L'alcool et les femmes : osons en parler
Un sujet qui est pour ma rubrique sorties ; il m'arrive encore de temps en temps de me promener. On m'a envoyé un lien vers Google docs, un truc pas très clair, et des images jpg, avec lesquelles il n'est pas simple de s'inscrire...
Pour consulter le programme et pour s'inscrire (obligatoire, places limitées) à cette Journée de sensibilisation et de prévention de l’alcool au féminin, c'est tout simple. C'est en quelques clics, sur www.helloasso.com
Puis si vous aviez besoin de plus d'infos, bah, vous voyez sur Twitter, avec @VHamonnais ou @AddictElles
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Un 5 octobre, à Paris
Occupée, par un live sur Facebook, je pense pic.twitter.com/FfiBUL2QGc
— Bruno Kant (@bkant)
October 5, 2019
Un 25 mai 2019, les enfants disparus ou raflés par la Ddass
Ca faisait un moment, quelques mois, que je n'avais pas respiré un mauvais air. Le 116 000 convie, à Paris. « Droit d'Enfance est un acteur majeur de la #ProtectionEnfance et se consacre à l'accompagnement d'#EnfantsPlacés sous sa protection. » Eventuellement l'occasion de discuter de juges et de leur conscience de leur mission, ainsi que de l'ASE et du 116 000, des lumières, de l'OSE France, des sauveurs, de l'ARSEA Alsace, des orienteurs.
Edit... Les paragraphes qui suivent sont quelques ajouts du 24 courant. Il m'est souvent arrivé de rédiger des billets ou d'en compléter sur plusieurs jours. J'avais d'autres priorités, cette semaine.
J'en profite pour noter que la France a été condamnée par la CEDH pour « enquête lacunaire » sur une affaire de violences policières [Chebab c. France]. Pour « des faits datant de 2000 »... 19 ans de procédures ! « L’enquête, sur des faits datant de 2000, n’a été ni `'rapide" ni `'effective" ». Lorsque la Ddass prétend s'occuper bien d'un enfant, les investigations comme les procédures sont à peu près similaires : ni rapides, ni effectives, parcellaires, lacunaires, déficientes, partiales, accablantes par ses omissions, ses approximations et ses mensonges. Même en référé, les choses peuvent ne pas avancer. Rien que auprès du juge des tutelles, deux juges, et avec la contribution de la cour d'appel de Versailles, il m'avait fallut environ sept années pour démontrer qu'une étude de notaire avait essentiellement travaillé du chapeau. C'est la Ddass et ces magistrats, qui prétendront encore avoir toujours oeuvré « dans l'intérêt de l'enfant » ; il faut croire ; croire surtout en la justice, ses praticiens et tous ses prétoires. Mi-2008, j’apprenais que la justice m'avait perdu ou détruit un dossier médical, un scellé ; implicitement, cela mettait un terme à un recours contre l'Etat, suite à un décès suspect en milieu hospitalier, aux urgence...
Je note également que ce 23 mai 2019, à l'Assemblée nationale, pour une mission d'information sur l'Aide sociale à l'enfance, des associations représentant des parents contestant les décisions de placement de leurs enfants ont été auditionnées. A huis-clos, tandis que quantité d'autres auditions semblaient avoir été ouvertes à la presse ?
