'ai pas vérifié. Ces jours-ci, quelques uns ont forcément organisé des sorties, rassemblements, baroufs ou réunions pour propager leur paroles et promouvoir leurs services. Comme autour du 20 mai, journée des enfant « qu'on les trouve... ou on les retrouve pas »... Fiona, « introuvable depuis mai 2013 », forcément, ça ne laisse pas indifférent ; on le constate bien via la presse ou ces médias d'antan, du temps de l'ORTF ou par là, comme via les réseaux sociaux.
Je m'occupe, tout en lisant encore beaucoup de choses. Dans ce billet, j'ajoute encore des liens, comme depuis toujours, dans mon blog. Cet été, une mise en demeure par une Parisienne m'avait fait voir et revoir de la jurisprudence, dont sur les liens ; notamment le rapport Talabardon, puis ce que rendait ensuite la cour de cassation. Ce 2 novembre, la chambre criminelle de la Cour de cassation nous apportait un nouvel éclairage, encore quelques précisions à ces sujets : « en statuant ainsi, alors que le texte incriminé avait été rendu à nouveau accessible par son auteur au moyen d’un lien hypertexte, y renvoyant directement, inséré dans un contexte éditorial nouveau, la cour d’appel a méconnu le texte susvisé et le principe ci-dessus énoncé ; D’où il suit que la cassation est encourue ; ».
C'est bien avec une assez bonne connaissance de tous ces concepts, des textes et de la jurisprudence ou leur interprétation, que je m'exprime ici et là, dans mon blog comme ailleurs. Et beaucoup sur Twitter, où je ne me suis pas gêné, ces jours-ci, tout y en employant également délibérément le hashtag #Fiona... Au printemps dernier, on m'avait très fortement reproché un court tweet ou deux envoyés peu avant l'ouverture d'un procès aux assises ; on m'avait alors fait remarquer que tout le tribunal, y compris les jurés, aurait pu les lire. D'après mes statistiques Twitter, depuis peu, je suis à nouveau beaucoup lu alors que j'y envoie toutes sortes de piques et railleries autour des thèmes assises, preuve, aveux, avocats et médiums, protection de l'enfance, déontologie et stupéfiants, j'en passe.
Publier, et l'on peut être poursuivi, tout le monde devrait le savoir, de nos jours. Publier ou re-publier un lien vers des informations anciennes, et le délais de prescription est donc maintenant d'office renouvelé. Ca m'arrange, comme ça semble bien arranger des toiletteurs, des nettoyeurs de réputations ; mais dans un sens assez différent : de nouvelles publications peuvent ainsi effectivement redonner une nouvelle force et vigueur à des publications pourtant déjà très anciennes. Le Sénat semble avoir eu l'intention de m'arranger encore plus que vient de le refaire la cour de cassation, il souhaiterait manifestement créer un crime de presse continu, une sorte d'infraction qui va perdurer aussi longtemps que des informations supposées délictuelles resteront accessibles au public, lisibles, sur Internet :
Enregistré à la Présidence du Sénat le 14 septembre 2016
Projet de loi N° 828, relatif à l'égalité et à la citoyenneté
7° bis (nouveau) Le premier alinéa de l'article 65 est complété par une phrase ainsi rédigée :
« Lorsque les infractions ont été commises par l'intermédiaire d'un service de communication au public en ligne, sauf en cas de reproduction du contenu d'une publication diffusée sur support papier, l'action publique et l'action civile se prescrivent par trois mois révolus, à compter de la date à laquelle cesse la mise à disposition du public du message susceptible de déclencher l'une de ces actions. » ;
Vraiment, ça m'arrange. Plus tard, lorsque je republierais un article tel que sur l'OSE France et la bêtise, sur les écritures et pratiques de Richard Josefsberg, ou encore, lorsque je taquinerais à nouveau quelques magistrats, dont Xavier Serrier, mes écrits auront encore une toute autre force. On trouve et retrouve de tout en suivant ces quelques liens, beaucoup d'informations utiles en matière d'assistance prétendue éducative. Même Nicolas Sarkozy et ses entourages d'alors comme d'aujourd'hui pourraient en avoir une résurgence de boutons. Ces principes du crime par l'écriture et pour l'éternité avaient été théorisés il y a longtemps déjà, par Sade, par Sartre... Pour des théories plus récentes, lire ou relire également Le net, c'est du chinois.
