Archives pour: Mars 2011, 16
Paris évoque une catastrophe pire que celle de Tchernobyl
Le Point.fr - Publié le 16/03/2011 à 13:58 - Modifié le 16/03/2011 à 14:27, extrait
Paris évoque une catastrophe pire que celle de Tchernobyl
L'accident nucléaire pourrait être de plus grande ampleur que celui survenu en Ukraine en 1986 si le "pire scénario" se réalisait.
Source Reuters
La France a abandonné toute prudence oratoire face à l'ampleur de la menace nucléaire au Japon et reconnaît désormais la gravité d'une catastrophe potentiellement pire que celle de Tchernobyl en 1986. Accusé dans un premier temps par l'opposition, écologistes en tête, de sous-évaluer son appréciation des événements, le gouvernement français a commencé à modifier son discours après l'augmentation des émissions radioactives consécutive aux accidents en série dans la centrale de Fukushima-Daiichi. "Dans le pire des scénarios, l'impact sera supérieur à Tchernobyl", a déclaré mercredi le porte-parole du gouvernement, François Baroin. "C'est une hypothèse qu'on ne peut pas écarter aujourd'hui."
Après avoir parlé de "risque de catastrophe majeure", la ministre de l'Écologie Nathalie Kosciusko-Morizet a évoqué dans la cour de l'Élysée "le scénario du pire" en raison des dégâts sur les réacteurs nucléaires consécutifs au séisme et au tsunami de vendredi dernier dans le nord-est du Japon. "On peut dire aujourd'hui que le scénario du pire est possible et même probable autour de la centrale de Fukushima", a-t-elle dit à la presse après le conseil des ministres.
Le fils de Kadhafi assure avoir financé la campagne de Sarkozy
NDLR : Il resterait à voir ces « preuves »...
Le fils de Kadhafi assure avoir financé la campagne de Sarkozy
L'Expansion.com - publié le 16/03/2011 à 11:15
Saïf al-Islam traite le président français de "clown" dans une interview à Euronews, en promettant des preuves prochainement.
Kadhafi avait menacé la semaine dernière: si le président français persistait à reconnaître le Conseil national de résistance comme seul représentant du peuple libyen, le "Guide" rendrait public "un grave secret" lié à la campagne présidentielle française de 2007, de nature à faire chuter Sarkozy.
Le fils de Mouammour Kadhafi précise sa pensée ce jeudi, dans une interview à Euronews. Saïf al-Islam affirme: "Il faut que Sarkozy rende l'argent qu'il a accepté de la Libye pour financer sa campagne électorale. C'est nous qui avons financé sa campagne, et nous en avons la preuve. Nous sommes prêts à tout révéler. [....] Nous avons tous les détails, les comptes bancaires, les documents, et les opérations de transfert. Nous révélerons tout prochainement."
Libye : Kadhafi veut reprendre Benghazi
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Libye : Kadhafi veut reprendre Benghazi
Par Maud Descamps avec agences
Publié le 15 mars 2011 à 18h12
Mis à jour le 15 mars 2011 à 22h32, Europe 1, extrait
L’étau se resserre pour les insurgés et l'ONU reste impuissante face à Kadhafi.
Pour les insurgés, il n'y a que "deux possibilités : se rendre ou fuir". Mouammar Kadhafi ne laissera pas beaucoup de marge de manœuvre à ses opposants. Le leader libyen a déclaré au journal italien Il Giornale qu’il refuserait toute négociation, mais promet de ne pas tuer ceux qui se rendraient.
Kadhafi raille ses détracteurs et les met au défi de l'attraper
publié le 16/03/2011 à 07:46, l'Express avec Reuters, extrait
Le dirigeant libyen, Mouammar Kadhafi, a fustigé mardi les pays partisans de l'instauration d'une zone d'exclusion aérienne au-dessus de son pays et a exhorté les Libyens à prendre les armes et à se préparer à une éventuelle invasion occidentale.
"La France montre désormais son visage et dit qu'elle va attaquer la Libye", a déclaré Kadhafi à des partisans rassemblés dans sa demeure de Bab al-Aziza, située dans le centre de la capitale Tripoli.
"Attaquer la Libye ? Ce sera nous qui vous attaquerons ! Nous vous avons battus en Algérie, au Vietnam. Vous voulez nous attaquer ? Venez et essayez", a-t-il lancé.
Ces propos surviennent alors qu'un projet de résolution sur l'instauration d'une zone d'exclusion aérienne en Libye a été mis en circulation mercredi au Conseil de sécurité de l'Onu.