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Florence Cassez : la juge rapporteuse se bat pour elle
NDLR : Je note que pour ce rapporteur, « favorable » à la libération de Cassez, « il reste du chemin à parcourir pour convaincre les autres juges en charge du dossier ». Quand Copé ou l'UMP souhaiteront sauver encore Florence Cassez, ils penseront peut-être aussi à retrouver association-estelle.org, un site Internet porté disparu...
Actu-Match | vendredi 11 mai 2012, extrait
Florence Cassez. La juge rapporteuse se bat pour elle
Olga Sánchez Cordero, la nouvelle rapporteuse dans l'affaire Florence Cassez, a donné une interview dans laquelle elle confirme souhaiter sa libération, tout en reconnaissant qu'il reste du chemin à parcourir pour convaincre les autres juges en charge du dossier.
L’histoire sans fin. Florence Cassez, écrouée depuis plus de six ans au Mexique, pour...
Aliot (FN) contre les drapeaux étrangers
NDLR : Sarkozy « arrête », comme il l'avait envisagé ? Bisous, encore des bisous ! Qu'est-ce que Sarkozy pourrait faire d'autre s'il arrête la politique ? Prendre une plume et devenir notre nouveau Mocquet ou Hugo ?
LE FLASH > Présidentielle
Sarkozy à ses conseillers: "J'arrête"
Le Figaro.fr Publié le 07/05/2012 à 11:26
Selon Le Monde.fr qui cite plusieurs conseillers, Nicolas Sarkozy aurait déclaré dimanche soir à ses troupes réunies à l'Élysée : "J'arrête la politique". "Cela ne créera pas de psychodrame comme avec Jospin", aurait-il également indiqué.
En janvier déjà, lors d'un déplacement en Guyane, le président sortant avait assuré qu'en cas de défaite, "vous ne me verrez plus". Quelques semaines plus tard, sur RMC/BFMTV, à la question : "En cas de défaite, quitterez-vous la politique?", Nicolas Sarkozy avait répondu : "Oui."
Dimanche soir, lors de son discours prononcé à la salle de la Mutualité à Paris, le président sortant a déclaré : "Ma place ne pourra plus être la même, mon engagement dans la vie de mon pays sera différent."
Dans Le Figaro du jour, le secrétaire général de l'Élysée Xavier Musca assure : "Que fera-t-il s'il est battu ? De la politique !"
De la Bastille à Nuremberg, la soirée se prépare
ACTUALITÉ > Présidentielle
De la Bastille à la Concorde, la soirée se prépare
Mots clés : François Hollande, Nicolas Sarkozy
Par lefigaro.fr, extraits
Mis à jour le 06/05/2012 à 12:20 | publié le 05/05/2012 à 19:41
Les préparatifs sont déjà en cours sur les deux places symboliques, où les candidats sont attendus en cas de victoire.
Ne pas vendre la peau de l'ours... Dans l'équipe de campagne de François Hollande, peu d'informations filtrent sur l'organisation de la fête qui suivra l'éventuelle victoire du candidat socialiste. Le début de soirée du candidat se passera à Tulle, où il aura voté et passé tout le week-end. François Hollande s'exprimera peu après 20h sur la place de la Cathédrale de la préfecture corrézienne, quel que soit le résultat. Il partira ensuite pour Paris et devrait se rendre place de la Bastille avec ses partisans en cas de victoire, une information que son équipe de campagne se refuse toutefois à confirmer officiellement.
[...] Pour sa part, Nicolas Sarkozy, là aussi quel que soit le résultat, interviendra à la Mutualité devant les militants et supporters, et en cas de victoire, ira ensuite à la Concorde, a indiqué son entourage. Sur la place, cinq mini-grues, à l'arrêt, étaient stationnées à la sortie du jardin des Tuileries, où touristes et familles se promenaient en nombre samedi après-midi. Deux vastes zones entre le parc et les voies de la place étaient délimitées par des barrières métalliques. L'équipe de campagne du candidat UMP a réservé un camion podium, qui sera tout de suite opérationnel si c'est nécessaire, avec un système de sonorisation et une scène.
