Mot(s) clef: proxénète
Qu'est-ce qu'il a, mon blog ?
Je répond tout de suite à cette question : mon blog n'a rien du tout, même pas d'audience particulière. Lorsqu'un Morandini publie un billet, suit une déferlante de 40 000 visites dans la journée, voire même dans l'heure. Ici... En plus, je m'aperçois que sur Internet, c'est en ce moment juste le bordel, même dans l'actu, et que les indexations des moteurs de recherche semblent évoluer, manifestement au gré de suppressions et de censures de données. Serait-il possible qu'en raison de changements récents, mon billet de blog avait soudainement gagné en pertinence puis en visibilité ? En ce cas, ce ne serait qu'en raison de ces changements, une purge en cours sur Internet et peut-être mal faite, que mon vieux billet de 2008 assez conforme à ce qui était alors paru dans la presse commençait à poser des problèmes... Ce sont des éléments et une hypothèse type #Streisand que je pourrais soumettre aussi à Me Amélie Tripet, si elle m'écrivait à nouveau.
En attendant, et parce qu'il faut bien se distraire aussi entre des réflexions, je vais essayer de trouver plus que la courte minute « Prostitution : escort girl à 15 ans », par 66 minutes, encore diffusé par M6... « Zoé et Manon, deux adolescentes, plongent dans le monde de la prostitution à seulement 15 ans. Obsédées par le luxe et l'argent facile, les deux jeunes filles opèrent en tant qu'escort girl. Après 3 mois de rendez-vous tarifés avec de riches clients, elles sont finalement dénoncées par leur propre mère. » « On disait plutôt de l'escort ». « Si les relations sexuelles avec mineures sont fortement réprimandées par la loi, la police traque surtout les éventuels proxénètes ou systèmes de réseaux », peut-on lire chez M6 Enquêtes Exclusives. Des documentaires, mais récents et pour les français. Plus loin, j'ai trouvé « Pas sur la bouche - Le documentaire choc de Mireille Darc sur les `'escort girl" », encore récent, déconseillé aux moins de 16 ans... « la prostitution, en France, est libre. C'est le proxénétisme qui est interdit. » « `'Escort" : le mot s'est banalisé dans notre vocabulaire. Il suffit de faire une recherche sur Internet pour réaliser à quel point cette activité a explosé et surtout qu'elle touche et s'adresse à toutes les catégories sociales et professionnelles. »
Pas sur la bouche - Le documentaire choc de Mireille Darc
Ce 11 juillet, j'ai donc été mis en demeure et j'ai même été mis en cause par une avocate, rien que ça. Très probablement par une nettoyeuse de #ereputation ou faisant fonction, pour un billet de 2008. Dans mon billet, il ne figurait pourtant que des coupons de presse et des extraits, des informations qu'on peut aujourd'hui toujours retrouver et aller lire ailleurs, sur Internet, en tout premier dans des articles de journaux en ligne (le Parisien, le Soir, ...). Et il m'est reproché de m'être moi-même référé à nos principaux journaux français, ce sans même les avoir commenté, sans avoir dénaturé quoi que ce soit, ou il m'est depuis peu strictement interdit de me référer encore en ligne à des informations elles-mêmes pourtant toujours en ligne, mais ailleurs, et accessibles à tous via Google, Bing, etc, quelque chose de cet ordre #ShutUp
Dans ma rubrique Notes, sur la droite, il figure depuis toujours un petit avertissement qui peut avoir échappé à plus d'un visiteur : « L'actualité, au fil des mois... Les extraits proposés dans cet espace sont loin d'être exhaustifs. Pour la contradiction et pour plus consensuel, ne pas hésiter à suivre les liens pour lire l'intégralité des articles référencés. Ne pas hésiter non plus à compléter ces lectures par des recherches, sur le net, les sites officiels, ainsi que dans les bibliothèques ou les archives de médias traditionnels. » C'est ce qu'on nous apprend au plus tard dès le collège.