Fiona, j'y arrive. Comme d'habitude, dans ces affaires glauques, tout peut faire rire ou enrager, sinon peut consterner et amuser les plus cyniques. Il y a peu, on nous annonçait une grosse surprise, que Fiona allait enfin être retrouvée ! Peu après, une médium s’effondrait aux assises ; Eric Mouzin a pu en grincer ; le parquet nous a assuré qu'il allait étudier les suites à donner à ce spectacle (comme à son annonce, via tous nos médias, je suppose). Ont suivis l'instit et les ATSEM, ainsi que le toubib, un élu local, du front de gauche. Hormis un bandeau jaune « moche », L'instit n'avait rien remarqué d'anormal ou de très exceptionnel, « une famille suffisamment bonne », nous a-t-elle expliqué. Le toubib a pour sa part ouvert le parapluie du « secret professionnel » tout en nous assurant qu'il n'avait pas produit de « certificat médical », juste un « document administratif » ; un document depuis égaré ! Une ATSEM et une guichetière de cinéma ont pu voir quelque chose ; cela a ensuite été contredit, dont par des proches, des voisins, des amis, des drogués ou des sevrés. On évolue dans le brouillard, on psychote, avec peu de certitudes suite à l'instruction et avec des avocats des parties civiles qui attendent aujourd'hui manifestement que la mère et le beau père de Fiona crachent enfin un bon morceau, « une vérité » qui suffirait à leurs infliger 30 ans. Nous redonnons du crédit aux idées de Thierry Levy :
Fiona et l'assistance éducative, c'est concret. Au moins pour sa petite soeur et pour son frère, né depuis. Le père de Fiona, lui-même sevré, puis réinséré, a eu à batailler seulement quelques temps pour récupérer la garde de E., la soeur. Connaissant les pratiques très longtemps promues par la magistratüre, à Paris comme dans les Hauts de Seine et dans les Yvelines, ou encore en Alsace et en Lorraine, par des travailleurs sociaux, de l'épuration sociale sur fond d'une outrancière culture de présomption de culpabilité, de présomptions de défaillances comme de carences incurables, sinon génétiques, d'une culture aussi de « l'orientation » ou de la déscolarisation, d'une culture et même de l'apologie de sauvageries, du délaissement et de la privation de soins, je crois encore rêver. Olivier Echappé et Jean-Amédée Lathoud, ces hauts magistrats, pourraient nous en glisser deux mots, Lise ou Madame Geraud-Charvet très probablement aussi.
La semaine passée, nous avons appris que Fiona n'avait pas été maltraitée et délaissée durant des semaines ou des mois, que contrairement à ce qui nous avait été affirmé par voie de presse, ses « parents », Cécile Bourgeon et Berkane Maklouf, tout seuls au box des accusés, n'avait pas été si « monstrueux » que cela. Semaine à suivre, le tribunal va s'efforcer de compenser encore quelques lacunes de l'instruction, et tenter de déterminer enfin ce qui a pu arriver à Fiona, ainsi que où elle a pu disparaitre... Pour le reste de mes opinions à ces sujets, voir mes tweets récents, dont avec le hashtag #Fiona ; plus d'un y était tout à fait explicite et compréhensible, et tous également et parfaitement assumés.
#Fiona #ASE #educspé @FullNoonHope La drogue, partout. Le père (ancien toxico) a récupéré la garde de Eva https://t.co/BHWppRh6Md pic.twitter.com/x6jjgtI8fH
— Bruno Kant (@bkant) 18 novembre 2016
#Fiona "la drogue était partout", même chez les amis? @FullNoonHope @MaxPCaufield @HautSavoyarde Je rigole :-) https://t.co/nVZpH1qNwp pic.twitter.com/jeUJYDzWft
— Bruno Kant (@bkant) 19 novembre 2016
Qu'ajouter encore ?
Depuis le mois passé, j'aurais pu publier quelques billets de plus, notamment sur le thème de la protection de l’enfance. Mais quel intérêt ? « Cela ne sert pas à grand chose », m'a-t-on répondu sur Twitter, ce sont je me doutais déjà.