(Avec AFP)
Nicolas Sarkozy fait huer un journaliste de TF1
NDLR : Tout à fait normal, Sarkozy s'adresse au « peuple », dénonce dans ce cadre les « corps intermédiaires », les « élites dévoyées », houspille les syndicats comme il houspillait les juges, les profs, les chercheurs, etc, tous ces corps ou courants dits ou supposés « bien-pensants », voire « anti ». C'était efficace jusqu'à ce jour, notamment pour imposer déjà quelques réformes, et non des moindres. Puis enfin, Sarkozy accuse donc encore les journalistes, l'un des derniers bastions de la critique et de la libre circulation de l'information... Ce choix de TF1 au cours d'un direct et pour son dernier discours est excellent. Copé est allé plus loin dénonçant des « médias complaisants » ? La Direction de BFM TV « en appelle au Conseil supérieur de l'Audiovisuel, garant du pluralisme de l'information dans l'audiovisuel, pour qu'il rappelle l'exigence blablah » ; oui, on a compris. La journée des journalistes opprimés, c'était le 3 mai, on en reparlera donc l'année prochaine, éventuellement, sous une présidence un peu différente, ou la même, à peine changée. Personne n'a jamais le temps ni de lire, ni de discuter de rien. C'est dommage, tout ça, toute cette casse et tout ce temps perdu, car ce qui s'est tramé depuis l'entrée sur scène de Sarkozy, depuis 2002, à l'Intérieur, était pourtant toujours limpide. Relire Rivarol et les contre révolutionnaires aurait été utile également ; c'était un personnage qui aurait à mon avis adoré Twitter ou ces flots de petites phrases, adoré aussi faire replonger notre société au siècle des lumières, au temps des cathédrales et des charrettes (écologique), dévoyer la Vième, la démocratie et les droits de l'Homme, leur version de 1789, pour instaurer une oligarchie
Nicolas Sarkozy fait huer un journaliste de TF1
16H02 Le 04/05/12, Présidentielle 2012
publié par Julien Bellver, pure People, extrait
Taper sur les journalistes, jusqu'au dernier jour. Ce vendredi aux Sables d'Olonne où il tenait un meeting, Nicolas Sarkozy n'a pas dérogé à cette règle alors qu'un journaliste réalisait un duplex pour le journal de 13 heures de Jean-Pierre Pernaut. Alors qu'il était en direct sur TF1 (voir nos images), le président candidat lâche : "Si notre ami qui fait un direct en me tournant le dos pouvait s'arrêter, ça m'arrangerait." L'assistance se retourne alors vers lui et le hue. Le malaise est perceptible sur le visage de Philippe Morand qui, comme tous les journalistes réalisant un duplex dans ce contexte, tourne le dos à l'orateur.
"Ne vous inquiétez pas, la politesse n'est qu'une question d'éducation. Et après tout, si nous n'avons pas... s'il y a eu quelques manquements, nous y porterons remède" lâche alors Nicolas Sarkozy qui en profite pour livrer une nouvelle charge contre les médias. "Qui sont-ils pour oser dire qu'on ne doit ne pas parler à 6,5 millions de Français. Quelles sont leurs titres de gloire ? Quelle autorité morale les porte ?" lance-t-il. Visés, les journalistes, "qui n'ont cessé d'inviter Madame Le Pen lorsque elle disait du mal de (moi) pour m'interdire de parler aux électeurs de Madame Le Pen." Puis il précise sa pensée : "Je n'ai jamais vu une émission, un journal avec un bandeau où il y aurait écrit toute personne ayant voté pour le FN ne doit pas nous regarder." Il finit son couplet anti-médias en attaquant sans la nommer la radio France Inter, comme il l'avait déjà fait il y a quelques jours.
Nicolas Sarkozy fait huer un journaliste de TF1 par puremedias