Catégorie: Le forcené de Verdun
Suresnes : un forcené se retranche plusieurs heures
Au fil de l'info, Caen, Ouest-France
18:17 - samedi 25 juillet 2009
Retranché chez lui près de Caen, un forcené ouvre le feu
À l’annonce par son épouse de son intention de divorcer, un quinquagénaire s’est emporté puis s’est retranché, vers 14 h, samedi, dans sa maison de Giberville, près de Caen. Le forcené a tiré en l’air à plusieurs reprises. Les policiers, qui ont établi un périmètre de sécurité aux alentours, ont négocié pendant une heure avec le quinquagénaire. En vain : ce dernier a mis fin à ses jours avec son arme.
Faits divers
Hauts-de-Seine
Suresnes: un forcené se retranche plusieurs heures
Le Parisien | 26.07.2009, 20h02 | Mise à jour : 20h02
Un homme de 37 ans s'est retranché chez lui avec ses trois enfants pendant plusieurs heures dimanche après-midi à Suresnes (Hauts-de-Seine) avant d'être appréhendé par les policiers qui menaient sur place la négociation, a-t-on appris de source policière.
Le forcené, ancien militaire de carrière et actuellement au chômage, avait mis sa femme à la porte de leur appartement à la suite d'une dispute, se barricadant avec ses trois enfants, des garçons âgés de 13, 11 et 7 ans, selon cette source, confirmant une information d'Europe 1.
Ce sont les commissaires en charge de la négociation qui ont pu, profitant d'un instant d'inattention de l'homme, pénétrer dans l'appartement et l'arrêter, avec le soutien des policiers du Raid, appelés sur place.
Une dose massive de sédatifs a été administrée à l'homme, sportif de haut niveau et violent au moment de son arrestation, pour le calmer.
Connu dans le quartier pour ses crises de démence, l'homme est actuellement en procès contre son père, accusé d'avoir abusé sexuellement de lui au cours de son enfance, a-t-on appris de même source.
Il a dit aux commissaires présents que son comportement était en grande partie dû a ces événements survenus pendant son enfance, qui «remontaient à la surface par flash», entraînant des accès de violence.
Morbihan
Vannes. Un forcené retranché chez lui par dépit amoureux
21 juillet 2009, Le Télégramme
Durant plus d'une heure, l'accès au quartier de Limoges, à Vannes, a été bloqué, après qu'un homme s'est retranché chez lui avec une arme qui devait se révéler factice. Vers 16h, après avoir entendu deux coups de feu, des voisins ont donné l'alerte à la police, indiquant qu'allée de Limoges, un homme s'était enfermé chez lui avec une arme. Le résidant venait de se disputer avec son amie qui lui avait annoncé qu'elle le quittait. À l'arrivée de la police, l'homme s'est montré récalcitrant, refusant d'ouvrir la porte de son appartement et de se rendre. L'ancienne amie est revenue sur place pour tenter, en vain, de lui faire entendre raison. En fin de compte, après une heure de négociations, le Vannetais, âgé de 32 ans, a fini par se rendre aux forces de l'ordre. Il a alors été transporté à l'hôpital. Le GIPN (Groupement d'intervention de la police nationale) qui faisait route pour intervenir à la résidence du Château de Limoges où demeurait l'individu, a finalement fait demi-tour.
Tags : Faits divers, forcené, retranché
Verdun
24/07/2009 | 12:44
France 3, par SC - CC - VO, extrait
Retour sur la prise d'otage
C'est un problème "d'ordre familial" qui aurait motivé cette prise d'otage, elle a débuté vers 14h30. Les deux employés du Conseil général de la Meuse libérés sont sains et saufs. Le forcené, âgé de 33 ans, n'était pas armé mais il laissé planer le doute jusqu'au moment de l'assaut. Les deux employés du Conseil général ont été séquestrés pendant près de cinq heures. Retour en images sur cette journée.