En cette fin d'année, il ne me reste qu'un simple petit soucis, mineur. Depuis cet été et la mise en demeure envoyée par Me Amélie Tripet via mon hébergeur, Online SAS, j'ai eu à engager quelques frais pour préserver mes droits. Je me demandais de quelle façon j'allais pouvoir lui présenter une facture puisque depuis, ce cabinet d’avocats n'a plus réagit à rien. Puis j'ai pensé à litige.fr, ce service de @DemanderJustice, une bête noire du Conseil National des Barreaux.
#avocats @BasileAder C'est presque trop simple, le truc de @DemanderJustice, quelques clics et ça semble être déjà envoyé... pic.twitter.com/UvPMTx07fB
— Bruno Kant (@bkant) 17 décembre 2016
« Droit de suite »
J'ajoute ce billet « Droit de suite » sans qu'on ne m'ait rien demandé. On ne me parle quasi jamais.
#Fillon ou ce marin qui essuie une tempête inédite, qu'il espère très passagère, m'amuse évidemment, comme tout le monde. « Droit de suite », ai-je lu dans un entrefilet, peut-être en faveur de notre Batman national... On en retiendra que tweeter #cacagate très fatigué, à pas d'heures ou à 13h43, pourrait valoir l’indulgence de la cour d'appel de Versailles.
Oo #avocats les #journaux du pays #presse juste un bref "droit de suite" https://t.co/Yf6TpQAP3K pic.twitter.com/WFylDaaJi3
— Bruno Kant (@bkant) 1 février 2017
Ajout du 7 février, tard... « Droit de suite », dira-t-on. Selon Valeurs Actuelles et ce qui s'apparente à une tribune en faveur de l'IPJ (j’omets ce lien, pour faire un peu plaisir), Eolas se serait pourvu en cassation ; patience ; « La justice est une machine qui, ayant reçu une poussée de quelqu'un, continue à rouler d'elle-même » • John Galsworthy, Justice. D'après François Fillon, qu'il faut croire malgré ses silences, ses excès ou ceux de son camp, leurs approximations puis des excuses publiques, le Canard ne ferait que nous mentir... « Tout est légal ». Si ce journal satirique disait si grotesque, faux ou mensonger, le candidat investit par les Républicains n'aurait pas à multiplier gesticulations, répliques et déclarations pour se maintenir à flots ? Restent attendus : les éclaircissements de Pénélope, littéraire et avocate, en personne, les plaintes de François contre tous ces médias qui « calomnient », l'opinion du PNF, qui serait incompétent, selon les avocats du couple. « Opération reconquête » alors qu'il s'est « sauvé », « c’était inespéré », les bruits seraient enfin étouffés : #Fillon « est arrivé à #Troyes (Aube) sans dire un mot et a pris soin de ne pas rencontrer les #habitants, restés derrière les grilles »... « #Fillon pronostic vital réservé », risquaient Coignard et le Point.
Ajout du 8. Me Bernard Ripert est à nouveau libre d'exercer. En juin 2016, nous pouvions lire un très bref « ouch » : la cour d'appel de Grenoble le condamnait à 3 ans de d'interdiction, dont 2 fermes. Selon France 3 Alpes, « la Cour de cassation a jugé que l'appel du procureur général de Grenoble contre sa relaxe n'avait pas été régulièrement déposé. »
Ajout du 8 au soir... « Affaire #Fillon : les zones d'ombre de la procédure judiciaire [sont à l'étude] », voir challenges.fr. « Les neuf failles de la défense de François Fillon », c'est chez les Décodeurs du Monde... Pour cinq phrases de #Fillon en personne qui le massacrent lui-même, lire Libé. Pour le reste, ou nombre de petites phrases du passé comme du moment, et qui font depuis peu bien rire ou grincer également, lire @FrancoisFillon. « Affaire Fillon. L'`' ex-collègue'' de Penelope Fillon gagnait 607 € » peut être lu chez Ouest-France. « `'Le Postillon” écope d'une amende avec sursis », à Grenoble encore : 1500 euros de dommages et intérêts en appel, « sans nous couler, ça nous plombe le budget ». « Ethique et leadership, ce que l’affaire Fillon nous apprend » : Les Echos, rubrique idées/débats, rien que des vacheries encore ; « Le candidat à la présidentielle semble avoir oublié que les pratiques managériales d'hier ne sont plus celles d'aujourd'hui. Désormais, les règles que l'on impose aux autres s'appliquent aussi à soi-même. »
Ajout du 9. Les Echos nous apprend que deux enfants du couple Fillon ont été entendus pendant plus de 7 heures par le PNF. Je suppose qu'ils ont du passer tout ce temps à lancer « incompétents » aux enquêteurs, ainsi qu'à leurs rabâcher « séparation des pouvoirs ! » Les avocats du couple demandent maintenant au PNF de se dessaisir. Une opinion amusante à ces sujets : « François Fillon : la revendication de l'immunité », sur libertescheries.blogspot.fr... Après ceux qui ont pu paraitre dans un Figaro, on trouve encore quelques indices utiles dans un des blogs de Mediapart.
