Catégorie: L'improbable
Une Marocaine en burqa se voit refuser la nationalité française
Une Marocaine en burqa se voit refuser la nationalité française
LE MONDE | 11.07.08 | Extrait
La commissaire du gouvernement (chargée de donner un avis juridique), Emmanuelle Prada-Bordenave, a insisté sur les entretiens qu'a eus le couple avec les services sociaux et la police. A trois reprises, Faiza M. se serait présentée "recouverte du vêtement des femmes de la péninsule arabique, longue robe tombant jusqu'aux pieds, voile masquant les cheveux, le front et le menton et une pièce de tissu masquant le visage et ne laissant voir les yeux que par une fente".
Le couple reconnaît "spontanément" son appartenance au salafisme. Ce courant de l'islam, qui prône une lecture littérale et rigoriste du Coran, s'inspire du mode de vie des premiers fidèles du prophète Mahomet. Faiza M. a affirmé qu'elle n'était pas voilée quand elle vivait au Maroc et a indiqué "qu'elle n'a adopté ce costume qu'après son arrivée en France à la demande de son mari et qu'elle le porte plus par habitude que par conviction".
"D'après ses propres déclarations, a souligné la commissaire du gouvernement, elle mène une vie presque recluse et retranchée de la société française. Elle n'a aucune idée sur la laïcité ou le droit de vote. Elle vit dans la soumission totale aux hommes de sa famille ." Faiza M. semble "trouver cela normal et l'idée même de contester cette soumission ne l'effleure même pas", a ajouté Mme Prada-Bordenave, estimant que ces déclarations sont "révélatrices de l'absence d'adhésion à certaines valeurs fondamentales de la société française".
Parallèlement, il est apparu que Mme M. "parle bien français", un critère habituellement retenu dans l'attribution de la nationalité et que, durant ses grossesses, elle a été suivie par un gynécologue homme.
Pour la première fois en France, le Conseil d'Etat a pris en compte le niveau de pratique religieuse pour se prononcer sur la capacité d'assimilation d'une personne étrangère. Il vient de confirmer fin juin la validité d'un décret refusant à une Marocaine musulmane l'acquisition de la nationalité française, en se fondant sur "une pratique radicale de la religion incompatible avec les valeurs essentielles de la communauté française". Elle s'était présentée à ses entretiens pour demander la nationalité vêtue d'une burqa qui la couvrait entièrement. Jusque-là les refus de nationalité française dans la communauté musulmane étaient réservées aux personnes qui avaient des liens avec les fondamentalistes. Un article du 11/07/08 à lire sur Europe 1 / France Info.
PARIS (Reuters) - Une Marocaine mariée à un Français et mère de trois enfants nés en France s'est vu refuser la nationalité française en raison d'une pratique radicale de sa religion, écrit vendredi Le Monde.
Une Marocaine salafiste s'est vu refuser sa demande au motif que son «comportement en société est incompatible avec les valeurs essentielles» de la France. A lire sur le Figaro.
Nucléaire et hasard du calendrier
Paris, le 09 juillet 2008
Extrait d'un Communiqué de presse de l'Autorité de Sureté Nucléaire
L'élaboration d'une doctrine nationale sur la gestion post-accidentelle d'un accident nucléaire constitue une priorité pour l'ASN
PARIS (AFP) - Non fonctionnement d'une cuve de rétention, délai dans le signalement de l'incident, absence de chiffre précis sur la radioactivité : plusieurs questions se posent au lendemain de l'annonce de rejets d'uranium à l'extérieur du site nucléaire de Tricastin, dans le Vaucluse.
L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a indiqué qu'une inspection prévue jeudi allait tenter de faire la lumière sur ce qui s'est passé dans la nuit de lundi à mardi à la société Socatri, filiale d'Areva chargée de traiter et de récupérer de l'uranium enrichi sur le site de la centrale nucléaire par la société Eurodif.