Ce mardi 21, je téléphonais à l'association Droit d'Enfance. Après quelques tweets, leur CM m'avait bloqué, je voulais en savoir plus. Un interlocuteur m'a assuré qu'ils n'étaient pas « nouveaux » et me suggérait d'effacer le mot « arriviste » - « personne dénuée de scrupules qui veut arriver, réussir par n'importe quel moyen ». Ils ont récemment changé de nom, après une fusion, m'a-t-on dit ; d'où certainement leur compte Twitter d'avril 2019 et leurs 44 à maintenant 45 followers. Selon leur site Internet, il s'agirait bien de spécialistes en « protection de l'enfance » ; ils devraient donc tout connaitre de méthodes, de pratiques, de dérives, de placements « provisoires », de placements « transitoires » et de « solutions durables », dont ceux pour faire plaisir. Ils connaissent également le 116 000, forcément, ce sont eux qui le gèrent ; « Nos équipes ont pour mission d’écouter et soutenir les familles d’enfants disparus. » Un numéro inaccessible lorsqu'un enfant ou un enfant d'une fratrie a été raflée par la Ddass, le Ministère de tutelle n’apprécierait pas que les écoutants et aides du 116 000 s'en soucient également, m'a-t-on expliqué...
Un enfant n'est soudainement plus là ? « S'adresser au secteur privé. » Quand la Ddass affirme travailler, tout est plus compliqué. J'en sais quelque chose, mon ainée avait été inscrite à deux reprises au fichier des mineurs disparus, puis même recherchée, alors qu'elle était sous la responsabilité des travailleurs sociaux de l'OSE France, ils organisaient des disparition de mineur. « C'est grave, ce que vous décrivez », m'a répondu cet interlocuteur de Droit d'Enfance. Mais j'avais à me débrouiller. J'avais à me débrouiller également avec le Défenseur des enfants ainsi que avec le 119, cet autre numéro, supposé être utile lorsqu'un enfant subit des violences et des défauts ou des privations de soin. « Contactez un avocat. » « Saisissez un juge. » Ces signalements au 116 000 ainsi que au 119 étaient parfaitement légitimes et justifiés ; sans aucun débats à leurs sujets, les magistrats qui en ont eu connaissance ont manifestement pris l'initiative de les « interpréter » en notant et en retenant simplement un « harcèlement dont M. X... a accablé la MECS du Château de Vaucelles ». Vers 2001, l'AFMJF (Association Française des Magistrats de la Jeunesse et de la Famille) publiait « le contradictoire en assistance existe ! » ; j'en ai très souvent rigolé.
Un nouveau ou un arriviste, du secteur #ASE #educspé pic.twitter.com/7J1A3zhSD9
— Bruno Kant (@bkant) May 20, 2019
Samedi, je vais me promener à Paris, vers parc Citroën, pour voir. @DroitdEnfance On pourrait faire connaissance.
— Bruno Kant (@bkant) May 21, 2019
Après cette riche journée au colloque de l’AFMJF, nous serions ravis de vous accueillir @AdrienTaquet au sein de notre village de prévention 😃 @116000FRANCE
— Enfants Disparus (@116000FRANCE) May 24, 2019
Cris et chuchotements : La justice est-elle sous influences ?
J'ai remarqué ce tweet sur #Outreau, je me suis inscrit. Ces « influences », ce qui s'en dit et tous ces mythes, un très vaste sujet qui peut toujours m'inspirer et qui peut surtout encore me distraire. Un colloque organisé par le Syndicat National des magistrats FO. Je n'ai pas encore trouvé les détails de l'agenda. Pour la recherche « cris et chuchotements », Google m'a vite proposé une soirée en club SM Parisien, puis pas grand chose de plus... Je ne suis pas sûr qu'on nous parlera du marteau - Malleus Maleficarum - ni d'enfermement ou de supplices, sexe et châtiments.
Je découvre. Renaud Van Ruymbeke pourrait être présent, novembre prochain, pour ce colloque ? J'essayerais de rechuchoter avec ce magistrat ; à l'heure ou autour du buffet ; « c'est pas possible », m'avait-il répondu en février 2010...
#outreau @Villagejustice @ChTaubira "La Justice est-elle sous influences ?" Colloque 27 Novembre Palais d'Iéna
https://t.co/ajd56CSfH8
— mchristine gryson (@outreauvo) 13 Octobre 2015
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L’ONED fête ses 10 ans !