Du 10. Tandis qu'une certaine droite et des anonymes s'en prennent encore aux « merdias », Capital nous éclairait sur « la maison » des époux Fillon, une bâtisse et des dépendances susceptibles d'avoir engloutit une grosse somme. « Affaire Fillon : pourquoi les avocats s’en prennent au parquet national financier ? » « Comment s’explique la vigoureuse contre-attaque des avocats de François Fillon ? » Le Monde nous renseigne : « Si le PNF n’est pas compétent pour enquêter sur l’affaire, il est étrange que les Fillon aient demandé à être entendus `'rapidement'. Ils l’ont d’ailleurs été en présence de leurs avocats, qui n’ont ni souligné l’incompétence » [...] « Sans pouvoir agir sur la procédure en cours, les avocats agissent sur le terrain politique. `'On n’a jamais vu une situation comme celle-ci où un candidat investi par 4,4 millions d’électeurs dans le cadre de la primaire se retrouve à ce point suspendu à la décision d’un juge", ont-ils déclaré lors de la conférence de presse. Tout en admettant qu’ils n’avaient `'aucun pouvoir, aucun recours dans le cadre d’une enquête préliminaire'. `'C’est un geste désespéré, un rideau de fumée", estime un magistrat, faute d’avoir les moyens d’agir sur l’enquête, sauf par une mise en scène médiatique. » Ce 6 février, le PNF prévenait que : « L’enquête se déroule dans le strict respect de l’article 11 du code de procédure pénale, avec la célérité et la sérénité appropriées. » (...) « Il serait hasardeux de préjuger dès à présent de leur issue. » Ce 10 février, Europe 1 confirmait que le PNF « ne devrait pas prendre de décision avant d'avoir terminé ses investigations ».
Ce 10 au soir, après brefs rappels et courts développements, le « tract » ajoute une touche : « Dans cette dernière hypothèse », d'une « pause accordée en vertu d’une vieille tradition républicaine », « la magistrate acterait alors le fait qu’un classement sans suite est inenvisageable à terme. Une décision qui offrirait un peu d’air judiciaire au candidat Fillon. Mais ne manquerait pas de le plomber encore un peu plus politiquement. »
Les rumeurs de la nuit du 11 au 12 février sont reprises par le Parisien, alimentées par le JDD : « [EXCLUSIF #JDD] Le parquet national financier pourrait opter pour des poursuites contre les époux Fillon », lisait-on sur Twitter. Ce 12, Les Echos tweete et publie : « "Aucune décision n'est prise à ce stade de l'enquête" sur des soupçons d'emplois fictifs de l'épouse du candidat à la présidentielle François Fillon et "aucun calendrier n'est fixé à ce jour", a affirmé dimanche le parquet national financier, après les afirmations du Journal du dimanche. » « On ne s’attend à rien de particulier », lâche un des proches du candidat, selon 20 Minutes, « Pour nous, l’enquête du PNF est illégale ». La mise en examen ? « Le pire scénario ». « C’est le pire scénario, poursuit un de ses proches. On ne l’envisage clairement pas ! »
Du 13, tard. Selon Paris Match, François Fillon est indifférent aux « rumeurs parisiennes ». Le JDD confirme : « Quand on l'interroge, il hausse les épaules : "En trente-six ans, ce n'est pas la première fois que j'ai des opposants qui viennent manifester; ça ne m'impressionne pas." Derrière les barrières et le cordon de gendarmes, il déguste donc, imperturbable, citron et fruit de la passion et s'offre un bain de foule avec ses partisans sans un regard pour les manifestants. » François Fillon voit dans sa candidature « un train qui ne s'arrêtera pas », c'est à lire sur le Figaro ; « ... il s'estime victime d'"une injustice profonde" [...] Et pourquoi diable avoir attendu quinze jours pour mettre en cause la compétence du parquet national financier, s'il était vraiment convaincu que son auto-saisine constituait "une atteinte à la séparation des pouvoirs"? "Parce qu'on ne l'avait pas vu avant", lâche-t-il, en plaidant "une certaine naïveté". [...] Convaincu d'être la cible d'une opération politique, il