« L'homme enceint » a accouché d'une fille
"Notre situation est pleine d'inconnus, au niveau social, politique, légal", écrivait M. Bettie, ajoutant avoir rencontré l'hostilité ou les réticences de personnel médical, d'amis et de membres de la famille.
WASHINGTON (AFP) - Un transexuel américain, qui était né femme avant de subir des traitements pour devenir un homme, a donné naissance hier à une petite fille.
Carcassonne : 16 blessés dans une caserne militaire
Carcassonne : 16 blessés
dans une caserne militaire
La Figaro, avec AFP et AP, extrait
Un soldat a tiré à balles réelles au lieu de balles à blanc au cours «d'une démonstration d'assaut» pour la libération d'otages. Le pronostic vital est engagé pour deux blessés.
Seize personnes, un militaire et quinze civils, ont été blessés, dont onze grièvement, dimanche, peu avant 18 heures, lors d'une démonstration de libération d'otages dans la caserne Laperrine de Carcassonne. Le drame s'est précisément produit lors d'une démonstration du Groupe de commandos parachutistes (GCP) du 3ème Régiment de parachutistes d'infanterie de marine lors d'une journée portes-ouvertes, a précisé le colonel Benoît Royal, chef du Sirpa-Terre (service d'information de l'Armée de terre).
«Pour une raison incompréhensible, des munitions à balles réelles ont été utilisées à la place de cartouches à blanc», a-t-il indiqué, soulignant «l'incompréhension et la perplexité» de l'armée de terre devant cet événement. Il y avait eu déjà cinq présentations similaires de 20 minutes montrant des techniques d'intervention de libération d'otages et le drame s'est produit au cours de la sixième.
Les différentes enquêtes (justice, police, administrative), selon le ministère, devront déterminer les raisons de cet emploi «totalement aberrant de balles réelles» au lieu de munitions à blanc, aucune hypothèse ne pouvant être privilégiée à ce stade. Aucun détail n'a été donné dans l'immédiat sur le type d'arme employé.
Incident rarissime à l'hôpital parisien Saint-Antoine
PARIS (AFP) - L'hôpital parisien Saint-Antoine a été victime d'une panne d'électricité "rarissime" dans la nuit de mercredi à jeudi, qui a plongé l'établissement dans le noir nécessitant l'évacuation de cinq malades en réanimation par précaution.
"C'est un incident rarissime. Il n'y a eu aucune aggravation de patient, nous avons travaillé en collaboration étroite avec le Samu de Paris pour évacuer les 5 malades graves qui étaient en réanimation", a déclaré à l'AFP le Dr Patrick Pelloux, médecin aux urgences.
L'employé licencié pour avoir voulu changer de sexe témoigne
MetroFrance.com 11-06-2008, extrait
Privé de garde pour cause de diabète
Le tribunal de Niort a refusé à un père la garde régulière de son fils de deux ans pour cause de… diabète.
S’estimant victime de discrimination, Jérôme a immédiatement contacté la Halde (haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité) qui s’est dite « incompétente s’agissant d’une affaire de justice ».
NDLR : A la suite, les prénoms ont été modifiés.
DISCRIMINATION.
L'employé licencié pour avoir voulu changer de sexe témoigne
jeudi 19 juin 2008 | Le Parisien, extrait
Il se prénomme Germain, mais se fait désormais appeler Anne. Ce père de famille, licencié après avoir annoncé à son patron qu'il souhaitait changer de sexe, a obtenu réparation devant les prud'hommes. Il s'exprime pour la 1re fois sur son combat.
EN JUIN 2005, Germain était embauché en tant que directeur administratif et financier chez K., une société multimédia de Montpellier (Hérault). Fin 2006, ce père de deux enfants annonçait à son employeur et à ses collègues son souhait de changer de sexe. Or, quelques semaines plus tard, Germain, devenu Anne, recevait une lettre de licenciement pour « manquements professionnels ».