Ceux qui me connaissent ou qui me suivent, qui me lisent, ont pu remarquer que de temps en temps, je sors, pour écouter des discours, pour bavarder en off... et beaucoup plus rarement, pour réagir. J'espère pouvoir me libérer, ce mardi, pour les 10 ans de l'ONED, à l'hôtel de ville de Paris ; la sortie est à mon agenda, mais elle ne sera pas ma priorité.
En octobre 2009, sur le parvis des droits de l'Homme, à l'occasion de la journée de la misère, j'avais pu discuter un bref instant avec Dominique Versini. Elle était alors Défenseure des enfants... Peu après, vers le 20 novembre 2009, il m'avait semblé la reconnaitre, entrant au barreau de Paris... J'apprends qu'elle est aujourd'hui adjointe à la Maire de Paris, chargée de la protection de l'enfance. A l'époque, fin 2009, j'avais pu échanger deux ou trois fois avec Myriam El Khomri et ses proches, notamment le jour de l’inauguration de la place des droits de l'enfant. Fin 2009, Myriam El Khomri était elle-même adjointe au Maire, déléguée à la protection de l'enfance. Si une opportunité se présentait, ce mardi, j'échangerais à nouveau avec Dominique Versini, en off.
Il devrait y avoir du monde, ce mardi, à l'hôtel de ville de Paris, pour une journée d'étude internationale « observer l'enfance en danger : articuler recherche et pratique ». Selon le programme de la journée, Laurence Rossignol devrait être présente ; si elle avait elle-même des disponibilités, je pourrais lui parler un instant de la « loi du silence » ou de « cet angle mort ». Michèle Meunier devrait également contribuer ; avec elle, il me serait peut-être possible de discuter brièvement de son projet de loi, de l'article 1er, ainsi que de situations d'enfants, au cours des années passées.
Ce mardi, si je devais un moment réagir, ce dont je doute très fort, ce serait peut-être pour en rire, pour faire sourire ou grincer l'assemblée, pour parler de périodes lointaines, prétendues révolues, et probablement aussi d'un article de novembre 2007, du Nouvel Observateur, Razzia, sur l'Arche de Zoé. « Imaginons la scène ubuesque : une secte africaine d'exaltés débarque dans les Hauts-de-Seine pour sauver des centaines de petits Français en danger... Nous avons eu le terrible sentiment que ces gamins de l'est du pays, placés par des chefs de village dans ce qu'ils croyaient être des centres de santé ou d'éducation, étaient considérés comme des otages par leurs prétendus bienfaiteurs. Terrible paradoxe : à l'heure de la mondialisation des images, la tyrannie de l'émotion provoque des bons sentiments, mais aussi des cataclysmes. Côté tchadien, mais aussi français, où des centaines de familles ont succombé aux chimères... Pathétique razzia. » Grotesque ? On pourrait ensuite reparler aussi d'épuration sociale.
