Mot(s) clef: shalit
Fillette disparue en 2011 : un corps retrouvé en forêt
NDLR : En juin 2009, la maman de Typhaine sortait de son silence pour déclarer : « Le moral est à zéro, on se sent vide et impuissant », « On ne peut trop rien faire à part déposer des affiches. On ne sait pas où ça en est, où ça va mener... » « Un enlèvement fictif, donnant en public l'image de parents éplorés, avant d'avouer en garde à vue », ajoutent aujourd'hui l'AFP et le Figaro. Nous voilà mieux éclairés. Gilles Patron, le gentil papa d'accueil de Laëticia, nous avait déjà fait une farce de nature similaire ; il avait également été très bien reçu par la presse, et même par l'Elysée. Attention à la suite ; ne pas confondre le cas de Typhaine, 5 ans, avec celui de cet autre enfant, une fillette de 2 ans, « disparue en 2011 », enfin retrouvé.... Pour mieux comprendre ces terribles histoires d'enfants disparus, des histoires ou situations toutes à chaque fois particulières, voir ou revoir la prestation de Rachida Dati, pour Karl Zéro, vers mai 2009. J'ai encore pu voir passer d'autres informations, dans la presse ou sur Twitter ; mais je vois maintenant plus fréquement défiler ces informations, brèves et tweets glauques, comme on pourrait l'exiger de moi, c'est à dire, en y étant aussi indifférent, ou comme une bête vache peut voir passer occasionnellement des TGV. Depuis quelques temps, je suis d'avantage ce qui bruisse ou non sur le thème #MariagePourTous.
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Typhaine: sa mère "voulait lui faire mal"
AFP Publié le 22/01/2013 à 19:17
La mère de Typhaine, accusée d'homicide volontaire, a commencé à raconter aujourd'hui devant la cour d'assises du Nord les sévices infligés à la fillette de 5 ans jusqu'à sa mort en juin 2009, qu'elle avait d'abord camouflée avec son compagnon en disparition.
"Je pensais que c'était elle qui me provoquait, je voulais lui faire mal", a dit Anne-Sophie Faucheur, 26 ans, les deux mains sur la barre, faisant face à la cour, dans un silence de plomb.
Gaza : Israël annonce une vaste opération
NDLR : 12 ans que ça dure, ai-je lu sur Twitter : « Les Israéliens habitant près de la bande de #Gaza vivent sous le feu des roquettes depuis 12 ans. » Ca passera.
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Gaza: Israël annonce une vaste opération
AFP Mis à jour le 14/11/2012 à 16:23 | publié le 14/11/2012 à 16:07
L'armée israélienne a déclaré que l'"élimination" dans un raid aujourd'hui du chef des opérations militaires du Hamas, Ahmad Jabbari, était le début d'une opération militaire contre les groupes armés dans la bande de Gaza. "Après les tirs de roquettes de ces derniers jours contre Israël, le chef d'état-major a décidé d'autoriser une opération contre les organisations terroristes de Gaza, le Hamas, le Jihad islamique et d'autres organisations", a déclaré la porte-parole de l'armée.
La branche armée du Hamas a promis une riposte massive à Israël pour l'assassinat de son chef, affirmant dans un communiqué qu'il avait "ouvert les portes de l'enfer". Les Brigades Ezzedine al-Qassam déclarent "porter le deuil d'un de leurs principaux chefs, Ahmad Jaabari, et s'engagent à continuer sur le chemin de la résistance", selon le texte, assurant que "l'occupant a ouvert sur lui-même les portes de l'enfer".
Il saute d'un pont... mais l'eau a gelé
NDLR : Après avoir entendu un lapsus, sur Public Sénat, puis Raoult répondant à Benbassa (une créature pavlovienne, à civiliser ou à baffer ?), on pourrait se décider, et sauter d'un pont. Mais attention, car le préfêt du Bas-Rhin pourrait se fâcher... Ce soir, et à l'occasion ou en marge du dîner du CRIF, on nous a encore parlé de Shalit, des Zeitouni, de valeurs et de civilisations, de la grandeur des notres, on nous a encore parlé de vies, de valeurs de vies. Arf, j'ai tweeté : « Après un décès suspect et des années de procédure, une vie, on s'apperçoit que ça vaut ça, une ordonnance à s'encadrer ». Puis j'ai à nouveau repensé au patrimoire culturel immatériel et à la Corrida, telle qu'elle se pratique à Rodhilan. Quel pays
Il saute d'un pont... mais l'eau a gelé
AFP Publié le 08/02/2012 à 20:31
Un homme de 34 ans a été sauvé aujourd'hui par le froid intense qui sévit actuellement en Alsace: alors qu'il voulait se suicider en sautant d'un pont dans le centre-ville de Mulhouse (Haut-Rhin) il s'est écrasé contre la glace et n'a été que légèrement blessé, selon les pompiers.