A la suite de la décision de son employeur, Anne porte plainte et saisit la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde) qui l'a soutenue lors de l'audience fin mars. Le 9 juin, le jugement rendu par les prud'hommes de Montpellier lui donne raison. Le conseil considère le licenciement nul car discriminatoire et condamne K. à verser à son ancien cadre 25 000 € de dommages et intérêts et 32 440 € d'arriérés de salaires. L'entreprise a d'ores et déjà annoncé son intention de faire appel.
C’est une décision qui va faire des vagues et très certainement jurisprudence. C’est une première en France. Ce lundi après-midi, le conseil des Prud’hommes de Montpellier a considéré le licenciement de Anne par son employeur K. pour cause de transexualisme, abusif et discriminatoire.
Anne, c’était Germain, marié et père de deux enfants. Il était depuis 2005 directeur administratif et financier dans une entreprise multimédia spécialisée dans la création de sites sur internet. Quand il a décidé d’annoncer, en septembre 2006, sa volonté de changer de sexe, il a été licencié.
Hier, les juges des Prud’hommes ont donné raison à Anne, fortement appuyé(e) par la Halde. « C’est une excellente décision car la discrimination est reconnue. C’est la conversion sexuelle qui avait motivée le licenciement et qui a été sanctionnée par les juges », se félicitent son avocate et Hussein Burgi du Collectif de lutte contre l’homophobie.
De son côté, Anne lâche : « C’est une conclusion normale à un processus qui n’aurait jamais du débuter ».
Outre la nullité du licenciement, K., qui va faire appel, est condamné à verser 25 000 euros de dommages et intérêts à Anne. La page Germain peut enfin se tourner.
De source ... .midiblogs.com
Un mariage annulé car l'épouse avait menti sur sa virginité
Mariage d'une épouse non vierge annulé: Elisabeth Badinter «ulcérée» • «La sexualité des femmes est une affaire privée et libre en France», affirme la philosophe française, qui exprime sa «honte» pour la justice française.
afp
LIBERATION.FR : jeudi 29 mai 2008
«Et je vous dis franchement, je pense à cette malheureuse jeune fille, humiliée, publiquement humiliée, revenant dans sa famille, ce qu'elle a dû vivre a dû être épouvantable. J'ai honte que la justice française n'ait pas pris a coeur de défendre toutes ces jeunes filles», a-t-elle conclu.
Pour Me Labbée, la question de la religion n'est "pas essentielle". "Il faut ramener la question au mensonge. La solution aurait été la même pour quelqu'un ayant (...) caché quatre pages de casier judiciaire, le fait d'avoir déjà été plusieurs fois marié ou de s'être prostitué", a-t-il noté.
"C'est la question d'une qualité qui a été dissimulée", a-t-il ajouté. Il a cité une décision judiciaire de 1862, annulant un mariage au motif que la femme avait découvert que son mari était un ancien bagnard.
La philosophe et écrivain française Elisabeth Badinter a dit jeudi sa "honte" pour la justice française après la décision du tribunal de grande instance de Lille d'annuler un mariage parce que l'épouse du futur mari, musulmane comme lui, n'était pas vierge.
LILLE (France) (AFP) - La justice française a annulé un mariage au motif que l'épouse, de religion musulmane comme son mari, avait menti sur sa virginité, a-t-on appris jeudi auprès de l'avocat du mari, Me Xavier Labbée.
L'union a été annulée "pour erreur sur les qualités essentielles du conjoint" par un jugement du tribunal de Lille (nord) rendu en avril.
Quinze femmes accusées de sorcellerie brûlées vives
KENYA
Quinze femmes accusées de sorcellerie brûlées vives
mercredi 21 mai 2008, 16h15 | leparisien.fr avec l'AFP
Quinze femmes ont été brûlées vives mardi soir dans un village de l'ouest du Kenya par une foule en colère qui les accusait de sorcellerie.
Une centaine de personnes en colère ont fait du porte à porte dans le village de Nyakeo, à 300 km à l'ouest de Nairobi, ligotant les victimes avant de les brûler.