Une « invitation personnelle » sur fond d'un livre noir #LMEF
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Enfant de la DDASS, par Rhumantik
NDLR : Nous connaissions déjà la version de MC Jean Gab1, Enfant d'la DDASS, « juché sur ses dossiers, juger et puis caser... » Que va nous chanter maintenant Rhumantik ? La protection de l'enfance va encore geindre, nous ne devrions plus parler de la DDASS, ni de pratiques d'ailleurs ou d'antan, nous sommes en 2013
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« La santé des enfants accueillis au titre de la Protection de l’enfance »
NDLR : Je vais saisir cette opportunité pour discuter encore du fabuleux travail de l'OSE France et de leur maison d'enfants de Taverny, puis de la bien-traitance, par l'ARSEA Alsace, ou de ce qu'ont cautionné les juges pour enfants de Nanterre et de la cour d'appel de Versailles, de 2003 à 2012 ; c'était hier. « Les analyses tant quantitatives que qualitatives montrent des problèmes nombreux et massifs affectant la santé des jeunes confiés au titre de la protection de l’enfance, affectant également leur développement et leur qualité de vie. ... Lors du bilan médical, globalement peu de pathologies sont dépistées mais de nombreux suivis sont relancés, voire initiés pour des problèmes déjà connus mais non pris en charge. », peut-on lire dans un document de synthèse déjà publiée par l'ONED. Ces professionnels devraient pouvoir me comprendre mieux que le parquet, mieux que des psychiatres ou que des travailleurs sociaux, sûrement mieux que des magistrats aussi. Selon l'agenda de l'ARS Ile-de-France, cette journée se déroulera au Musée social/CEDIAS, 5 rue Las Cases, 75007 Paris. On m'y confirmera très probablement que les négligences et les privations de soins dont a du souffrir ma fille ainée pendant des années sont tout à fait habituelles, normales et courantes lorsqu'un juge pour enfant est saisi. En janvier 2005, Richard Josefsberg, de l'OSE France, avait assuré que ses services prendraient toujours soin de mon ainée comme ils le feraient pour leurs propres enfants ; j'en rigolerais pendant longtemps encore. Passé l'été 2005, les tiers « dignes de confiance » ou la famille d’accueil à qui ma fille ainée a été confiée étaient cependant beaucoup moins communs : Madame est pasteur, Monsieur est médecin généraliste ! Quel travail, « protection » ou « aide »...
L'ONED organise le 19 juin 2013 une journée d'étude consacrée à la thématique retenue pour l'appel d'offres 2010: la santé des enfants accueillis au titre de la protection de l'enfance.
Pour mener à bien sa mission d’améliorer la connaissance et la construction des savoirs sur les questions de mise en danger et de protection des enfants, l’ONED propose régulièrement de rapprocher acteurs de la recherche et de la pratique en organisant des journées d’étude. Dans cette optique, et afin de faire connaître les résultats des recherches retenues dans le cadre de l’Appel d’offres 2010 autour du thème « La santé des enfants accueillis au titre de la protection de l’enfance », qui sont actuellement en cours de finalisation, nous vous invitons à retenir dans vos agendas la date du
Journée 2013 de l’ONED :
« La santé des enfants accueillis au titre de la Protection de l’enfance »
Journée d’étude à Paris présentant notamment les conclusions de... plus d'infos sur www.oned.gouv.fr
Permanence pour les proches de prisonnier(e)s
NDLR : Je découvre un blog, « Contre tous les lieux d'enfermement », et leur petite rubrique Psychiatrie. Il semble s'agir d'une petite association ou d'un « Relais d'informations sur les lieux d'enfermement et sur les actions menées pour briser l'isolement des personnes incarcérées et de leurs proches ». Je vais aller les rencontrer, et discuter avec eux, discuter du contenu de mon propre blog, de ce qui s'est tramé entre février et avril 2013, ainsi que du « placement » de ma fille ainée. En les lisant, j'ai également découvert sansremede.fr, un « journal alimenté par des vécus et des points de vues sur le système psychiatrique ». Je ne suis pas sûr qu'ils pourront rire de mes publications ; je trouve les leurs très drôles, surtout très réalistes. Je me doutais que je profiterais pleinement de ces cinq semaines d'enfermement, à Paul Giraud, où j'ai pu étudier l'univers psychiatrique autrement que par l'intermédiaire de témoignages de personnes enfermées, soignées ou traitées, et surtout autrement encore que par l'intermédiaire d'opinions de professionnels oeuvrant ou sévissant dans ces milieux...