A l'époque, vers 2006, au moment d'un tournage d'un film, il y avait eu scandale, notamment sexuel. Contrairement à la Suisse, la France est depuis longtemps traversée par de forts courants abolitionnistes, par divers courants féministes, des courants récemment renforcés par le militantisme des FEMEN et autres anti-masculinistes. En France comme autre part, le sujet de la pédophilie ou de sexe avec des mineurs est également sensible, depuis des décennies. Vers 2006 puis fin 2008, nous discutions beaucoup de prostitution, de drogue et même de proxénétisme (une activité professionnelle quasi comme une autre, en Suisse, à la période des faits, puis également à la période du procès qui allait suivre).
Dans cette histoire, le journal le Parisien avait fini condamné pour avoir publié des informations erronées ou fausses. Je n'avais rien repris de tel, des choses trop erronées ; ma propre publication était postérieure, portait sur l'ouverture, donc, sur des éléments retenus par l'instruction, ainsi que sur des faits du déroulement du procès. Il m'est également reproché d'avoir pris note ou d'avoir publié trois coupons et extraits de journaux, j'avais un peu croisé des sources... A toutes ces périodes, de 2006 à 2008, je fréquentais moi-même assidument des prétoires, au civil, chez les sauvages, et les faits tels que rapportés fin 2008, par la presse, divers grands quotidiens français, ne m'avaient pas laissé indifférent ; j'en avais d'ailleurs pris ces « notes ». Il faut souvent un certain temps, des fois des années, même des débats dans des prétoires avant que des vérités puissent émerger... Plus tard, à un procès « Drogue et sexe chez Astérix », quelques faits et responsabilités avaient été établis, et des accusations telles que de chantage et d'extorsions allaient s'effondrer. Malgré ces histoires d'héroïne ou de coke et de cul, du sexe tarifé, de violences conjugales aussi, Thomas Langmann ne s'en porte manifestement pas plus mal ; The Artist, de 2011, a même été très bien reçu ; Astérix, on s'en souviendra.
Cinéma : comment Thomas Langmann a bâti son empire
Entreprendre.fr, publié le 10 sep 2015, extrait
« Avant le succès de The Artist, Thomas Langmann a, en effet, essuyé quelques plâtres, celui d’Astérix aux Jeux Olympiques (janvier 2008) et son budget de 78 M€ (film le plus cher de l’histoire du cinéma français), qu’il a lui-même réalisé, et qui n’a engendré «que» 6,8 millions d’entrées en France. »
Thomas Langmann, le nouveau nabab
M le magazine du Monde | 25.02.2012 à 14h23
« M le style, l'époque, l'actu », 2012, extrait : « sur le tournage d'Astérix aux Jeux olympiques, 50 000 euros sont dépensés en coke et escort girls. Quand l'affaire s'ébruite, Langmann s'en tire d'un " consommation personnelle ". »
Il y a fréquemment reécritures des histoires entre le moment du scandale, au gré des remous judiciaires et des temps médiatiques, puis à l'issue de ces procès. Il n'y a que chez les juges pour enfant, aux affaires familiales ou des tutelles qu'on ne reécrit jamais ou quasi jamais rien ; ces juges là lisent le passé et écrivent le présent comme le futur avec une précision telle qu'il n'y a jamais rien à reécrire... ceux là voient si clair, avec les travailleurs sociaux et les psys, que je ne comprend toujours pas pourquoi nous ne leurs confions pas Renseignement, anti-terrorisme et chasse aux radicalisés.
Aujourd'hui, une histoire de castings, de tournages et de scènes d'une web série fait beaucoup de bruit. Je pense qu'on peut raisonnablement affirmer que tout le monde s'exprime à ces sujets, parfois imprudemment. Il y a eu divulgations, communications, contestations, décisions prises et annonces de dépôts de plaintes. Nous lisons et voyons défiler absolument de tout, jusque sur les réseaux sociaux. Dans cette « affaire Morandini », d'ici quelques années, la justice aura établi des faits et responsabilités. Vais-je être un jour aussi accusé, mis en demeure, dénoncé aux Google et DMCA teams, voire même assigné pour avoir tweeté ou publié parfois, comme tout le monde, avec le hashtag #Morandini ?
Il faut que j'y réfléchisse. Et que j'envisage très sérieusement de supprimer presque l'intégralité de mon blog, notes et bavardages, la quasi intégralité de mes tweets, et 90% de mon Facebook, ou pour simplifier la tâche, que je songe à supprimer le tout. Que j'envisage également de faire supprimer quantité de mes lignes dans des forums ou dans des commentaires d'articles de journaux, sur des périodes même très antérieures à l'ère des réseaux sociaux.