Une vidéo, à voir sur France 3
Bernard Kouchner vient de créer un pôle religions au Quai d’Orsay
Justice
Michèle Alliot-Marie révoque le juge Patrick Keil
Par LEXPRESS.fr avec Reuters, publié le 24/07/2009 15:38 - mis à jour le 24/07/2009 16:10, extraits
Le ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, a pris la décision de révoquer le juge Patrick Keil, qui avait l'enquête dur le dopage dans le Tour de France 1998. Le magistrat est sanctionné pour une affaire de corruption présumée. [...] Le dossier avait abouti à un procès à Lille en 2000 où avait été reconnue pour la première fois la généralisation du dopage et où le champion français Richard Virenque avait pour la première fois avoué avoir pris des produits interdits. Dans un entretien au Monde publié jeudi, Patrick Keil, délivré de son obligation de réserve, a raconté avoir subi des pressions sur cette affaire relative à l'une des épreuves sportives les plus lucratives au monde. Il affirme que le président du tribunal de Lille lui aurait dit : "Vous êtes indépendant, mais pensez à votre carrière. Virenque, on en parlera encore pendant de longues années". Il a aussi raconté avoir subi des contrôles et des pressions pour ralentir son instruction au moment de l'épreuve. "Il fallait que le Tour aille au bout", a-t-il dit.
Le parcours du juge Patrick Keil, de la Grande Boucle à la grande déprime
LE MONDE | 23.07.09 | 15h32 • Mis à jour le 23.07.09 | 15h32, extraits
Lille Envoyé spécial
Les manches trop longues et les épaules trop larges tombent comme l'as de pique sur son gabarit de poids plume. Patrick Keil est un homme de frêle constitution : 45 kg d'os et de chair qui se répartissent sur 1,57 mètre. Celui qu'on appelait le "petit juge" n'est aujourd'hui qu'un homme en proie à sa déchéance. A 46 ans, dont dix-neuf de magistrature, il attend sans illusion que la garde des sceaux, Michèle Alliot-Marie, signe sa révocation, ainsi que le lui a recommandé le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) mardi 21 juillet.
C'est en 2003 que ce presque ex-magistrat a commencé à sombrer. Lui qui il y a onze ans, en juillet 1998, a fait vaciller le Tour de France et son héros d'alors, Richard Virenque. L'ancien juge de l'affaire Festina a chuté. "Cette affaire est pour moi le début de la fin", analyse-t-il aujourd'hui. Alcool, divorce, garde à vue, mise en examen, prison, Patrick Keil s'est perdu à force de dérives. La justice l'a rattrapé au palais de justice de Montpellier, son lieu de travail, le 12 août 2008. Une sombre histoire qui le mènera d'ici quelques mois devant le tribunal correctionnel où il devra répondre de "corruption passive et de violation du secret professionnel".
[...] En 2004, il est muté au parquet de Montpellier. Sa famille reste à Carcassonne. "Là, on m'affecte au service pénal des divorces. Toute la journée, je voyais défiler dans mon bureau des gens qui avaient les mêmes problèmes que moi. Ce que je vivais sur le plan personnel se reproduisait au boulot", déplore-t-il. Au tribunal, les collègues l'évitent. "J'étais le chat noir."
Seul, loin de ses enfants et de ses proches, Patrick Keil s'enfonce dans le désarroi : "N'ayant plus aucune oreille attentive, j'ai trouvé des amitiés dans des endroits où je n'aurais pas dû aller... Et je suis descendu de la gêne à la misère." Keil boit et dépense sans compter. "Finalement, j'aurais dû écouter les conseils amicaux de mes supérieurs au moment de l'affaire Festina. J'aurais eu ma mutation pour La Réunion et les choses auraient tourné différemment", regrette-t-il.
Bernard Kouchner vient de créer un pôle religions au Quai d’Orsay, une première en France
LE MONDE | 25.07.09 | 12h07 • Mis à jour le 25.07.09 | 12h13, extrait
Certains ne manqueront pas d'y voir un nouveau signe de la "laïcité positive" prônée par le président de la République, Nicolas Sarkozy. D'autres, un esprit du temps qui confère aux religions un rôle-clé dans le supposé clash des civilisations. Depuis le 1er juin, un pôle religions s'est installé au sein de la direction de la prospective du ministère des affaires étrangères, une première en France.
Le forcené du conseil général de la Meuse déféré au parquet
ELLE / Societe / News
Le coup de folie d’un père qui veut récupérer ses enfants
Hier à 14h30, un père de famille a pris en otage deux employés du conseil général de la Meuse dans un bureau d’aide sociale à Verdun. L’homme n’aurait pas supporté que les services sociaux lui retirent la garde de ses enfants. « Ils m’ont volé mes enfants » : c’est l’affiche que le ravisseur avait placardé sur les vitres de l’agence. Une équipe du GIPN s’était déployée en fin d’après-midi. A 19h15, le forcené était neutralisé par les forces de police et les deux otages libérés. « L'intervention s'est bien déroulée et on ne déplore aucune victime, ni parmi les otages, ni au sein des forces de l'ordre », a déclaré la préfecture dans un communiqué. C.C. Le 24/07/09
La Boussolle 74, 24/07/2009 à 10:22, extrait
Prise d’otages à Verdun : Ils m’ont volé mes enfants !