n'imagine pas que les manifestations d'hostilité contre lui puissent être spontanées. "Vous me prenez pour un con ?, s'offusque-t-il. Bien sûr que c'est coordonné !" [...] "Le temps va faire son œuvre", François Fillon en est persuadé. Sa candidature est "un train qui ne s'arrêtera pas" et la victoire lui paraît toujours à sa portée. [...] François Fillon ne s'est pas laissé d'autre choix que de "tenir". Il a déjà prévu de faire "L'Émission politique" sur France 2, le 23 mars. Dans cinq semaines, autant dire une éternité. » D'après le Figaro encore, une « petite vingtaine » d'élus LR réclameront des explications à François Fillon ; « Beaucoup se montrent en effet inquiets des conséquences des affaires touchant François Fillon sur le résultat de la présidentielle et ne se sentent pas entendus par le candidat. [...] "Il faut que nous trouvions une solution politique à la hauteur des enjeux car nous pouvons très bien nous retrouver dans le cas de figure absolument incroyable où notre famille politique se retrouverait absente du second tour de la présidentielle et ce n'est pas acceptable." [...] Les conjurés ont donc préparé le message qu'ils ont l'intention d'adresser au candidat. Il prendra la forme d'une "déclaration" dont les organisateurs réservent la primeur à l'ancien premier ministre. » On perçoit là un peu plus que cris, bruits de sifflets et casseroles bien contenus par des barrières et les services du maintien de l'ordre.
Puis, ce 15... « Devant les députés LR, François Fillon a reconnu que la campagne était difficile mais a affirmé qu'il ne se retirerait pas. » « Fillon démine le début de fronde parlementaire », à lire sur le Figaro... François Fillon dénonce un « harcèlement parlementaire », nous rapporte France Info. C'est une première, un « complot » de cette envergure ?
Avec le Canard de demain, 15 février, nous apprendrons que « Thierry Solère, porte-parole de François Fillon, [est] soupçonné de fraude fiscale » ; pour en savoir plus, lire le Monde... Il « fait l’objet d’une enquête préliminaire » ? « Thierry Solère, qui affirme avoir toujours déclaré ses revenus et être à jour de ses impôts, a annoncé son intention de porter plainte en diffamation contre l’hebdomadaire satirique », ajoute déjà LCI.
Du 17, très tard. François Fillon a encore changé d'avis. Après s'y être précipité pour lui répondre, il s'était donc ensuite mis en tête que le PNF est incompétent. Puis après avoir avoir affirmé qu'il se retirerait s'il était mis en examen (voire trop sérieusement mis en cause ?), après avoir demandé à ses plus proches d'attendre 15 jours et que le PNF lâche enfin ces affaires, Fillon a décidé qu'il s'en remettrait au suffrage à suivre plutôt qu'à la justice. « J'irai jusqu'à la victoire », lit-on sur le Figaro... François Fillon : « J'avais souhaité que la justice agisse vite dans cette période particulière qu'est la campagne présidentielle. Mais la justice n'a pas pris de décision. L'enquête se poursuit et l'horloge tourne. Plus on s'approche de la date de l'élection présidentielle, plus il serait scandaleux de priver la droite et le centre d'un candidat. Je m'en remets désormais au suffrage universel. Ma décision est claire: je suis candidat et j'irai jusqu'à la victoire. » Ce 16 février, le PNF nous informait que « les nombreux éléments déjà recueillis ne permettent pas d'envisager, en l'état, un classement sans suite de la procédure. Les investigations vont se poursuivre... »
#Sécurité #Fillon #LR à #Tourcoing « Tout ça [NDLR : cages d'escalier, la drogue, etc, on comprend très bien] ne donne lieu à aucune sanction parce que c'est trop compliqué, donc je propose qu'ils soient sanctionnés par une contravention... on paye, on paye tout de suite... et on ne passe plus devant le tribunal ». La vidéo n'en dit pas plus, Fillon n'ajoutait pas si lui-même, Pénélope et ses enfants allaient prochainement payer pour tout simplifier enfin.