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Sarkozy écrit une lettre à Gilad Shalit
Sarkozy écrit une lettre à Gilad Shalit
AFP Mis à jour le 18/10/2011 à 20:35 | publié le 18/10/2011 à 20:33
Le président français Nicolas Sarkozy a fait part du "bonheur" et de "l'émotion" des Français dans une lettre personnelle au soldat franco-israélien Gilad Shalit libéré aujourd'hui après avoir passé plus de cinq ans aux mains du mouvement palestinien Hamas à Gaza.
La lettre a été remise en main propre au jeune homme de 25 ans par l'ambassadeur de France en Israël, Christophe Bigot, lors d'une visite au domicile de la famille Shalit dans le village de Mitzpé Hila (nord d'Israël). "Aujourd'hui, je veux rendre hommage à votre courage dans cette épreuve terrible et vous dire notre bonheur et notre émotion à tous", écrit Nicolas Sarkozy dans cette lettre dont le contenu a été rendu public par Christophe Bigot.
"La France ne vous a jamais oublié. Elle s'est jointe sans relâche, avec opiniâtreté aux efforts de vos parents pour que ce jour, celui de votre liberté retrouvée, devienne une réalité", poursuit-il. "Ce jour de joie a été rendu possible par la décision courageuse, que je veux saluer du Premier ministre et du gouvernement israélien, d'accepter de libérer plus de 1.000 prisonniers palestiniens, pour vous ramener à la maison", continue le président, qui évoque la libération de Gilad Shalit comme "une priorité de (son) action car la France n'oublie pas les siens".
Rassemblement à Paris pour Shalit
NDLR : « Nulle part dans le monde on est resté autant de temps sans nouvelle d'un otage. Cela fait maintenant deux ans et demi que ses parents n'ont pas eu une seule nouvelle de lui », nous apprend Pierre Aidenbaum (PS). De début novembre 2005 à fin mai 2008, deux ans et demi, je n'avais pas reçu la moindre nouvelle de ma fille ainée. Mais cétait parfaitement légal pour des juges... la situation était motivée par les palabres d'un psychiatre et ceux de travailleurs sociaux de l'OSE France
Rassemblement à Paris pour Shalit
AFP, 26/06/2011 | Mise à jour : 19:27
Entre 300 et 400 personnes se sont rassemblées cet après-midi à Paris sur le parvis de l'Hôtel de Ville pour demander la libération du soldat franco-israélien Gilad Shalit, retenu en captivité depuis cinq ans. Réunis à l'appel d'associations juives, les manifestants portaient pour certains d'entre eux des drapeaux de l'Etat d'Israël et des pancartes avec la mention "Liberté pour Gilad Shalit".
Alliot-Marie promet d'intervenir en faveur du soldat Gilad Shalit
Alliot-Marie promet d'intervenir en faveur du soldat Gilad Shalit
(AFP) – 20 janv. 2011, extrait
JERUSALEM — La ministre des Affaires étrangères française, Michèle Alliot-Marie, a promis jeudi à Jérusalem de faire en sorte que le soldat israélien Gilad Shalit, détenu à Gaza depuis juin 2006 et qui a la nationalité française, puisse être visité par la Croix-Rouge. Mme Alliot-Marie, en visite en Israël, s'est engagé à intervenir à la fin du mois auprès de l'Union européenne et "de faire passer le message pour que le prisonnier reçoive des visites de la Croix-Rouge". "Les règles pour les prisonniers s'imposent à tout le monde", a affirmé la chef de la diplomatie française lors d'une rencontre à Jérusalem avec les parents du jeune soldat, prisonnier du mouvement islamiste Hamas à Gaza. "La France est à vos côtés pour exiger la libération de votre fils", a-t-elle dit aux parents qui l'ont reçue dans une tente érigée depuis des mois en signe de protestation près de la résidence du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu. ...
Soulagement des soutiens de Roman Polanski
Je crois qu'on attend plus maintenant que le retour de Shalit et de Florence Cassez.
