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Arrêté pour des tags pro-Merah
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Arrêté pour des tags pro-Merah
AFP Publié le 12/04/2012 à 11:07
Un jeune homme de 22 ans a été interpellé aujourd'hui en région parisienne pour une série de tags le long des voies de chemin de fer dont certains à la gloire de Mohamed Merah, l'auteur des tueries de Toulouse et de Montauban.
La "cellule tags" de la sous-direction régionale de la police des transports (SDRPT) avait été chargée, mardi, d'enquêter après un dépôt de plainte de la SNCF pour des "dégradations", de nombreux tags le long des voies autour de la Gare du Nord à Paris et sa proche banlieue.
La plupart étaient signés "Asto" et certains tags portaient la mention "I love Mohamed Merah", selon les sources.
Les policiers ont effectué des recherches à partir de cette signature et les ont ciblé sur une bande de tagueurs habituels, surnommés entre eux les "Bkingz".
Le sketch officiel (et foutraque) de Philippe Poutou
NDLR : J'ai entendu un représentant du barreau ou du CNB, hier soir, sur RTL, à moins que ce n'était sur les ondes de France Info. Je n'ai pas retrouvé le son, grotesque. Les compétences et services rendus par un avocat semblaient être comparés à ceux d'un « médecin ». Un avocat, un gage de sérieux, une sorte de garantie pour l'aboutissement de procédures ? Ce genre d'assertion pourrait amuser ou scandaliser plus d'un « justiciable ». Qu'est-ce qu'ils en pensent au cabinet Cordelier, ils adhèrent à ce que soutiennent le CNB et le barreau de Paris ?
Société, Libé, hier à 11h15
Les avocats ne digèrent pas les passerelles offertes aux politiques
Un décret du 3 avril permet, sous certaines conditions, aux ex-ministres et aux parlementaires de devenir avocats sans passer d'examen.
L'ordre des avocats de Paris a décidé à son tour, après le Conseil national des barreaux (CNB), d'engager un recours contre la possibilité accordée aux ex-ministres et parlementaires de devenir avocats sans examen, a annoncé mercredi le barreau de Paris.
Cette réforme, contenue dans un décret pris le 3 avril, s'apparente à cune régression des valeurs de la profession et à une remise en cause de la qualité du service rendu aux justiciables», affirme Christiane Féral-Schuhl, bâtonnier de Paris, dans un communiqué.