Du 19, tard, #Rediff rapporté par le Figaro : « Ne nous laissons pas intimider ni par les attaques ni par les quelques manifestants qui voudraient nous empêcher de parler. Ils font du bruit ? Nous, nous défendons un projet pour la France et, en démocratie, c'est le suffrage universel qui décide, et lui seul », explique l'ancien premier ministre
Du 21, vite vu sur le Monde : « François Fillon veut tourner la page de l’affaire Penelope »
Puis du 21 très tard... Juste dire, et ne rien ajouter, c'est ce que nous apprend aussi le Canard qui parait ce mecredi 22.
J'étais aujourd'hui à #Tourcoing aux cotés de @GDarmanin. Ce fut l'occasion d'échanger sur mes propositions en matière de #sécurité. pic.twitter.com/HJvnGM2mYS
— François Fillon (@FrancoisFillon) 17 février 2017
Ajout du 24 au soir. Après ce que j'ai tweeté et publié, ici, moi-même, à ces sujets, je note que secouer un journaliste, c'est effectivement plutôt mal perçu. « Le directeur de Nigloland condamné pour violences volontaires avec préméditation », lire l'Est-Eclair... Je note également qu'autour de François Fillon et des Républicains, la situation se corse un peu également : « l'enquête confiée à un juge d'instruction » ; pour des réactions, voir sur le Parisien... ou lire Mediapart.
Ce 25, en lisant Europe 1, j’apprends que François Fillon et ses proches pouvaient être mieux informés. « Nous allons, mes amis, contrer les attaques. Nous allons traverser les tempêtes ! Nous allons franchir les ponts ! », a-t-il lancé au cours de son meeting à Maisons-Alfort.
Du 1er mars. Fillon annule sa visite au Salon de l'agriculture, et s'exprimera à la mi-journée. Le Parisien... A 12h01, @KoliaDelesalle tweetait : « Toutes les sirènes des casernes de pompier annoncent l'allocution de Fillon, c'est plus une campagne, c'est un film de Sergio Leone. » A 12h34, @lemondefr tweetait : « Je serai convoqué le 15 mars par les juges d’instruction afin d’être mis en examen », confirme François #Fillon A 12h38, @catherinegaste ajoute : « #Fillon "je vous demande de résister " "seul le peuple peut décider" "oui je serai candidat" »
Twitté le 11 mars, par @Valdiguie ou Laurent Valdiguié, rédacteur en chef : « JDD demain : Gérard Larcher a été mis en cause vendredi dans le bureau du juge Cros dans l'affaire des détournements de fonds au Sénat ». Dans un autre tweet, il ajoutait : « Entendu vendredi par le juge Cros, un ex du Sénat a reconnu avoir distribué des espèces à des élus. Les noms à découvrir demain dans le #JDD ». Avec des journaux, dont le Parisien, nous apprenions aussi que « Charles Hourcade, assistant parlementaire d'une députée FN au Parlement européen, a été mis en examen dans l'enquête sur des soupçons d'emplois fictifs. L'enquête visant les assistants du Front national au Parlement européen est passée à la vitesse supérieure. » Puis ajouté ce 12, par France Info : « François Fillon s'est fait offrir pour près de 48 500 euros de costumes par un "ami généreux", selon le "JDD" ». Sur le site du Dauphiné, nous lisons que « Dans une interview publiée sur le site des Echos ce dimanche, François Fillon confie "ne pas se faire beaucoup d'illusions" sur sa mise en examen mercredi, "compte tenu de la précipitation avec laquelle cette procédure est conduite". » Le 12 au soir, sur Twitter, nous lisons : « #Macron : "- le meilleur moyen de se payer un costard, c'est de travailler". #Fillon (rires). »
En lisant @VDNLille on apprend que @maitre_eolas a été relaxé?@OBerruyer Formidable. @JYMoyart @Alexis_Ridray #decodex #PQR #fakenews pic.twitter.com/wfnEnwFbW2
— Bruno Kant (@bkant) 20 février 2017
.@bkant Le @Protocole_ZATAZ doit-il être responsable du mutisme d'une association/forum ? Ils ne réagissent pas, c'est leur problème !