Soulagement des soutiens de Roman Polanski
LEMONDE.FR avec AFP | 12.07.10 | 19h01 • Mis à jour le 12.07.10 | 19h10, extrait
Les soutiens de Roman Polanki en France et en Pologne se sont réjouis de la décision de la Suisse lundi 12 juillet de ne pas extrader le cinéaste franco-polonais vers les Etats-Unis et de lui rendre sa liberté de mouvement, tout en regrettant les dix mois de "perdus" depuis son arrestation.
Shalit, c'est grave, or ce n'est pourtant pas la Shoah
Ce n'est ni la Shoah et il n'est pas non plus un chat, mais Shalit, c'est grave. C'est à ne rien y comprendre. Mais Reiss, Polanski, Petrella, Aubenas, Colonna, Cassez ou Bétancourt, c'était ou c'est encore tout aussi grave. Polanski, on nous en parle encore, en Suisse ; les juges tarderaient maintenant ou ne jugeraient pas ? Le pauvre homme ; il doit beaucoup souffrir, parmi les siens, dans son joli chalet Suisse.
Shalit, ce cas particulier, c'est cependant un peu différent ; il n'est pas suspect, juste victime. Récemment, de 10 à 15 000 personnes se sont réunies sur le parvis des droits de l'homme, à Paris. Sa situation a pu beaucoup émouvoir. Un son, entendu ce jour, sur RTL, va encore faire larmoyer dans nos chaumières et kiboutz ou colonies :
Shalit, c'est vraiment grave, même s'il serait pourtant tellement mieux logé ou loti que d'autres. Selon le Hamas, il aurait la télévision et suivrait en effet la coupe du monde. Sa situation n'est donc pas si dramatique qu'on voudrait nous le faire croire ? Bétancourt aussi avait sa radio ; au fond de la jungle, alors qu'elle était retenue par les FARC, elle pouvait de temps en temps entendre des messages d'espoir ou de ses enfants. Depuis, Bétancourt est libre.
Ces FARC ou même ce Hamas ne sont donc finalement pas si inhumains que cela. A Nanterre, fin 2005, le juge pour enfant m'interdisait durablement et très strictement de communiquer avec mon aînée, ce que le pasteur d'Uhrwiller a ensuite très scrupuleusement respecté, « dans l'intérêt de l'enfant ». Nous étions resté près de trois ans sans avoir la moindre nouvelle de mon aînée. Mais il s'agit « d'assistance éducative » et ces « mesures provisoires » étaient bien évidement dûment motivées, même si par la suite, vers janvier 2010, la cour d'appel de Versailles s'est un peu ressaisie. Cette rupture a d'abord été motivée par un rapport versé par l'OSE France, une association juive, puis ensuite, par un rapport ou avis versé par un bon psychiatre français ; faute de mieux, le juge Anne Valentini avait très lourdement insisté pour obtenir cet avis « psychiatrique », des opinions ou un rapport assez particulier que les juges de Nanterre et de Versailles ne m'ont jamais permis de contester.
Aujourd'hui, le troufion Shalit, ce grand gaillard de 24 ans, pourrait avoir des problèmes de santé ? Je crois que le CICR ne peut rien vérifier - la faute à Kouchner ? - mais ce que j'ai pu lire ici et là, sur la toile, n'est pas spécialement alarmant ? Des preuves occasionnelles de vie rassureront tout le monde ; quiconque en douterait pourrait en discuter avec les travailleurs sociaux de l'ARSEA Alsace ou, pourquoi pas, écrire au juge pour enfant Thierry Baranger, « clinicien judiciaire », qui pourrait également rassurer.
Je m'aperçois qu'au final, j'en arrive à bien écouter tout de même le juge Xavier Serrier. En juin 2008, alors qu'il n'imaginait probablement pas qu'il allait devoir sauter de son siège, il m'intimait de changer de discours, ce que la cour d'appel de Versailles confirmait en 2009. J'ai le sentiment que mes discours ont un peu changés ces derniers temps. Par moments, je me perçois en tous cas un peu plus proche de courants assez radicaux qui snobent eux aussi Israel.
De source le Temps
70 années se sont écoulées
« Il vaut mieux ne pas remuer la merde », pourrait reprendre un colonel. Je sais, mais c'est plus fort que moi.
Où en sommes nous, 70 ans plus tard ? Les discours d'hier, à Gdansk, « très modérés », ont été salués par la Belgique. Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) nous apprenait qu'il juge « exagérée » la menace nucléaire iranienne. Nous attendons toujours la libération de Clotilde Reiss... et celle de Gilad Shalit.
