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Congrès PS : « confusion maximum » et « constat d'échec » selon l'UMP
12:26 - dimanche 16 novembre 2008 - Ouest-France
Congrès PS: "confusion maximum" et "constat d'échec" selon l'UMP
Dominique Paillé, un des porte-parole de l'UMP, a estimé dimanche que le congrès socialiste de Reims s'achevait sur une "confusion maximum" et un "constat d'échec". Dans un communiqué, l'UMP considère que "le grand enseignement de ces deux jours de congrès socialiste, c'est la confirmation que ce parti n'a pas de projet pour la France, pas de programme à proposer aux Francais et qu'il est incapable de nourrir un autre débat que celui de ses éventuelles alliances... C'est l'aveu incontestable que le PS a en définitive acté sa totale impuissance à entraîner derrière lui une majorité de nos concitoyens et qu'il admet désormais ne plus pouvoir être le vrai moteur de l'opposition. C'est sans doute ce constat d'échec qui restera l'enseignement majeur de ce congrès", conclut M. Paillé.
Plus d'informations demain dans Ouest-France
Congrès de Reims : le PS déchiré
Créé le 28/10/08 - Dernière mise à jour le 16/11/08 à 17h22 - Europe 1
Pour la première fois depuis le funeste Congrès de Rennes en 1990, le PS est sorti de son 75e congrès à Reims sans majorité pour le gouverner. Incapable de trouver le moindre accord sur une orientation et un nouveau leader. Après plusieurs heures de discussions tendues, la "commission des résolutions" s’est séparée sur un constat d’échec dans la nuit de samedi à dimanche.
Depuis l'ouverture du Congrès, le principal point de blocage s'est cristallisé autour des alliances entre socialistes et centristes du MoDem que Ségolène Royal juge souhaitable d'ici 2012 pour évincer Nicolas Sarkozy. Une option que refuse l'ensemble des autres courants. Pour lever ce qu'elle considère comme "un prétexte" visant à lui faire obstacle, la présidente du Poitou-Charentes avait proposé samedi devant le congrès une "consultation directe des militants" sur cette question.
Les militants socialistes arbitreront donc jeudi par leur vote le match qui opposera Martine Aubry, Ségolène Royal et Benoît Hamon. Bertrand Delanoë a décidé, lui, de ne pas se présenter en déclarant : "nous n'ajouterons pas de la division à la division".
Congrès du PS : et maintenant ?
Créé le 16/11/08 - Dernière mise à jour à 16h25 - Europe 1
Ségolène Royal peut-elle être élue Première secrétaire du PS ? Quelle sera l'attitude des militants pro-Delanoë? Une alliance Aubry-Hamon peut-elle se faire en cas de second tour ? Le PS peut-il éclater ? L'échec du congrès de Reims pose beaucoup de questions sur l'avenir du Parti socialiste...
Les membres de L'Arche de Zoé n'en ont pas fini avec la justice
Dépêches - France
Un an après, les membres de L'Arche de Zoé n'en ont pas fini avec la justice
leparisien.fr avec AFP | 25.10.2008, 10h38
Un an après le début de l'affaire, les membres de l'Arche de Zoé, pour la plupart mis en examen par la justice française, continuent de mettre en avant face aux juges le caractère désintéressé de l'opération qui visait à exfiltrer 103 enfants du Tchad vers la France.
Arrêtés le 25 octobre 2007 à Abéché (est du Tchad), le président de l'association Eric Breteau, sa compagne et assistante Emilie Lelouch, le médecin Philippe van Winkelberg, les logisticiens Alain Péligat et Dominique Aubry et l'infirmère Nadia Merimi ont été condamnés deux mois plus tard à N'Djamena à huit ans de travaux forcés.
Transférés en France puis graciés le 31 mars par le président tchadien Idriss Deby, ils sont encore censés régler 6,3 millions d'euros aux familles tchadiennes, des indemnités juridiquement "impossible à mettre en oeuvre" selon la défense.
Ils n'en ont pas fini avec la justice pour autant. Une instruction est toujours en cours à Paris pour escroquerie, exercice illégal de l'activité d'intermédiaire en vue d'adoption et aide au séjour irrégulier de mineurs étrangers.
Mis en examen, Eric Breteau, Emilie Lelouch, Philippe van Winkelberg et Alain Péligat encourent dix ans de prison et 750.000 euros d'amende.
Nadia Merimi et Dominique Aubry ont quant à eux été placés sous le statut de témoin assisté, un statut intermédiaire entre celui de mis en examen et de simple témoin.