McAfee s'attend à pouvoir « bientôt » rentrer libre aux Etats-Unis
NDLR : Plein de bruit autour de ce pousseur du RER A... et donc, la mort d'un voyageur, « un drame qui aurait pu être évité », c'est ce qu'annonce en tous cas Metro. En suivra-t-il autant pour cet enfant, passé par la fenêtre, fin 2009, à Orly, dans le Val-de-Marne ? Peut-on à nouveau se promener librement, à Plougastel ? J'ai pu louper quelques brèves, je ne suis pas toujours toutes ces chroniques ou déferlantes. A Pau, sinon, les investigations et expertises ont-elles pu progresser ? Plus de 10 jours se sont écoulés, la maman est-elle enfin « moins dépressive » ? Voir également Cynisme et droit, rubrique Sorties... Ne pas louper non plus Le Net, c'est du chinois, puis surtout se souvenir ou bien noter que je suis et je reste en grève. De toute façon, en ce moment, tout le monde est occupé, à soutenir, à blanchir, ou par de simples rumeurs qui salissent Jérome Cahuzac, voire par un traitement de plainte qui pourrait se révéler tout à fait banal. Dans ce même billet « virtuel » ou furtif, je note enfin que Bamberski n'a pas la langue dans sa poche, et j'entends maintenant grelotter ou grommeler « on a froid ! »
Pousseur du RER A : le drame aurait pu être évité
Créé 11-12-2012 19:19 | Mis à jour 11-12-2012 21:53, Metro France
PROCES - Ahmed K., l'homme qui avait causé la mort d'un voyageur sur le RER A en avril 2010 comparaît aux Assises de Paris depuis mardi. Schizophrène, l'accusé n'observait plus ses traitements et les appels au secours de sa mère étaient restés lettre morte.
Malgré ses appels répétés et ses craintes manifestes, elle n'a jamais obtenu gain de cause. Son fils, Ahmed K. qui comparait depuis ce mardi et jusqu'à jeudi aux assises de Paris, a fini par commettre l'irréparable.
Le 2 avril 2010, peu avant 6 heures, le jeune de 29 ans causait la mort d'un voyageur en lui portant un coup de pied dans le dos alors que ce dernier attendait comme chaque jour le RER A à la gare de Lyon (12e arrondissement). Percuté par une rame qui entrait en gare, ce Sri-lankais quinquagénaire, père de quatre enfants et agent de nettoyage au Lido, a été retrouvé mort sur le quai, baignant dans une mare de sang, le crâne fracassé.
Julie : 8 à 15 ans pour les violeurs
NDLR : « Julie s'est mise en danger toute seule...» On croirait lire des travailleurs sociaux, gigotant et se défendant à huis-clos, mais ceux de l'OSE France pouvaient encore affirmer pire. « Julie s'est mise en danger toute seule, par sa fugue, par son comportement », bien sûr, Mes Martin et Vella ! Un tel dossier ou affaire devrait être dépaysé à la cour d'appel de Versailles, vu ce que ces prétoires m'ont rendu au cours des années passées, la relaxe ou les acquittements de Ishak Guler, de Selman Varkan et de Selcuk Ozcan y seront assurés. Une fois à Versailles, réclamer ou espérer un collège présidé par Olivier Echappe ; Lise, cette quiche, pourrait aussi se dépatouiller avec une histoire pareille, elle-même trouverait peut-être quelques arguments de droit pour classer sans plus ? Un certain Valantin, je crois, s'il est toujours à Versailles, pourrait également rendre d'assez bons services. « C'est elle qui m'a dit qu'elle préférait faire le trottoir...» on replonge en 1980. Catégorie Insolite et rubrique Victimes, tant c'est grotesque ! Oui, « quiche », c'est dur pour un magistrat, mais pas beaucoup plus dur que « proxénète » ? « Quiche », beaucoup comprendront. Oui, Echappe, Lise et Valantin, ce sont ou étaient trois présidents de chambre ; si ce que j'ai publié dans ce billet pose un quelconque problème, le parquet me demandera à nouveau quelques précisions, mais je pense qu'il s'abstiendra.