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La BNF
NDLR : Après Beaubourg, le musée national d'art moderne, j'ai rapidement pensé à cet autre projet, la BNF. Elle est à mon agenda, rubrique sorties, escapades « hors cadre » ou escalades. Aujourd'hui, je m'y suis promené pour revoir son architecture et ses structures. Ce n'est plus qu'une question de date, et de météo. En août 2004, le monde des arts était affolé, et certains milieux étaient scandalisés : un conservateur, vice-président de l'OSE France, était soupçonné d'avoir subtilisé et revendu un manuscrit hébraïque. Quelques temps plus tard, ma fille ainée, « placée » alors à l'OSE France, dans leur établissement de Taverny, allait elle aussi disparaitre... Qu'aucun commissaire ou préfet ne me fasse chier, après Istres et même Toulouse, ils ont mieux à faire.
Beaubourg
Je redoutais le pire alors que je préparais l'escalade de Beaubourg, le musée national d'art moderne. Je repensais à une citation de Michel Ange, en craignant la façon dont réagirait l'Administration et les plus anxieux ou fragiles des français. « Le plus grand danger pour la plupart d'entre nous n'est pas que notre but soit trop élevé et que nous le manquions, mais qu'il soit trop bas et que nous l'atteignons. » Avec les opinions que s'en sont faites quelques fonctionnaires et psychiatres, et ce que l'Administration m'a infligé, 5 semaines d'enfermement assortit d'un procès de singe, j'ai été bien servi. Depuis qu'on trouve toutes sortes de fruits au supermarché, dans des cartons, la plupart des français n'ont probablement jamais grimpé sur un mur ou à un arbre pour y cueillir une pomme
Conseil municipal de Fresnes, le prochain...
@barbpanther Je note, merci :-)prochains débats, au conseil municipal du 28 mars :-)
— Bruno Kant (@bkant) 1 mars 2013
@place_beauvau A Fresnes, on doit juste parler beaucoup de choses que le maire souhaite imposer, et de rien d'autre? justice.cloppy.net/index.php/sort…
— Bruno Kant (@bkant) 1 mars 2013
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Conseil municipal
Conseil municipal fresnes94.fr/agenda/fiche/c… Vendredi 1er mars à 19h
— Bruno Kant (@bkant) 25 février 2013
Concours de la Conférence : la 7ème séance
Concours de la Conférence :la7ème séance aura lieu le 25 février à 19h30, avec pour invité le journaliste Stéphane Durand-Souffland.
— Marine Babonneau (@marinebab) 18 février 2013
A faire au mois de mai : égorger un agneau, place Vendôme
NDLR : Sur Twitter, un illustre inconnu ou arriviste m'a agacé, pour une histoire de poussin crevé, un animal mort et une carte de visite que j'avais envoyé au Ministère de la justice, par la Poste, en février 2009, à l'attention du Garde des Sceaux, Rachida Dati. En réaction à quelques tweets de @PontdArcole_, car ça suffit, les injures et les jugements péremptoires, j'ai décidé qu'en mai prochain, j'irais égorger un agneau sur la place Vendôme.
@pontdarcole_ @bkant @b_roger_petit @joanovici @abbegrosjean vous vous pensez sûrement très drôle mais vous êtes pervers et infâme
— Pont d'Arcole (@PontdArcole_) 16 février 2013
@pontdarcole_ Je ne prendrais même pas le soin de l'étourdir, direct, je l'égorgerais. Bêêeê.... #pschitt
— Bruno Kant (@bkant) 16 février 2013
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Estelle Mouzin : « en souvenir de la jeune disparue, une manifestation »
AFP/L'Echo Républicain, extrait - En France, le cas de disparition le plus connu de ces dix dernières années est celui d'Estelle Mouzin, qui a disparu sur le chemin de l'école le 9 janvier 2003 à Guermantes en Seine-et-Marne, à l'âge de de 9 ans. L'enquête pour la retrouver a été jalonnée de multiples fausses pistes, mais son père entend toujours "ne rien lâcher". Comme chaque année, en souvenir de la jeune disparue, une manifestation, organisée par l'Association Estelle, aura lieu samedi à 12 janvier à Guermantes (Seine-et-Marne) avec comme mot d'ordre: "non à l'oubli".
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