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Julie : 8 à 15 ans pour les violeurs
NDLR : « Julie s'est mise en danger toute seule...» On croirait lire des travailleurs sociaux, gigotant et se défendant à huis-clos, mais ceux de l'OSE France pouvaient encore affirmer pire. « Julie s'est mise en danger toute seule, par sa fugue, par son comportement », bien sûr, Mes Martin et Vella ! Un tel dossier ou affaire devrait être dépaysé à la cour d'appel de Versailles, vu ce que ces prétoires m'ont rendu au cours des années passées, la relaxe ou les acquittements de Ishak Guler, de Selman Varkan et de Selcuk Ozcan y seront assurés. Une fois à Versailles, réclamer ou espérer un collège présidé par Olivier Echappe ; Lise, cette quiche, pourrait aussi se dépatouiller avec une histoire pareille, elle-même trouverait peut-être quelques arguments de droit pour classer sans plus ? Un certain Valantin, je crois, s'il est toujours à Versailles, pourrait également rendre d'assez bons services. « C'est elle qui m'a dit qu'elle préférait faire le trottoir...» on replonge en 1980. Catégorie Insolite et rubrique Victimes, tant c'est grotesque ! Oui, « quiche », c'est dur pour un magistrat, mais pas beaucoup plus dur que « proxénète » ? « Quiche », beaucoup comprendront. Oui, Echappe, Lise et Valantin, ce sont ou étaient trois présidents de chambre ; si ce que j'ai publié dans ce billet pose un quelconque problème, le parquet me demandera à nouveau quelques précisions, mais je pense qu'il s'abstiendra.
Ajout du 27 : Que personne n'aille se méprendre, Julie, ce n'est pas ma fille, c'est même une toute autre histoire. Ne me lancez pas que #lesjuges de Versailles insistent... Dans un même billet, qualifier un magistrat de quiche, d'écervelée, et ressortir un arrêt, un faux ou un torchon qu'elle a approuvé, ça devrait calmer et faire cogiter le parquet.
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Toulouse et sa région
Publié le 26/05/2012 03:47 | Frédéric Abéla, la Dépêche
Julie : 8 à 15 ans pour les violeurs
Toulouse
Après six heures de délibéré les jurés de la cour d'assises de Haute-Garonne ont condamné, hier, Ishak Guler, à 15 ans de réclusion criminelle, Selman Varkan à 13 ans de réclusion et son oncle Selcuk Ozcan, à 8 ans d'emprisonnement, pour le viol à Toulouse, de Julie, une adolescente en fugue de 14 ans et dont la disparition en août 2009 avait fait grand bruit. L'avocat général avait demandé au moins 14 ans de réclusion à l'encontre des trois ressortissants turcs qui ont toujours affirmé avoir agi avec le consentement de Julie. Âgés de 22 à 37 ans, tous ont été condamnés pour complicité de viol. Jusqu'au bout, la défense a féraillé pour mettre en évidence l'attitude « équivoque » de Julie, cette adolescente perdue et immature et qui avait fui la compagnie de ses grands-parents, en plein été 2009, alors qu'ils se trouvaient dans un camping, près de Perpignan. « Vous avez sombré dans la facilité et la morale », relève pour la défense de Varkan, Me Alexandre Martin, s'adressant au ministère public.
La défense sert avec vigueur une version toute en nuance. « Julie s'est mise en danger toute seule, par sa fugue, par son comportement. Bien sûr, elle ne souhaitait pas que tout cela arrive. À aucun moment, il y a eu violence, ni contrainte. Elle pouvait même s'échapper, elle ne l'a jamais fait », insistent Mes Martin et Vella, qui voient leur demande de requalification en « atteinte sexuelle », rejetée. Du 20 au 23 août 2009, face à ces trois hommes rencontrés à Toulouse, au hasard de son errance, Julie ne parle pas. Elle les suit à la piscine, à l'hôtel. Fuir serait pire que tout dans une ville dont elle ignore même le nom. Julie leur avoue qu'elle à 17 ans. Elle se sent grande. Julie s'est propulsée dans le monde des grands, devenant malgré elle, un objet sexuel en petit short de plage. Son statut de victime est désormais reconnu.