— Protocole_ZATAZ (@Protocole_ZATAZ) 21 février 2017
Du 12 mars, tard. En mai 2013, je revoyais Nanterre dans le Parisien, et je souriais. Selon le journal, quelques parents ou l'un d'eux déposaient alors bruyamment plainte contre une association de la protection de l'enfance. Ironisant quelque peu, je leurs souhaitais bonne chance : « La démarche de ces parents est bonne, ils se sont associés pour croiser leurs dossiers pour qu'il s'en dégage les pratiques habituelles des professionnels qui s'occupent de leurs enfants et de leurs familles... [...] Si Violette Justice travaille bien la forme et le fond de sa plainte, je pense qu'elle finira par aboutir. » Sur Facebook ainsi qu'ailleurs, sur Internet, j'avais depuis encore remarqué quelques rumeurs et cris. Ce 12 mars au soir, Google a fini par me déterrer un communiqué de l'association Olga Spitzer ainsi qu'un jugement de début 2016 pour un mail datant de 2012, des éléments qui renseignent, notamment sur la bonne foi, la légitimité, les preuves, l'animosité, ou en gros, sur ce qu'il faudrait s'abstenir de faire, surtout lorsqu'on y a pas réfléchit assez. Leur communiqué de mai 2016 précise que « La prévenue ayant fait appel de ce jugement, ce dernier n’est donc pas définitif » et commence par « Depuis plus de trois ans, l’Association Olga Spitzer est la cible de propos qui atteignent gravement à sa réputation et mettent en péril ses missions d’utilité publique. » Reste à attendre, l'issue de l'appel et d'autres éventuelles suites.
Je me posais des questions en mai 2013. Je pense avoir trouvé quelques réponses. https://t.co/tMBfvRqXto pic.twitter.com/IXxkkbEjcO
— Bruno Kant (@bkant) 12 mars 2017
Ce 14 mars 2017, 15h26 (maj. 15h33), le Parisien nous annonce que François Fillon a été mis en examen. Plus loin, RTL confirme, « mis en examen dans l'affaire des soupçons d'emplois fictifs », précisant que « François Fillon a été mis en examen, mardi 14 mars au matin, par les juges chargés d'instruire le dossier des soupçons d'emplois fictifs dont auraient bénéficié son épouse Penelope ainsi que ses enfants. » « Fillon placed under formal investigation »...
Vu sur Sud-Ouest, ce 18 mars : « Dans l’affaire Fillon et le volet des costumes Arnys, il dit se tenir à disposition des enquêteurs. "Mais pourquoi voulez-vous que j’ai peur ? J’agis en mon nom propre", disait en 2011 Robert Bourgi. Jeudi, selon Le Parisien, un dégât des eaux a endommagé des ordinateurs et téléphones de son cabinet. »
« Le pôle financier du tribunal de Paris a été évacué ce lundi après une alerte à la bombe, assure l'AFP qui cite une source proche de l'enquête. » Ouest-France, le 20 mars... « Les locaux abritent les juges d’instruction et le parquet national financier, chargé d’enquêter sur la grande délinquance économique et financière. Créé à la fin de 2013 à la suite du scandale du compte bancaire caché de l’ex-ministre du budget Jérôme Cahuzac, le parquet national financier est actuellement chargé des investigations concernant le candidat de droite à la présidentielle François Fillon. Des juges financiers instruisent aussi l’enquête sur des soupçons d’emplois fictifs au Front national. », lit-on sur Le Monde... Puis sur Twitter, à 12h36, nous lisons : « Fin de l'alerte au pôle financier du tribunal de grande instance de Paris, 5 rue des Italiens. "Levée de doute. Rien à signaler" (police). »
De source Le Parisien, 21 mars... encore un très sale coup de méchants juges rouges : « Le volet politique de l'affaire aura duré moins de 24 heures. Suite aux révélations lundi soir de l'émission Quotidien sur l'emploi de ses filles à l'Assemblée nationale lorsqu'il était député, le ministre de l'Intérieur Bruno Le Roux a démissionné, ce mardi après-midi. Le parquet national financier avait ouvert une enquête préliminaire peu avant. » On comprend mieux pourquoi le pays et nos élus sont à la dérive, des pré-ados, des surchargés et des débutants pourrissent la doc parlementaire
Du 21, encore. « Affaire Fillon : l’enquête élargie à des faits d’"escroquerie aggravée", `'de faux et usage de faux", le Monde... qui nous précise que : « Contacté, l’avocat de Mme Fillon, Pierre Cornut-Gentille, s’"indigne des fuites dans la presse" et réaffirme que sa cliente entend réserver ses premières déclarations aux magistrats instructeurs. Le conseil de M. Fillon, Antonin Lévy, n’a pas donné suite à nos demandes. »
Du 22 mars...Présidentielle : Jean-Luc Mélenchon ironise sur son patrimoine à près d'un million d'euros, le Parisien... « Et comme vous n’aurez pas de première dame, puisque je suis célibataire, au total, je serai un président moins cher. Cela vous fera donc faire des économies ».