Pour Me Jean-Claude Guidicelli, avocat de Philippe van Winkelberg et d'Alain Péligat, cette instruction n'est qu'un "dossier alibi, un dossier politique".
Les mis en examen, qui espèrent un non-lieu, ont fait l'objet d'expertises psychologiques. Elles soutiennent que les membres de l'Arche avaient "agi de manière désintéressée, altruiste. Ce sont des personnes qui ont laissé parler leurs sentiments", selon Me Guidicelli.
Le changement de nom de L'Arche de Zoé au Tchad pour celui de Children Rescue, les faux pansements dont les enfants ont été affublés avant leur exfiltration? Des actes expliqués par l'urgence, soutient l'avocat.
"Ils étaient dans l'action, pas toujours dans la réflexion, il fallait parer au plus pressé", soutient-il.
Depuis leur libération, tous reprennent possession de leur vie mais gardent à l'esprit le "lynchage" dont ils estiment avoir été l'objet de la part des autorités et des médias, soutiennent leurs avocats.
Eric Breteau "va plutôt bien mais il reste convaincu que ces enfants devaient être sauvés et qu'il a échoué, c'est perturbant", affirme son conseil Me Céline Lorenzon. Il a repris une activité professionnelle que l'avocate ne veut pas préciser "pour ne pas qu'il perde" son emploi.
Nadia Merimi a repris son métier d'infirmière, Alain Péligat s'est accordé une année sabbatique.
Le médecin Philippe van Winkelberg exerce à nouveau mais "éprouve des difficultés à se reconstruire, il a été couvert d'opprobre", note Me Guidicelli.
Dominique Aubry "a repris sa vie, pompier dans le sud de la France. Parfois les gens le reconnaissent, ça le replonge dans cette histoire douloureuse", confie son avocat Me Olivier Desandre-Navarre.
Un an après, les membres de l'expédition restent "unis comme les doigts d'une main", selon Me Guidicelli. Mais pour son avocat, Dominique Aubry est "amer" vis-à-vis d'Eric Breteau: "il s'est rendu compte qu'il n'avait pas toutes les informations qu'il aurait dû avoir" sur les conditions et la finalité de l'opération.
Des éléments auxquels la justice française doit encore répondre.
Exclusif : « dire sans preuve, c'est du charlatanisme »
EXCLUSIF
Pistolet Taser : les huissiers chez Aubry
leparisien.fr | 07.10.2008, 16h23 | Mise à jour : 17h20, extrait
INFO LE PARISIEN. Deux huissiers se sont présentés lundi à la mairie de Lille pour présenter une sommation au nom de Martine Aubry de la part de la société SMP Technologies, distributeur exclusif en France du pistolet Taser X 26. Interrogée dimanche dernier sur Dimanche + (Canal +), pour savoir si elle équiperait les policiers municipaux de sa ville de ce pistolet à impulsions électriques, la maire de Lille avait répondu non.
«C'est dangereux, cela a déjà fait 290 morts en Amérique du Nord» avait-elle justifié. L'utilisation de cet équipement par les policiers municipaux a été autorisé fin septembre par un décret du ministère de l'Intérieur.
«Dire sans preuve, c'est du charlatanisme»
Crise financière internationale : la tempête continue à balayer la planète
France
Face à la crise, les impôts pourraient augmenter
ladepeche.fr, le 26/09/2008, extrait
Aujourd'hui, les promesses du candidat Sarkozy sont devenues mission impossible. Avant d'entrer à l'élysée, il avait promis de rendre 68 milliards d'euros aux ménages...
PARIS (AFP) - La crise financière donnait de nouveaux signes d'aggravation vendredi avec la fermeture dans la nuit de la banque américaine Washington Mutual tandis que l'inquiétude croissait sur les marchés faute de progrès sur le plan de sauvetage américain.
TOULON (AFP) - Alors que la tempête financière continue à balayer la planète et que la croissance pique du nez, Nicolas Sarkozy a reconnu jeudi à Toulon la gravité d'une crise qui suscite "la peur" mais s'est engagé à protéger les Français de ses effets et à continuer les réformes.
La presse française se montre critique au lendemain de ce discours de Toulon en notant que le président profite de la crise pour vanter sa politique de réformes sans annoncer de solution mais elle salue son talent pour faire "du Sarkozy".
Royal dénonce "l'écart entre le discours et les actes" de Sarkozy
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Sarkozy, un "leurre" en matière économique, selon Peyrelevade
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Le gouvernement présente un budget 2009 en forme de casse-tête
AFP - Vendredi 26 septembre, 09h03
La justice considère que l'appel des membres de l'Arche de Zoé est devenu « sans objet » après leur grâce
PARIS (AP) - La justice française a considéré cette semaine que l'appel formé par les membres de l'Arche de Zoé contre leur condamnation à huit ans d'emprisonnement était "devenu sans objet" après leur grâce, a-t-on appris vendredi de source judiciaire.