Les 16-25 ans, génération qui a perdu foi en l'avenir
Enquête
Les 16-25 ans, génération qui a perdu foi en l'avenir
LE MONDE | 09.03.09 | 13h53 • Mis à jour le 10.03.09 | 08h23, extrait
Chômage, pauvreté, perte de confiance en l'avenir : la situation des 16-25 ans interpelle. Le haut-commissaire à la jeunesse, Martin Hirsch, lance lundi 9 mars la concertation qui doit aboutir à une nouvelle politique de la jeunesse, favorisant l'autonomie : insertion professionnelle, logement, santé, participation à la vie sociale seront les thèmes abordés.
"Il est urgent d'agir", prévient l'un des participants, le sociologue de la jeunesse Olivier Galland, dont les travaux nourrissent largement le diagnostic gouvernemental. Directeur de recherches au CNRS et président du comité scientifique de l'Observatoire de la vie étudiante, ce dernier met en évidence, dans un livre à paraître en avril, Les jeunes Français ont-ils raison d'avoir peur ? (Armand Colin), la cause majeure du malaise : le modèle d'"élitisme républicain" sur lequel se fonde le système éducatif est "en crise" profonde.
"Toutes les enquêtes montrent que la jeunesse française va mal, dit-il. Les jeunes Français sont les plus pessimistes de tous les Européens. Ils n'ont confiance ni dans les autres, ni dans la société. Ils apparaissent repliés sur leur classe d'âge et fatalistes. Pour une société, surtout en période de crise, c'est un handicap énorme."
Samedi 07 Mars 2009
Causette, "la bonne copine"
leJDD.fr, extraits
Un nouveau magazine féminin, Causette, est dans les kiosques depuis jeudi. Biba et autres Glamour n'ont pourtant pas de souci à se faire. "Nous ne sommes pas concurrents mais complémentaires", a expliqué au JDD.fr Greg Lassus Debat, le directeur de la rédaction de ce bimestriel. Un style différent, des photos de qualité supérieure et un contenu plus élitiste, Causette se veut résolument différente. C'est réussi.
Lancer un magazine en pleine crise de la presse, le pari était osé. L'avenir dira s'il est réussi. ...
Pourquoi se lancer dans cette aventure?
On a pensé qu'il y avait un vrai manque et donc une place à prendre. Loin de nous l'idée de se moquer de nos petits camarades de la presse féminine, mais nous ne sommes pas dans le même esprit. Nous ne sommes pas des faiseurs de mode ou de tendance. On veut faire du journalisme anglé féminin, avec de vrais reportages. Notre objectif n'est pas de tenir informé sur tel ou tel régime ou défilé de mode, on veut simplement divertir et apprendre des choses à nos lectrices en passant un bon moment.
Quelles sont les femmes qui vont se laisser tenter par Causette?
On va dire des femmes entre 25 et 45 ans, mais c'est quand même assez réducteur. Nous ne sommes pas des spécialistes du marketing, loin de là. Nous n'avons même pas réalisé d'études de marché avant de nous lancer. On a fait ça au nez, en discutant avec notre entourage. ...
Que peut-on attendre du second numéro?
Maintenant que le premier est sorti, le décor est planté. Mais je peux déjà vous annoncer que le contenu va évoluer. On ambitionne de faire 50% de papiers rigolos et 50% de papiers sérieux. C'est surtout dans ce dernier domaine que je souhaite mettre l'accent, avec notamment davantage de politique. On veut faire du journalisme de haut niveau, taper plus fort. ...
En kiosques : Causette n° 1
NDLR : Voir aussi Dati: « Le premier droit des femmes, c'est la liberté ». A suivre, la mode et le courant des « fashionista » ? Voir également Un article qui fait hocqueter, à propos de cours de raccommodage, ou encore On a isolé le gène de la bétise et « Il » regarde des films pornos ?
Les mères indignes sont à la mode
A.-E. Lemoine & M. Ruggieri - 20 novembre 2008, une chronique France Info
Selon Marion Ruggieri, les mères indignes seraient à la mode. C’est en tout cas le sujet qui remue la presse en ce moment avec la sortie du livre Les mauvaises mères paru chez Jacob-Duvernet ; ou le phénomène des "mum’ preneuses", des mères qui profiteraient de leur congé maternité pour monter une affaire.
Causette, le nouveau féminin qui parle à notre cerveau
Par Ophélie Neiman, le Dimanche 8 Mars 2009 à 06h00, Teva, extraits
Samedi 7 mars, veille de la journée de la femme, le magazine Causette a fait son apparition dans les kiosques. Décapant. [...] Et surtout, une vision de la femme telle qu'elle est et non pas comme les pubs la montrent.