Qui date un peu, déjà : La première Femen condamnée pour « exhibition sexuelle » relaxée en appel, le Monde...
Le 26 mars, le Monde ou le JDD nous expose le « système de défense » développé par Mme Fillon... extrait : « "Je n’y suis jamais allée." "Vous avez effectué pendant vingt mois une mission de réflexion stratégique sur la Revue des deux mondes sans jamais y aller, ni rencontrer le directeur, ni les employés et auteurs de cette revue ?", insiste le policier, étonné par la réponse de Penelope Fillon. "J’ai été déçue de ne pas être plus sollicitée", réplique-t-elle en guise d’explication. » A lire sur 20 Minutes : « Costumes, montres, vacances… Les jolis cadeaux reçus par François Fillon »
Vu sur Closer... « A peine sorti, le livre Bienvenue Place Beauvau ne finit pas de faire parler de lui. Après François Fillon, qui s'appuie sur l'ouvrage pour dénoncer un "cabinet noir" à l'Elysée, c'est une autre politique qui l'a lu bien attentivement. Valérie Pécresse se dit "frappée de stupeur" après la lecture du livre écrit par trois journalistes et compte porter plainte. »
Tapie, sur Fillon, dans le JDD du 1er ou du 2 avril : « Il est dans la peau de ceux, mis en examen, qu’il a tant critiqués. Lui comme sa femme doivent souffrir le martyre. S’il n’a pas renoncé, c’est pour conjurer sa souffrance ou pour prouver sa bonne foi. Mais il a pris un risque énorme, s’il est battu, il va porter sur ses épaules la responsabilité d’avoir empêché l’alternance à droite. Cela sera terrible à vivre. »
Fillon placed under formal investigation https://t.co/OzQFAlaQYW
— BBC News (World) (@BBCWorld) 14 mars 2017
Cette mise en examen de François Fillon, ça me donne envie de citer du François Fillon. (25/11/2016) https://t.co/2utPPSy5oz pic.twitter.com/YXew8C8QUW
— Etienne Baldit (@EtienneBaldit) 14 mars 2017
Du 23 avril, tard le soir, vu sur le Figaro... extrait : « Le candidat de la droite et du centre a indiqué «assumer» sa «reponsabilité» et que «l'extrémisme ne peut apporter que malheur et division à la France». François Fillon a reconnu, dimanche, sa défaite au premier tour de l'élection présidentielle. Avec près de 20% des voix, l'ancien premier ministre a échoué à se qualifier pour le second tour. «Les obstacles mis sur ma route étaient trop nombreux, trop cruels… Le moment venu, la vérité de cette élection sera écrite», a-t-il dit devant ses militants rassemblés au QG de campagne. »
"Les obstacles mis sur ma route étaient trop nombreux, trop cruels" @FrancoisFillon#Elections2017 https://t.co/2EuL7CwaCb pic.twitter.com/TLtWJpTU22
— Europe 1 (@Europe1) 23 avril 2017
A Meaux, dans la ville de Jean-François Copé, Jean-Luc Mélenchon arrive en tête. Fillon n'est que 4e https://t.co/kw731gghtV pic.twitter.com/QIyHpdXkWb
— Le Lab (@leLab_E1) 23 avril 2017
Fillon maintient sa candidature au second tour : « je refuse qu’on vole cette élection au peuple français » https://t.co/xQDZagnwPg
— Le Gorafi (@le_gorafi) 23 avril 2017
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