Le président tchadien Idriss Déby a gracié le 31 mars les six Français condamnés en décembre dernier à N'Djamena à huit ans de travaux forcés pour tentative d'enlèvement de 103 enfants. Le 28 janvier dernier, leur peine avait été transposée dans le droit français à huit ans de prison par le tribunal de Créteil (Val-de-Marne). Leurs avocats avaient fait appel. L'audience avait été fixée au 14 avril devant la cour d'appel de Paris.
Mais cette semaine, la présidente de la 10e chambre des appels correctionnels a affirmé que leur appel était "devenu sans objet", leur grâce les dispensant de purger leur peine, précise-t-on de source judiciaire.
L'avocat d'Emilie Lelouch, Me Gilbert Collard, a précisé que sa cliente avait de toute façon l'intention de "se désister de son appel". Elle "n'avait pas du tout l'intention de se présenter devant la cour d'appel" car elle avait peu d'espoir sur l'issue de l'audience, a-t-il expliqué à l'Associated Press.
"En l'état de la grâce, le débat devient sans objet", a-t-il ajouté. "On ne peut pas demander à une juridiction de confirmer une décision qui est graciée (...) C'est une manière juridique de nous priver d'une audience au cours de laquelle on aurait pu dénoncer les violations commises pendant le procès au Tchad".
Me Collard a précisé que cette condamnation était inscrite au casier judiciaire mais qu'ils allaient "bientôt" engager des démarches" pour obtenir sa suppression.
L'avocat de Nadia Mérimi, Me Mario Stasi, a fait savoir qu'il avait lui aussi l'intention de se "désister de l'appel". "La sanction n'existant plus, elle n'a plus à être transposée. Le seul problème qui demeure, c'est le principe d'une condamnation". Il a précisé à l'AP que sa cliente était sortie de l'hôpital vendredi matin et voulait "se reposer pour pouvoir recommencer à travailler dans les meilleurs délais et dans la discrétion". Il y a "une volonté de discrétion de sa part (...) Elle veut aider à l'oubli", a souligné Me Stasi.
Quatre des six membres de l'Arche de Zoé -Eric Breteau, Emilie Lelouch, Philippe Van Winkelberg et Alain Péligat- ont été mis en examen en France dans le cadre de l'enquête française ouverte en octobre par le parquet de Paris pour "exercice illicite d'intermédiaire en vue de l'adoption ou d'un placement d'un enfant" puis élargie à des faits d'"escroquerie" et d'"aide au séjour irrégulier de mineurs étrangers en France". Nadia Mérimi et Dominique Aubry ont été entendus comme témoins assistés.
François Fillon souhaite que « cette affaire serve de leçon »
M. Fillon a indiqué aussi que "la France se réjouissait" que le président tchadien Idriss Deby Itno ait pris cette décision" de grâce. "Nicolas Sarkozy a fait la pression qui s'imposait pour qu'il prenne cette décision humanitaire", a-t-il ajouté en souhaitant que "cette affaire serve de leçon à tous ceux qui seraient tentés de se lancer dans le même type d'entreprise que celle de l'Arche de Zoé".
PARIS (AFP) - Les six Français de l'Arche de Zoé, graciés par le président tchadien, trois mois après leur condamnation pour avoir tenté d'exfiltrer 103 enfants vers la France, ont été libérés dans la soirée de lundi, et ce sans que la France ait payé quoi que ce soit, selon le Premier ministre.
Sur les ondes de la radio France Inter, François Fillon a affirmé mardi que "bien sûr, la France n'a rien payé" pour la libération de ses six ressortissants.
Interrogé sur le règlement des 6,3 millions d'euros que les condamnés doivent verser "solidairement" aux familles des 103 enfants, le Premier ministre a exclu que l'Etat s'en charge. "Il est hors de question que le contribuable français paie six millions d'euros pour des erreurs que la France n'a pas commise", a-t-il dit.Cette question "n'est pas concernée par la grâce", a indiqué le gouvernement tchadien..
Nicolas Sarkozy assure qu'il tient compte des critiques sur son style
LONDRES (AFP) - Le président français Nicolas Sarkozy a assuré mercredi dans un entretien accordé à la radio BBC qu'il tenait compte des critiques qui lui avaient été adressées sur son style, responsables pour partie de sa récente chute dans les sondages.