Ajout du 27 : Que personne n'aille se méprendre, Julie, ce n'est pas ma fille, c'est même une toute autre histoire. Ne me lancez pas que #lesjuges de Versailles insistent... Dans un même billet, qualifier un magistrat de quiche, d'écervelée, et ressortir un arrêt, un faux ou un torchon qu'elle a approuvé, ça devrait calmer et faire cogiter le parquet.
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Toulouse et sa région
Publié le 26/05/2012 03:47 | Frédéric Abéla, la Dépêche
Julie : 8 à 15 ans pour les violeurs
Toulouse
Après six heures de délibéré les jurés de la cour d'assises de Haute-Garonne ont condamné, hier, Ishak Guler, à 15 ans de réclusion criminelle, Selman Varkan à 13 ans de réclusion et son oncle Selcuk Ozcan, à 8 ans d'emprisonnement, pour le viol à Toulouse, de Julie, une adolescente en fugue de 14 ans et dont la disparition en août 2009 avait fait grand bruit. L'avocat général avait demandé au moins 14 ans de réclusion à l'encontre des trois ressortissants turcs qui ont toujours affirmé avoir agi avec le consentement de Julie. Âgés de 22 à 37 ans, tous ont été condamnés pour complicité de viol. Jusqu'au bout, la défense a féraillé pour mettre en évidence l'attitude « équivoque » de Julie, cette adolescente perdue et immature et qui avait fui la compagnie de ses grands-parents, en plein été 2009, alors qu'ils se trouvaient dans un camping, près de Perpignan. « Vous avez sombré dans la facilité et la morale », relève pour la défense de Varkan, Me Alexandre Martin, s'adressant au ministère public.
La défense sert avec vigueur une version toute en nuance. « Julie s'est mise en danger toute seule, par sa fugue, par son comportement. Bien sûr, elle ne souhaitait pas que tout cela arrive. À aucun moment, il y a eu violence, ni contrainte. Elle pouvait même s'échapper, elle ne l'a jamais fait », insistent Mes Martin et Vella, qui voient leur demande de requalification en « atteinte sexuelle », rejetée. Du 20 au 23 août 2009, face à ces trois hommes rencontrés à Toulouse, au hasard de son errance, Julie ne parle pas. Elle les suit à la piscine, à l'hôtel. Fuir serait pire que tout dans une ville dont elle ignore même le nom. Julie leur avoue qu'elle à 17 ans. Elle se sent grande. Julie s'est propulsée dans le monde des grands, devenant malgré elle, un objet sexuel en petit short de plage. Son statut de victime est désormais reconnu.
« Il faut faire confiance à la procédure », nous a dit Christophe Régnard
Je note qu'il y a eu du progrès dans l'affaire dite des fadettes ou du secret des sources. J'essaye d'assimiler qu'il faut faire confiance à la procédure, mais c'est très dur... Pour le moment, j'attends, suite à l'audience d'hier, chez un JAF, dans le bâtiment du tribunal de commerce. Un délibéré doit tomber ce 13 courant, c'est demain.
Par le passé, souvent avec des avocats et fréquemment sans, j'ai fait confiance à la procédure. J'ai l'impression que ce sont les affaires ou procédures dans lesquelles j'ai pu beaucoup me représenter en personne qui ont le mieux progressées ou qui sont le plus abouties.
Les observations, 8 pages, que j'ai déposées, hier, s'assimileraient d'avantage à une « diatribe ». « Diatribe », je trouve cela dénigrant. Je ne regrette pas d'avoir produit ces observations, ni de les avoir présentées à l'audience, ni de les avoir versées à cette ultime prodécure non plus, chez ce JAF. Je prennais des risques, mais je pense les avoir bien mesurés.
Par le passé, dans des conclusions versées à la cour d'appel ou de confirmation de Versailles, exaspéré, je finissais par traiter des magistrats de « proxénètes ». Ca pouvait heurter, probablement outrer aussi. Mais c'est ensuite, seulement, que la Cour semblait avoir compris que j'attendais d'elle qu'elle bouge un peu sa plume, et qu'entre autres choses, je repprochais à des magistrats d'avoir dénaturé des éléments de la procédure « d'assistance éducative ».