N'arrivant pas à obtenir la garde de ses enfants, il aurait pété les plombs. Sur les vitres de l’agence, il avait placardé deux affiches sur lesquelles on pouvait lire « La justice et le système prennent les citoyens pour des cons et Ils m'ont volé mes enfants ». Selon le Conseil général de la Meuse, il avait réclamé l’autorité parentale de ses trois enfants qui depuis cinq ans étaient sous l’autorité maternelle.
Société
Le forcené du conseil général de la Meuse déféré au parquet
AP | 24.07.2009 | 19:04, extrait
Le forcené qui avait pris deux personnes en otage jeudi après-midi dans des locaux décentralisés du conseil général de la Meuse à Verdun avant d'être maîtrisé, a été déféré vendredi après-midi au parquet de Verdun, a-t-on appris de sources judiciaires.
L'homme de 33 ans est déjà connu des services judiciaires pour avoir été condamné par deux fois pour "port d'arme" en 2003 et 2005 et pour rébellion et dégradations en 2003, ce qui semble avoir justifié l'intervention du GIPN pour le neutraliser, précisait-on. Dans ce nouveau dossier, cet ancien agent de sécurité reconverti dans le BTP pourrait être poursuivi pour "séquestration, dégradations et rébellion" et placé en détention provisoire dès ce vendredi soir.
L'individu a commis son "coup de folie" car n'acceptant pas de ne pas avoir la garde de ses trois enfants dans un dossier qualifié de "complexe et qui dure depuis au moins cinq ans", avait expliqué jeudi le directeur de cabinet du conseil général, Pascal Babinet.
Chute du résultat net de TF1
AFP, 24/07/2009 | Mise à jour : 18:11
Le résultat net du groupe TF1 a chuté de 61% au premier semestre 2009 par rapport au premier semestre 2008, tombant à 49 millions d'euros, et les recettes publicitaires de la chaîne ont baissé de 23%, à 686,5 millions d'euros, a annoncé aujourd'hui le groupe dans un communiqué.
Dray/fuites : ses avocats furieux
NDLR : Une instruction à charge, sans juge ? Les pratiques de Nanterre s'inspireraient-elles de celles de Paris ?
Dray/fuites: ses avocats furieux
AP, 24/07/2009 | Mise à jour : 11:46
Le contenu de l'enquête préliminaire du parquet de Paris visant les comptes du député PS Julien Dray, ouverte pour "abus de confiance, faux et usage de faux", a été largement dévoilé dans le quotidien "Le Monde" et le site Médiapart, alors que les avocats de la défense ont reçu communication des milliers de documents hier seulement. "Révoltés", les avocats des différents protagonistes de l'affaire envisagent de porter plainte pour "violation du secret de l'enquête".
"Le parquet est on ne peut plus transparent dans ces articles", s'est insurgé l'avocat de la Fédération indépendante et démocratique lycéenne (FIDL), Me Patrick Klugman, joint par l'Associated Press. "Ils font l'instruction sans juge d'instruction. J'espère que nous n'aurons pas le jugement sans le tribunal".
L'enquête, menée uniquement à charge et au pas de charge sous la houlette du procureur de la République de Paris, Jean-Claude Marin, est en effet qualifiée d'"accablante" pour M. Dray et ses proches par Médiapart et "Le Monde" qui ont pu consulter les documents cette semaine.
Les policiers de la brigade financière se sont intéressés de très près aux comptes de Julien Dray sur une période allant de fin 2005 à fin 2008. Les investigations "ont confirmé l'existence d'un véritable 'système' d'évaporation de fonds au profit du député de l'Essonne (...) mais a aussi révélé de graves irrégularités dans la gestion de (SOS-Racisme) qui devraient également avoir des suites pénales", croit savoir Médiapart, affirmant également que M. Marin "ne devrait renvoyer qu'une demi-douzaine (de personnes) devant le tribunal correctionnel".
Les mauvais comptes de Julien Dray
LE MONDE | 24.07.09 | 08h01 • Mis à jour le 24.07.09 | 08h54, extrait
Les enquêteurs de la brigade financière ont mis fin, le 13 juillet, à leurs investigations concernant le train de vie du député socialiste de l'Essonne, Julien Dray. Des mouvements suspects sur ses comptes bancaires avaient été relevés en 2008 par l'organisme anti-blanchiment Tracfin, et une enquête préliminaire avait été ordonnée dans la foulée par le parquet de Paris.