Ce n'est pas sans raisons que je prend de telles notes. A qui veut l'entendre (pas les juges de mon coin, la plupart sont bouchés), j'explique que j'étudie des conflits de toutes natures, en me demandant parfois quelle est la place de l'enfant - ou de personnes vulnérables voire de « victimes » - dans ces espaces où se querellent des adultes.
D'après des juges, ma fille Justine n'aurait jamais été manipulée. Je pense que les mêmes marteleront qu'elle n'a même jamais été instrumentalisée. Je me dis pour ma part que des adultes peuvent parfois être très cons.
Monsieur Philippe Douste-Blazy aura ici certainement une opinion. Début 2005, peu avant que Justine ne disparaisse pour 3 à 4 années, alors que je m'étais déjà beaucoup plaint auprès des juges et du Conseil général du Val d'Oise, que je me plaignais encore beaucoup de sa situation au sein de l'établissement de l'OSE France de Taverny, ce lieu prétendu « neutre », et du travail des professionnels de l'OSE France avec le corbeau et le pasteur, un congrès avait fait rager quelques adultes. J'en ai encore des notes, certaines sont aujourd'hui au fond de mes références.
Toulouse, lundi 21 mars 2005
2ème Congrès international dans le cadre des
Rencontres Franco-Israéliennes de
Victimologie de l’enfant
Je regrette que certains aient cru possible de réduire le champ de vos travaux à une seule cause, alors que la victimologie des conflits, concerne tous les enfants de la planète et toutes les situations de violence dans le monde. ... Un discours de P. Douste-Blazy.
L'année d'après, en 2006, des adultes avait manifestement été manipulés par des médias. Je vais continuer à mettre en mots tout ce que j'ai étudié au cours des années passées, même si ça pourrait déplaire à certains juges de mon secteur. Je m'en fous, certains ne sont plus saisis, notamment le juge Anne Valentini, tandis que les autres, ceux de la cour d'appel de Versailles, sa chambre des mineurs, je vais les faire perdre encore, si nécessaire.
Je me demande si certains qui se sont prononcés ou qui se sont impliqués ou investis dans cette affaire ont bien conscience de s'être aventurés parfois sur de véritables territoires de guerre, contemporaines, où les débats font très souvent rage. Sur ces territoires, régulièrement des adultes n'hésitent pas un seul instant à manipuler des enfants - souvent même leurs cadavres - pour faire valoir leur point de vue... voire peut-être même, pour dynamiser un marché, tout simplement. Oui, je sais... « L'homme n'est pas une marchandise comme les autres », nous a dit notre chantre.
AP - Mon Jul 17, 2:52 PM ET
Israeli girls write messages on a shell
Voir Online controversy over graffiti by Israeli kids
Qu'en pense Monsieur Bernard Kouchner, lui qui pourrait aujourd'hui très bien connaitre le dossier de l'Arche de Zoé, ces « pieds nickelés » partis « sauver » des « orphelins » du Dafour ? Mais il a peut être tout oublié.
A l'OSE France et alors qu'on peut très raisonnablement affirmer que Justine est une enfant « de boches », Messieurs Richard Josefsberg et Eric Ghozlan pourraient également avoir des opinions à tous ces sujets.
Fin janvier 2007, j'ai assisté aux discours d'inauguration de la maison Ensemble, à Saint Germain. A cette occasion, Monsieur Roger Fajnzylberg m'a proposé un rendez-vous dans son bureau, rue du Temple. J'avais pu lui exposer la nature des difficultés que je rencontrais. Il devait se renseigner puis me recontacter. M. Fajnzylberg m'a finalement simplement dit que les professionnels de l'OSE France avaient tout fait « dans l'intérêt de Justine ».
Au château, qui m'a très souvent renvoyé vers ses dépendances, ses tribunaux, je pense qu'ils sont effrayés, comme à l'OSE France. Le château ne me répond plus depuis de très longs mois. Je n'envisage même plus d'écrire là bas.
Oui, je le sais bien aussi, des juges dans notre secteur ont établi tout à fait autre chose. Par exemple, que ma cadette serait née en 2001, rappelant que ma soeur aînée est trisomique... Maintenant que Justine est à l'internat, à 500 km, plutôt ravie d'y être bien qu'elle se plaigne de la distance qui nous sépare et de contraintes encore, je vais tranquillement pilonner et bavarder, comme depuis toujours, jusqu'à la main-levée de son « placement ».