Le mois denier, dans un billet du 20, je ne reprennais pas sans raisons une citation prêtée à Jacques Isorni : « Le combat déférent, comme l’épée mouchetée, n’est jamais efficace. ... »
Ajout du 8, dans la nuit... J'ai peut-être mal interprêté ce qui m'a été donné à lire. « Lire des diatribes, c'est respirer les latrines de sa renommée. » Hugo, Choses vues, 1885... Une histoire des haines d'écrivains, j'ai tout de même passé commande. D'un type d'affaire à l'autre, ça ne change finalement pas beaucoup. Dans les unes, ça ferait souffrir les enfants en premier, et les pros comme le pasteur d'Uhrwiller se défilent, tandis que dans ces autres, ça semble faire rire d'abord Madame, une femme, la figure de la victime idéale, c'est assez dans l'air du temps. Et l'enfant, 9 ans, la mineure ici concernée ? J'ai le sentiment qu'elle n'a pas été entendue, pour l'audience de ce 6 décembre... Pourtant, cette audience et cette procédure la concernait ; je ne manquerais pas d'évoquer ce point à la cour de confirmation ; car je ne pense pas me contenter d'une décison du siège, j'ai d'ailleurs plutôt pour objectif de soumettre le tout à la cour de cassation. Pour ce cas particulier, appel et même cassation pourraient suivre d'une façon tout à fait sereine, sans rien envenimer.
« Plaise à Madame ou Monsieur le juge à ces affaires... »
On va parler de justice ?
Eolas doit être vert, on dirait qu'il n'a pas su convaincre avec son billet du 12 novembre, ou qu'il est intervenu trop tard, qu'il n'a pas pu contrer ou contenir la propagation du virus. Plusieurs millions de personnes pourraient déjà avoir vu la vidéo de l'IPJ ou Institut pour la Justice dans laquelle Joël Censier, trente ans de police, nous incitait à signer le pacte 2012 pour la justice. @SI nous propose une petite enquête à ces sujets, Le combat d'Eolas contre "l'Institut pour la Justice".
Si leur site Internet fonctionne bien, l'IPJ compte maintenant plus de 900 000 signataires, bientôt le million. « Avec un tel coup médiatique, pas étonnant que l'Institut pour la Justice affiche un nombre record de signatures », peut-on lire chez @SI. Et si je les ai bien lu, l'IPJ n'en attendait que 500 000, un nombre qui leurs permettait déjà d'interpeller nos présidentiables.
Nous allons donc devoir reparler de justice d'ici à la mi-2012, et de décisions rendues par des cons, pour des cons... Moi, ça m'arrange, parce que j'en ai de bien belles dans ma besace, des jugements et des arrêts dont plus grand monde ne discute avec moi, hormi en off et avec réticence. Début décembre 2008, sans tout connaitre de mes dossiers et en s'en désintéressant même, Eolas, cet illustre et courageux avocat, un guerrier planqué ou retranché derrière son anonymat, m'avait répondu qu'il me censurerait, ce qui s'est effectivement produit par la suite.
J'admets qu'alors, fin 2008, je ne m'essuyais plus que très mal les pieds lorsque j'allais m'exprimer dans son univers, j'étais outré par l'actualité et par les décisions que des prétoires de Nanterre et de Versailles avaient rendues depuis la mi-2003. Début décembre 2008, Maître Eolas me raillait, je n'avais pas apprécié. Peu après, fin décembre 2008, la cour de cassation rendait un arrêt que personne n'a commenté. En décembre 2009, peu après avoir bien mouché le juge pour enfant de Nanterre, je traitais des juges de Versailles de proxénètes - oui, oui, de proxénètes, dans mes conclusions écrites. Fin octobre 2010, la cour de cassation annulait l'un de leurs arrêts ou torchons... puis en janvier 2011, je finissais par moucher un juge des tutelles et par doucher une étude de notaire. J'ai l'impression que personne ne souhaite plus en discuter avec moi. Eolas le pourrait, je pense, et, en grand censeur, bidouilleur en droit comme en faits, c'est ainsi que je le perçois, Eolas pourrait à nouveau me suggérer d'aller me faire soigner ou mieux conseiller. Je crois plutôt que Eolas va continuer à m'ignorer, je critique trop sa bulle, des charlatants, de prétendus spécialistes ainsi que certains prétoires.