VERDUN
Prise d'otage à Verdun : "ils m'ont volé mes enfants"
NOUVELOBS.COM | 24.07.2009 | 09:59, extraits
Une équipe du GIPN s'était déployée en fin d'après-midi afin de négocier avec le forcené. Les rideaux de la pièce occupée par le ravisseur et les deux otages avaient été tirés. Selon plusieurs sources, l'homme n'aurait pas accepté que les services sociaux lui retirent la garde de ses enfants.
"L'affaire qui le concerne dure depuis cinq ans. Ses trois enfants étaient placés sous l'autorité de leur mère, puis il a revendiqué l'autorité parentale avant de 'péter les plombs' aujourd'hui", a-t-on précisé au conseil général de la Meuse. Le forcené avait placardé deux affiches sur les vitres de l'agence portant les inscriptions: "La justice et le système prennent les citoyens pour des cons" et "Ils m'ont volé mes enfants".
(Nouvelobs.com avec AP)
Affaire Dray : les conclusions de l’enquête préliminaire
France Info - 12:19, extrait
Le député socialiste de l’Essonne a bénéficié des fonds de plusieurs associations, via des proches collaborateurs : c’est la conviction des policiers de la brigade financière, qui mènent une enquête ouverte pour abus de confiance et faux et usage de faux.
LEMONDE.FR Avec AFP | 24.07.09 | 10h02 • Mis à jour le 24.07.09 | 10h02
Verdun : « une personne butée et compliquée », selon le procureur
NDLR : S'agirait-il d'un quelconque drame de mouroir à relations parent-enfant ?
Son
"A New Fabris, on n'a pas ressorti les bonbonnes de gaz et on n'est pas des voyous"
LEMONDE.FR | 23.07.09 | 20h34
Pris en otages à Verdun, deux fonctionnaires libérés par le GIPN
De Robert KOCH et Jean-Christophe VERHAEGEN (AFP) – Il y a 5 heures
VERDUN (Meuse) - Deux fonctionnaires du conseil général de la Meuse, un homme et une femme, ont été séquestrés pendant près de cinq heures jeudi à Verdun (Meuse) par un homme non armé en butte à un problème familial, avant d'être libérés sains et saufs par le GIPN.
L'assaut du Groupe d'intervention de la police nationale (GIPN) de Strasbourg a été donné vers 19H20 et le preneur d'otages a été maîtrisé en quelques minutes, selon un photographe de l'AFP sur place. Il a été emmené au commissariat de Verdun où il devait être mis en examen en soirée pour "séquestrations et dégradations volontaires".
Une très forte déflagration, vraisemblablement provoquée par le tir d'une grenade assourdissante, a retenti au moment de l'assaut lancé depuis les toits de l'immeuble du centre-ville où s'était retranché le forcené, selon un photographe de l'AFP qui se trouvait sur place.
Les policiers du GIPN, au nombre d'une dizaine, ont ensuite arraché un volet roulant du 1er étage, qui avait été baissé, avant de briser une fenêtre pour pénétrer dans le bureau où se trouvait le preneur d'otages.
"L'opération a été très bien menée, avec rapidité et efficacité, sans causer de dommages aux personnes", s'est félicité le procureur de Verdun, Alexandre de Boschère, lors d'une conférence de presse donnée après l'opération.
L'intervention du GIPN a été décidée par les autorités après plusieurs heures de palabres entre le forcené, un homme de 33 ans décrit comme "une personne butée et compliquée" par le procureur, et une policière, formée à la négociation lors de prises d'otages,
L'homme, qui a un travail et qui vit séparé de son épouse, était venu se plaindre vers 14H30 à l'unité territoriale d'action sociale (Utas) du conseil général du rythme des visites de ses trois enfants de cinq, six et huit ans.
"Nos services connaissaient ce Monsieur", a indiqué le directeur de cabinet du président de l'assemblée départementale, Pascal Babinet. "Sa situation familiale est difficile mais elle était gérée", a-t-il ajouté.