«C'est inacceptable. Les gens ne peuvent pas se faire justice eux-mêmes juste parce qu'ils suspectent quelqu'un.
Nous ferons la chasse aux suspects», a déclaré le responsable local du district, Mwangi Ngunyi.
Des dizaines de personnes soupçonnées de sorcellerie ont été tuées dans l'ouest du Kenya dans les années 1990, alors que couraient des rumeurs de mauvais sorts jetés qui rendaient les gens cannibales, sourds, muets ou somnambules, donnant à cette région la réputation d'être une «zone de sorciers».
Insolite
Le «criminel le plus idiot» privé d'internet
mercredi 21 mai 2008, 21h10 | AFP, le Parisien
Cet Anglais de 23 ans diffusait sur YouTube les vidéos de ses forfaits.
Un Britannique s'est vu gratifier du titre de «criminel le plus idiot» d'une ville du nord de l'Angleterre après avoir diffusé sur la plate-forme d'hébergement de vidéos YouTube plus de 80 vidéos le montrant en train de commettre des infractions.
Un tribunal de Leeds a interdit temporairement mardi à Andrew Kellett, 23 ans, de se vanter de ses infractions en les montrant sur l'internet, a indiqué mercredi un conseiller municipal de la ville, Les Carter.
Cette interdiction est valable pendant un mois.
Le jeune homme s'était filmé, parfois avec d'autres personnes, en train notamment de consommer des drogues dures, de faire des courses de voitures à vive allure, de proférer des insultes ou encore de pénétrer par effraction dans des propriétés. Il s'était même filmé au cours d'une audience au tribunal de Leeds, où il avait été condamné à une peine avec sursis pour une de ces infractions.
«Kellett est en lice pour être désigné le criminel le plus idiot de Leeds. Il nous a fourni les preuves contre lui sur un plateau», a souligné M. Carter.
Russie : fin de partie pour la secte apocalyptique retranchée sous terre
Le parquet communique chaque jour avec les illuminés via les bouches d’aérations pratiquées dans le sol. L’assaut de la caverne n’est pas envisagé. Le Figaro, 16/11/2007
MOSCOU (AFP) - Les neuf derniers adeptes d'une secte ultra-orthodoxe apocalyptique russe retranchée sous terre sont remontés vendredi à la surface, chassés par les émanations du corps de l'un des leurs, tirant un trait sur une saga tragi-comique de plus de six mois.
Une Autrichienne séquestrée 24 ans par son père
Ni les voisins, ni les services sociaux ne semblent avoir été alertés dans cette affaire qualifiée de cas le plus dramatique de l'histoire criminelle autrichienne. Elle rappelle celui de Natascha Kampusch, retenue pendant huit ans et demi dans le sous-sol d'un pavillon de la banlieue de Vienne entre mars 1998 et août 2006 lorsqu'elle a réussi à s'échapper. Son ravisseur s'est suicidé le soir de l'évasion.
Une Autrichienne séquestrée 24 ans par son père
dimanche 27 avril 2008, 20h30 | AFP, le Parisien, extrait
VIENNE (AFP), extrait - Une nouvelle affaire spectaculaire de séquestration a éclaté en Autriche avec la révélation dimanche du cas d'une femme séquestrée pendant plus de 20 ans par son propre père qui lui aurait fait sept enfants, selon les enquêteurs.
Dans un état psychologique et physique précaire, Elisabeth Fritzl, 42 ans, a affirmé à la police avoir vécu enfermée dans la cave de la maison familiale à Amstetten en Basse-Autriche (est) depuis le 28 août 1984.
Ce jour-là, le père, Josef, aujourd'hui âgé de 73 ans et mis sous les verrous samedi soir, lui aurait administré un produit anesthésiant et l'aurait menottée dans une pièce en sous-sol.
Officiellement, elle avait été portée disparue et aurait même envoyé une lettre à ses parents demandant qu'on arrête les recherches pour la retrouver. Les autorités en avaient déduit qu'elle était tombée entre les griffes d'une secte.