J'ai toujours des marrons au chaud, des procédures en cours. Et j'en suis encore d'autres. En marge de cela, je continue aussi à me documenter. Je viens de me procurer un petit cahier, « Le clair & l'obscur en éducation », un magazine de l'Ecole de Formation Psycho Pédagogique auquel a contribué Richard Josefsberg, 33 ans de travail social. Je n'ai pas fini d'étudier ce magazine, c'est leur numéro d'automne 2011, il a pu paraitre le 17 octobre dernier.
Nous allons donc parler de justice au cours des prochains mois. Mais parlerons nous aussi de la Moldavie française ? Je pense que Joël Censier et l'IPJ seront intéressés par cet espace d'infra-droit où la Cour suit toujours le parquet et la « victime ». Au cours des années passés, le pasteur d'Uhwiller n'a jamais eu à démontrer ni à prouver quoi que ce soit, il a toujours pu se contenter de « dire » et « d'expliquer » pour « gagner », obtenir toujours et à peu près ce qu'il voulait. Les travailleurs sociaux, c'est kif kif, ces dernières années, l'OSE France et l'ARSEA ont pu se contenter de mentir ou de raconter n'importe quoi pour « gagner ». L'étude de Maître Charles Halter, Saint-Avold (57), souhaitera peut-être nuancer tous mes discours...
Les cahiers de l'EFPP n° 14, automne 2011, plus d'infos sur www.efpp.fr
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Au ministre de cette justice franco-moldave
Cette semaine, je pense que j'aurais le temps de m'arrêter à la Poste. Je devrais également envoyer une copie de ces observations aux assistants de Maître Charles Halter, notaire, tout en les invitant à me communiquer les leurs, s'ils en ont de quelconques à formuler. Mes observations déposées ce 3 mai, à Versailles, sont ici, au format PDF, avec les pièces jointes. Ce qui parvient au juge pour enfant de Nanterre est là, également au format PDF.
Lettre ouverte - au format PDF, avec deux des pièces jointes
Madame Michèle Alliot-Marie,
garde des Vélodromes et ministre de cette Justice franco-moldave,
J’ai fait appel d’une décision du juge des tutelles d’Antony (92) du 15 mars 2010. La cour d’appel de Versailles a convoqué pour ce 25 mai prochain, le greffe me demandant de déposer mes « éventuelles » observations avant ce 4 mai (pièce n° 1).
Ce 3 mai, au greffe de Versailles, je constatais que j’étais le premier ou le seul à déposer des observations. Je constatais également que le dossier avait déjà été transmis au ministère public, il est donc susceptible de formuler bientôt un avis sans même m’avoir lu.
Ce 3 mai, le greffier affirmait qu’il ferait rapidement suivre mes observations tout en m’invitant également à les communiquer au ministère public. Vous trouverez donc, ci-joint, copie de ces observations (pièce n° 2) que j’ai déposées, ce 3 courant, au greffe de la 2ième chambre 1ère section civile de la cour d’appel de Versailles.
Ci-joint, vous trouverez également copie d’une lettre ouverte (pièce n° 3) qui parvient au juge pour enfant de Nanterre. Il devrait bientôt convoquer, pour juillet prochain.
Les documents que je joignais aux pièces n° 2 et 3 seront consultables aux greffes de Nanterre et de Versailles. Ces documents sont également tous consultables sur Internet, je les ai publiés dans mon blog, à l’adresse suivante : http://justice.cloppy.net
Par ailleurs, je vous informe qu'il pourrait y avoir un problème au palais de justice de Paris. En effet, j'ai le sentiment que des services égarent ce que j'essaye de faire parvenir au procureur près ce prétoire (pièce n° 4). Par le passé, celui près le tribunal de grande instance de Nanterre ne recevait pas grand chose non plus.
Cordialement.
P.S. : Je confirme ce que j'écris au juge pour enfant de Nanterre, ma soeur trisomique emmerde maintenant ton ministère public. J'invite les pas contents à trouver un drapeau français.
Pièces jointes, toutes publiées et commentées, parmi d'autres, sur Internet :
1) Une convocation, pour ce 25 mai, journée internationale des enfants disparus,
2) Des observations déposées ce 3 mai 2010, à Versailles,
3) Une lettre ouverte au juge pour enfant de Nanterre
4) Une correspondance de mars dernier, restée lettre morte
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