Forcené/Verdun : le GIPN intervient
NDLR : Peut-on applaudir ? On approuve et on ne parle pas de « forcenés » ni de « coup de folie » lorsque des employés menacent de faire sauter leur usine avec des bonbonnes de gaz... « Ca ne se fait pas », nous dira-t-on. Mais voler des enfants, des enfances, voler ou escroquer, diffamer, pourrir l'existence des gens, ça ne se fait pas non plus. Attendons d'entendre les sermons du Procureur : « saisissez plutôt les tribunaux, exposez votre cas tout à fait personnel et particulier au social professionnel, épuisez les voies de recours »...
New Fabris - Il n'y aura plus de chantage aux bouteilles de gaz
TF1-LCI, le 23/07/2009 - 08h08
Mis à jour le 23/07/2009 - 14h44, extrait
Déçus par les propositions d'Estrosi, les salariés de l'usine en liquidation judiciaire New Fabris poursuivent leur mobilisation, mais ne menacent plus de détruire le site. Outre une prime de 11.000 euros par salarié, Christian Estrosi a annoncé que l'Etat investirait 1,5 million d'euro pour la revitalisation du territoire.
Forcené/Verdun: le GIPN intervient
AFP, 23/07/2009 | Mise à jour : 19:33
Le Groupe d'intervention de la police nationale a libéré deux employés du conseil général de la Meuse séquestrés aujourd'hui pendant près de cinq heures par un homme à Verdun, a annoncé la sous-préfecture, en précisant que ces deux personnes étaient saines et sauves.
L'assaut a été donné peu après 19 heures et le preneur d'otages a été rapidement maîtrisé par GIPN et emmené au commissariat de Verdun, a-t-on précisé de même source. Une très forte détonation a retenti au moment de l'assaut, lancé depuis les toits de l'immeuble où s'était retranché le forcené. Les policiers du GIPN ont ensuite arraché un volet roulant, qui avait été baissé, et brisé une vitre pour pénétrer dans les lieux.
Les deux femmes étaient séquestrées depuis 14h30 dans un bureau d'aide sociale de l'assemblée départementale, à la suite, semble-t-il, d'un problème "d'ordre familial", a précisé le directeur de cabinet du conseil général, Pascal Babinet. Selon la préfecture de la Meuse, il s'agirait d'un problème de garde d'enfants. "Nous ne connaissons pas exactement la nature de la menace", a-t-on indiqué au cabinet du préfet.
D'après le site internet de L'Est Républicain, deux affichettes ont été collées par le ravisseur sur les fenêtres du bureau où il est retranché avec ses deux otages. Sur la première, il a écrit "La justice et le système prennent les citoyens pour des cons", tandis que sur l'autre, on peut lire: "Ils m'ont volé mes enfants".
Une troisième employée, une jeune stagiaire d'été qui avait également été séquestrée, avait été rapidement libérée par le ravisseur à la suite de l'intervention de la police, qui a engagé des négociations avec le ravisseur.
France
DIRECT /Le GIPN a neutralisé le forcené de Verdun vers 19 h 20
Mis en ligne à 16 h 10. Actualisé à 17 h.18 h. 19 h 15. 19 h 30. SUIVRE sur le site...
A lire sur l'Est Républicain, extrait
Vers 19 h 20, le GIPN de STrasbourg a mis un terme à la prise d'otages qui se déroulait à Verdun, dans les locaux des services sociaux du Conseil Général depuis 14 h 30. Une forte explosion, des policiers qui entrent dans les locaux en brisant les vitres. Le forcené a été maîtrisé à l'issue d'un assaut multiforme et instantané mené au terme d'une période de négociations. L'action a complété la diversion, et le GIPN, fidèle à ses techniques de neutralisation a parfaitement mené la manoeuvre. Les deux otages sont sains et saufs. Le forcené a été emmené et il est placé en garde à vue. Le procureur de la République va donner une conférence de presse.
VERDUN
Un forcené retient 2 fonctionnaires en otage pendant 5 heures
NOUVELOBS.COM | 23.07.2009 | 21:18, extraits
"C'est terminé depuis 19h15. Les deux otages sont sains et saufs. Compte tenu des précautions prises par la police, le potentiel de violence de cet homme n'était pas à négliger. Nous ne savons pas s'il était armé", a indiqué Pascal Babinet.
L'homme, dont l'identité et l'âge n'ont pas été communiqués, a immédiatement été emmené par les forces de police puis placé en garde à vue pour s'expliquer sur son "coup de folie", selon un policier présent sur les lieux. Le directeur de cette agence chargé des politiques sociales et familiales ainsi qu'une de ses collaboratrices étaient retenus depuis 14h30. Une troisième personne, une jeune femme employée pour l'été, avait été libérée vers 15h45.