En réalité, elle a dû endurer des années de calvaire dans la cave du petit immeuble où résidait la famille au cours desquelles son père a "régulièrement abusé" d'elle, comme elle l'a raconté à la police. Elle aurait ainsi eu sept enfants de son père pendant sa détention.
VIENNE (AFP), extraits - Au cours d'une conférence de presse à Amstetten, un porte-parole du parquet de Sankt-Pölkten, Gerhard Sedlacek, a qualifié de "crédibles" les déclarations de Mme Fritzl qui accuse son père de "crimes massifs".
L'Autriche a connu ces dernières années plusieurs cas de séquestrations spectaculaires, dont le cas de la jeune Natascha Kampusch retenue par un homme pendant huit ans dans le sous-sol d'une maison de la banlieue de Vienne avant qu'elle ne réussisse à s'enfuir et celui de trois petites filles obligées par leur mère, malade mentale, à vivre recluses pendant sept ans près de Linz.
Polémique autour d'un logiciel de la police
Discrimation
Polémique autour d'un logiciel de la police
mardi 15 avril 2008, 18h04 | leparisien.fr, extrait
Un nouveau logiciel de la police, baptisé «Ardoise», suscite une polémique, des associations redoutant des «dérives» avec l'utilisation de données personnelles, alors qu'un syndicat de policiers craint un «usage discriminatoire».
«Ardoise» met en évidence un certain nombre de données et de profils, classés par rubriques et destinés, selon ses concepteurs, à «cerner» la victime ou le présumé auteur des faits.
Ce sont ces rubriques qui ont sucité un tollé: le policier est invité à cliquer par exemple sur «mineur en fugue», «sans domicile fixe», «personne âgée», «permanent syndical», «membre d'une secte», «transsexuel» ou «homosexuel».
Découverte d'un immense gisement de pétrole au large du Brésil
Découverte d'un immense gisement de pétrole au large du Brésil
LEMONDE.FR avec AFP, Reuters et AP | 15.04.08 | Extrait
... Cette découverte pourrait avoir des conséquences non négligeables sur l'économie mondiale. "Cela mettrait un terme à toutes ces annonces qui affirmaient que l'on n'avait plus de pétrole, que l'on n'en découvrirait plus et qu'il fallait qu'on change notre mode de vie", explique par exemple Roger Read, un analyste énergetique chez Natixis, cité par l'Associated Press.
« Ils ont refusé de me rendre mes affaires » a raconté M. Salisbury
"Je leur ai dit que j'étais le propriétaire, mais ils ont refusé de me rendre mes affaires" a raconté M. Salisbury au Mail Tribune. "Ils m'ont montré l'annonce de Craigslist imprimée, et m'ont dit qu'ils avaient le droit de le faire". Et le camion est parti.
NEW YORK (AFP) - "Tout est à prendre chez moi, gratuitement, cause départ": une fausse annonce sur le populaire site Craigslist a coûté gros à un habitant de l'Oregon (nord des Etats-Unis), où les gens sont venus se servir chez lui, emportant même son cheval.
Un distributeur de billets double la mise
LONDRES (Reuters) - Un distributeur automatique de billets est devenu le temps d'un après-midi l'endroit-porte bonheur de la ville de Hull, dans le nord de l'Angleterre, en donnant le double de la somme demandée.
Des centaines de personnes se sont pressées pour utiliser le DAB situé devant un supermarché de la ville. Les plus chanceux ont pu demander 300 livres (385 euros), le retrait maximum, et recevoir 600 livres (770 euros), le reçu indiquant 300 livres.
Ce n'est qu'au bout de plusieurs heures de "surchauffe" que le distributeur, à court de billets, s'est arrêté.
La société qui gère le DAB, Payzone, a admis qu'il pouvait s'agir d'un dysfonctionnement. La police a fait savoir que les bénéficiaires de la "panne" ne seraient inquiétés qu'en cas de plainte de l'opérateur.