Archives pour: Mars 2012, 06
L’avocat de Nafissatou veut interpeller DSK à Cambridge
NDLR : A chacun ses plaies et ses soucis profonds, son enfer... Ces derniers temps, j'avais de plus en plus de problèmes avec ma cafetière électrique. Après un bon décrassage et un détartrage, tout s'est arrangé. Je suis content, la précédente que j'avais curée a explosée au cours du détartrage.
Actualité > Les affaires DSK
Info le Parisien
L’avocat de Nafissatou veut interpeller DSK à Cambridge
Le Parisien | Jean-Marc Ducos | Publié le 06.03.2012, 15h22
La participation annoncée de Dominique Strauss-Kahn à un colloque à l'Université de Cambridge (Royaume-Uni), vendredi prochain, suscite bien des réticences. Le comité d'accueil est déjà prêt. Hormis les étudiantes qui ont lancé une pétition contre sa venue, il y aura sur place, selon nos informations, Douglas Wigdor, l'avocat américain de Nafissatou Diallo, la victime présumée de DSK à l'hôtel Sofitel à New-York.
L'avocat est un ancien élève de l'école de Droit de cette prestigieuse université. Il a prévu d'y prendre la parole à l'invitation du syndicat des étudiantes de l'université de Cambridge et d’interpeller l’ancien directeur du Fonds Monétaire International.
« Fadettes » : vers l'annulation de la mise en examen de Courroye ?
NDLR : Après cela, les magistrats vont nous assurer que les voies de recours produisent bien les effets attendus
Société, aujourd'hui à 11h32, Libé
«Fadettes» : vers l'annulation de la mise en examen de Courroye ?
Le parquet général de Paris est favorable à l'annulation des mises en examen demandée par le procureur Courroye et son adjointe dans l'affaire des fadettes, car il estime que les infractions ne sont pas constituées par les faits, a-t-on appris ce mardi de source judiciaire.
En revanche, il ne partage pas l'analyse du procureur de Nanterre, Philippe Courroye, et de son adjointe Marie-Christine Daubigney qui estiment que les juges d'instruction chargés de l'enquête ont mené leurs investigations en méconnaissance de l'article 6-1 du code de procédure pénale.
« Polisse » et « Présumé coupable » diffusés à la prison de Fleury !
NDLR : Ils ont décidé d'enflamer les esprits, à Fleury ? Comment réagiront les « humanistes » que j'ai croisé, ce vendredi, à Caen ? Mais voilà surtout qu'après avoir lu Magalie Bodon-Bruzel, sa contribution, son témoignage, dans La perpétuité perpétuelle, je repense à Un triplet gagnant : MAM, Lathoud et... Botton, le « parfait réhabilité », et je me marre
Actualité > Fleury-Mérogis
" Polisse " et "Présumé coupable " diffusés à la prison de Fleury !
Le Parisien | Florian Loisy | Publié le 05.03.2012, 15h38
C’est une véritable révolution. Le Festival du cinéma de la maison d’arrêt de Fleury prend chaque année davantage d’ampleur, et pour la 3e édition de cet événement majeur dans l’univers carcéral, qui débute aujourd’hui, l’administration pénitentiaire a autorisé des films abordant des sujets polémiques.
Car jusque-là, les œuvres évoquant la prison, la police ou la justice étaient soigneusement évitées lors des projections aux détenus. Par ailleurs, lors des deux précédents festivals organisés derrière les barreaux, les longs-métrages en compétition dataient de plusieurs années. Là, plus de tabou et surtout une sélection digne du Festival de Cannes : « La vérité si je mens ! 3 », « Omar m’a tuer », « Polisse », « Intouchables », « Et maintenant on va où », « Avant l’aube », « La guerre est déclarée », « Présumé coupable », « le Chat du rabbin ».
« Pour maintenir le lien avec l’extérieur, nous voulions permettre aux détenus de visionner des films dans l’actualité », souligne l’Association de recherche d’animations culturelles (Arac), qui coorganise ce festival avec le Spip (service pénitentiaire d’insertion et de probation). Jusqu’au 15 mars, les artistes vont se succéder dans la prison et lancer des débats après les projections. Gilbert Melki, Aure Atika, Marina Foïs, Roschdy Zem, Maïwenn, Eric Toledano et Olivier Nakache discuteront avec les détenus. Pour préparer la réinsertion des prisonniers, des professionnels du cinéma viendront également présenter les métiers de l’ombre.
Le 16 mars, le jury composé de sept prisonniers, quatre employés de l’administration pénitentiaire et de l’actrice Ludivine Sagnier décernera les prix du festival : meilleur acteur, meilleure actrice, meilleure bande originale, meilleure réalisation et prix spécial du jury. Un trophée inédit, conçu par les pensionnaires de Fleury.
Le Parisien
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